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"un match d'un homme de soixante dix kilos
contre un obus de même poids est sans discussion une des inventions les plus sottes de notre temps,toute la guerre de 1914 est établie sur ces proportions cette expérience démontre chez les hommes une inconscience inquiétante" Mac Orlan sur la guerre. |
Pierre Mac Orlan (né Pierre Dumarchey, à Peronne le 26 f"vrier 1882- mort à Saint Cyr le 27 juin 1970 est un écrivain français auteur d'une œuvre abondante et variée, il débuta par l'écriture de contes humoristiques, après avoir en vain tenté une carrière dans la peinture. Après la première guerre mondiale son inspiration se tourna vers le registre fantastique et le roman d'aventures. La dernière partie de sa carrière littéraire fut consacrée à l'écriture de chansons, d 'essaiset de mémoires Au cours de sa jeunesse dans les premières années du XXe siècle, Mac Orlan vécut à Montmartre où il se lia d'amitié avec Apolinaire Carco ou encore Dorgeles À la même époque, il séjourna également à Rouen Londres Palerme etc. Les souvenirs qu'il conserva de cette période, où ses moyens d'existence furent souvent précaires, lui servirent de matériau pour élaborer une œuvre à forte connotation autobiographique qui influença entre autres Malraux Vian et Queneau Témoin attentif de son temps, fasciné par les techniques modernes et les nouveaux moyens de communication, mais se tenant autant que faire se pouvait à distance des vicissitudes de l'histoire, il forgea la notion de fantastique social pour définir ce qui lui apparaissait comme étant l'envers trouble et mystérieux de son époque.l n'est pas facile de reconstituer les années de jeunesse de Pierre Dumarchey, qui s'est montré peu éloquent sur le sujet, et s'est parfois plu à brouiller les piste. Qui plus est, un certain nombre de documents ont été détruits, que ce soit par accident (les registres de l'état civil de Peronne dont l'acte de naissance de Pierre Dumarchey, ont disparu dans le bombardement qui a détruit son hôtel de ville en 1916 , les archives de l'École normale contenant son dossier ont été détruites pendant la seconde guerre mondiale ou de volonté délibérée : le père de « Mac Orlan » brûla ainsi divers papiers et documents personnels dans les premières années du XXém siècle et l'écrivain lui-même devait se livrer vers la fin de sa vie à un autodafé brûlant dans son jardin une partie de sa correspondance et de ses archives personnelles, afin de ne pas avoir « des soucis posthumes », confia-t-il à un témoin de la scène La connaissance de ces années est cependant décisive pour comprendre la genèse de l'œuvre ultérieure, tant celle-ci puiserait ses matériaux dans le « noyau de matière vivante que fut la jeunesse de son auteur, époque où Pierre Mac Orlan fit sa moisson de souvenirs. S'employant ensuite à les mettre en forme et à les « remâcher », voire à les exorciser, l'auteur du Quai des Brumes s'appliqua à effacer ses traces de jeunesse pour se construire une biographie pour partie légendaire, et devait gommer jusqu'à son nom d'état civil, au profit « d'une personnalité littéraire au nom fantaisiste dont le passé coïncidait merveilleusement avec son œuvre », écrit Bernard Baritaud, le principal biographe de Mac Orlan Pierre Dumarchey, qui adopta une vingtaine d'années plus tard le pseudonyme de « Mac Orlan », naquit à Peronne le 26 février 1882 Il fut le premier fils de Pierre Edmond Dumarchey (1853-1928) et de Berthe Francine Artus (1861-. Cinq ans après la naissance de leur premier enfant, le couple eut un second fils, Jean (1887-1929 On suppose que les relations que Pierre entretenait avec son père, militaire à la carrière chaotique, furent difficiles et que le climat familial se détériora à tel point que, à partir de 1889, les deux frères furent confiés, en qualité de pupilles, à la garde d'un oncle maternel, Hippolyte Ferrand, professeur d'histoire devenu inspecteur d'académie à Orleans Les relations entre l'oncle et les neveux ne furent pas non plus sans heurts : Jean fut probablement le plus rétif à l'autorité de cet homme austère et consciencieux, qui dut s'en séparer. Quant à Pierre, il conserva assez de rancune envers son tuteur pour avoir, en 1909 écrit de ouvrages érotiques La Comtesse au fouet et Les Grandes Flagellées de l'histoire) en les publiant sous le nom de Pierre Dumarchey, afin, expliqua-t-il plus tard à pascal Piat de contrarier cet oncle « qui lui avait mené la vie dure Toutefois, un demi-siècle plus tard, c'est avec émotion que Mac Orlan évoquerait cet « homme d'une surprenante culture littéraire », dont il se sentirait enfin proche : « C'est en ce moment, maintenant qu'il n'existe plus et que je suis moi-même un homme âgé, qu'un équilibre affectueux s'établit entre nous deux. [...]. Aujourd'hui, je pense souvent à lui en prononçant les mots que j'eusse toujours voulu dire quand il en était temps. C'est à cette heure que je désirerais accorder nos témoignages et dire comment, par des routes différentes, nous nous sommes rejoints. Le grain semé, il y a plus de cinquante ans, m'offre à présent une floraison sans joieD'après le témoignage de Pierre Mac Orlan, ses années d'études au lycée d'Orléans ne furent guère brillantes. Il n'est pas douteux toutefois qu'elles furent, associées à l'influence de son tuteur, déterminantes dans la formation de ses goûts littéraires, et que c'est de ce moment que naquit son intérêt pour les « poètes clandestins » de la culture classique, commeCatule Martial ou encore l'Apulée . C'est à cette époque également qu'il découvrit une œuvre qui devait le marquer durablement : celle de françois Villon peut-être par l'intermédiaire du futur poète et chansonnier gaston Couté , qui à cette époque était scolarisé dans le même lycée, et que Pierre Dumarchey connaissait, bien qu'ils n'eussent pas été intimes. Mais, plus que la littérature, deux passions dominaient alors l'adolescent : BruandPierre Dumarchey admirait à ce point le chansonnier éaliste qu'il lui adressa, en 1898, ses premiers poèmes, et qu'il eut la joie de recevoir en réponse une carte postale de son idole, qu'il conserva précieusement toute sa vie. Trois ans plus tard, il rencontrerait à Montmartre l'homme dont les meilleures chansons, devait-il écrire plus tard, « appartiennent à la littérature», ainsi qu'à une poésie populaire dont il faisait remonter l'origine aux ballades écrites en jargon de François VillonQuant au rugby, auquel il consacrerait un essai dans les dernières années de sa vie, il tint très vite une place si importante dans l'existence de l'adolescent qu'il devait expliquer près de soixante-dix ans plus tard que, « entre quinze et vingt-cinq ans, [sa] mission sur cette terre fut de monter des équipes de rugby. » Jusqu'en 1913, il pratiqua ce sport (il officiait au poste de demi d'ouverture ), notamment à l'école normale d'instituteur de Rouen (dont il se vantait d'avoir créé l'équipe), puis au P U C Même s'il a sans doute exagéré la place qu'avait tenu le rugby dans sa jeunesse), Mac Orlan resterait toujours attaché à un jeu susceptible d'être pour des jeunes gens trop épris d'aventures un remède possible à la délinquance En remerciement pour cette fidélité au rugby, il se vit offrir en 1967 un ballon ovale, dédicacé par les joueurs XV de france ballon avec lequel il fut enterré trois ans plus tard.En attendant, les médiocres résultats scolaires du jeune Dumarchey au lycée d'Orléans incitèrent son oncle à l'envoyer à Rouen , pour intégrer cette école normale d'instituteurdont Mac Orlan garderait des souvenirs essentiellement sportifs. Il y étudia durant l'année scolaire 1898-1899. Les archives de l'École normale ayant été détruites durant la seconde guerre mondiale peu de choses sont connues sur cette période de la vie de l'écrivain, si ce n'est qu'il ne dépassa pas la première année et que, dès la suivante, il avait quitté Rouen pour se rendre à Paris . Il était alors âgé de dix-sept ansPierre Dumarchey arriva à Paris au cours de l'hiver 1899. Il y retrouva son frère Jean, apprenti chez un oncle restaurateur et décorateur de meubles anciens à Montmartre . Livré plus ou moins à lui-même, le jeune homme fréquentait le cabaret le Zut où il fit sans doute la connaissance de Frédéric Gérard, le futur patron du lapin agile Pierre Dumarchey écrivait alors des poèmes , et envisageait de devenir peintre, à la manière de Toulouze lautrec , qu'il admirait Mac Orlan donnerait dans un essai de 1929 quelques précisions sur cette vocation artistique : « J'aimais la peinture et les arts en général, écrivait-il dans Rouen, non pas tant pour la somme d'émotion qu'ils pouvaient me procurer que pour la situation sociale indépendante qu'ils offraient à ceux qui les pratiquaient. » Il ajouta : « La peinture me plaisait parce que cet art précisait, dans mes heures de méditation à jeun, un atelier avec toutes les idées de la liberté sociale que ce mot éveillait en moi. La plus belle image de confort que je pouvais inventer me représentait dans un atelier de l' île Lacroix dont la baie vitrée dominait la Seine le yoles de mer et les « quatre » au garage. Je me voyais fumant ma pipe auprès d'un poêle Godin, les pieds très chauds, attendant la visite d'une figurante des Folies bergères dont la compagnie m'eût honoré dans les endroits où je fréquentaisIl peignit à cette époque quelques tableaux à sujets sportifs, qui depuis ont été perdus, sans parvenir à vivre de son pinceau. Devenu rapidement sans le sou, il s'engagea alors comme teneur de copie dans une imprimerie parisienne, avant de retourner à Rouen à la fin de 1900, où il exerça la même activité pour le quotidien Le Petit RouennaisLe jeune homme fit à cette époque plusieurs allers et retours entre Paris et Rouen, d'autant plus difficiles à dater que Mac Orlan livrerait dans ses récits ultérieurs des versions divergentes sur la chronologie de cette époque de sa vie. Il s'en justifia en expliquant que, de 1900 à 1910 à peu près, les événements furent pour lui « sans dates et parfaitement interchangeables », et que « rien ne soudait [les années] les unes aux autres dans un ordre logique » Ce qui est certain en revanche c'est que, dans l'une et l'autre de ces deux villes, les premières années du XX ém siècle furent pour Pierre Dumarchey une période de vaches maigres.Sa vie à Rouen, où il logeait dans un petit appartement rue des Charrettes, se partageait entre son travail au journal et les sorties nocturnes dans les bars à matelots en compagnie d'un groupe de jeunes gens insouciants que réunissait un goût commun pour les activités sportives et qui aspiraient avec plus ou moins de sérieux à devenir peintres ou écrivains. Il se lia plus particulièrement avec Paul Lenglois (1878-1957), journaliste au Petit Rouennais, avec lequel il fit la rencontre d'un personnage étrange et douteux connu sous le nom de Star. Cet individu d'un certain âge exerçait la profession de photographe couplée aux activités d'escroc (il ne mettait pas de plaque dans son appareil photographique) et d'indicateur de police, le tout associé à fort penchant pour la mytomanie . La fréquentation de cet homme pouvait être dangereuse, indiquerait plus tard Mac Orlan, tant il avait un don particulier pour entraîner son entourage dans les situations scabreuses. Star mourut un peu plus tard, « comme un vieux chien, sur le paillasson d'un bel appartement vide dont les clefs [lui] avaient été confiées . Mais, à partir de 1927, il reviendrait de façon de plus en précise, sous des noms divers, dans l'œuvre de Mac Orlan, au point de devenir le modèle de la plupart des personnages interlopes qui se rencontrent dans les livres de l'écrivain: Capitaine Hartmann ), Père Barbançon ), Oncle Paul (La Pension Mary Stuart, 1958), Jérôme Burns Après avoir perdu son emploi d'assistant d'imprimerie, Pierre Dumarchey retourna à Montmartre en 1901, où il retrouva ses compagnons de l'année précédente. Il fréquenta notamment le cercle anarchiste regroupé autour du journal Le Lbertaire pour lequel il écrivit un article dans lequel il promouvait la révolution prolétarienne, ainsi que le Zut , puis, après que celui-ci eut été fermé par la police le lapin agile cabarets dans lesquels il se lia d'amitié avec Apolinnaire . Il retrouva également son frère Jean, qui, aspirant lui aussi à faire carrière dans la peinture avait intégré la bohème montmartroise, ou plutôt sa frange la plus équivoque, plus proche des Apaches et des prostituées que des artistes, où son goût pour l'alcool et sa facilité à faire le coup de poing étaient davantage reconnus que ses talents d'illustrateur. Les deux frères vécurent semble-t-il d'expédients et de petits métiers, avant d'être appelés à remplir leurs obligations militaires. Juste avant d'être intégré au 156 régiment infanterie en octobre 1905, Pierre avait toutefois obtenu ses premiers engagements, peu glorieux, en tant que peintre et illustrateur : il avait décoré l'intérieur d'une auberge et surtout illustré le roman écrit par un de ses amis rouennais : Monsieur Homais voyage, de Robert Duquesne. Les dessins étaient signés, pour la première fois, du nom de « Pierre Mac Orlan ». Ce dernier expliqua par la suite qu'il avait choisi ce nom en hommage à une bien improbable grand-mère écossaise, mais l'hypothèse la plus plausible est que ce pseudonyme avait été forgé à partir du nom d'Orleans où le jeune homme fit ses études secondaires, et où il découvrit l'œuvre de Villon. Les maigres engagements qu'il trouva à l'époque ne suffisaient toutefois pas à sortir Pierre Mac Orlan de ses difficultés financières ; aussi accueillit-il comme un répit bien venu le fait d'avoir à remplir ses obligations militaires qui signifiaient du moins que durant le temps de son incorporation, il mangerait à sa faim. Mais il fut réformé au bout de six mois, pour raisons de santé Son frère en revanche s'engagea au 33ém infanterie , où il devait passer cinq ans, avant de s'engager dans la légion étrangère pour cinq ans également, peut-être pour échapper à la justice à la suite d'une bagarre qui aurait mal tourné Pierre, quant à lui, tirait toujours le diable par la queue jusqu'au moment où, après un bref séjour en Angleterre il fut engagé par une mystérieuse femme de lettres qui en fit son secrétaire particulier et avec laquelle il passa plusieurs mois en Italie , puis en Belgique où il rencontra à Bruges les rédacteurs de la revue littéraire Le Beffroi, dont il lui fit découvrir La Lumière qui s'éteint et La Chanson de Mandalay, deux œuvres qui devaient bouleverser le jeune hommeet qu'il évoquerait souvent dans ses livres à venir. Après s'être, pour une raison inconnue, séparé de la femme qui l'employait et un bref séjour à Marseille à la fin de l'année 1907, Pierre Mac Orlan revint à Paris au début de l'année suivante, où il retrouva tout naturellement le lapin agile, dont il courtisait la serveuse, Marguerite Luc(la fille de la maîtresse de Frédéric Gérard, le gérant du cabaret). Désargenté comme à l'accoutumée, Mac Orlan vécut un temps chez son père et la seconde femme de ce dernier, qui apparemment s'agaçaient de voir que ce jeune homme de vingt-cinq ans était incapable de se prendre en charge et de gagner sa vie. Il quitta donc leur domicile pour des logements parfois précaires, comme celui qu'il occupa un hiver au Bateau lavoir , sans mobilier ni chauffage et où, en guise de lit, il dormait sur un tas de vieux journaux. Il vécut aussi, en 1910, à l'hôtel Bouscarat, place du Tertre « On imagine, écrit Bernard Baritaud, une existence médiocre, inquiète, dominée par des préoccupations de survie, des années à la fois fébriles (l'obsession de manger) et désœuvrées Les moyens de subsistance de Mac Orlan étaient en effet toujours précaires : il tentait de gagner sa vie en vendant des chansons qu'il composait, des ouvrages à caractère érotiques qu'il publiait sous pseudonyme (voire sous son nom d'état civil), et surtout en essayant de placer ses œuvres picturales. Après avoir été éconduit Sagot (qui était entre autres le marchand de Picasso), il tenta de placer ses dessins humoristiques dans la revue le Rire , à qui il fut présenté par Dorgeles Mais Bofa ne montra que peu d'enthousiasme pour le trait de Mac Orlan. En revanche, il apprécia les légendes qui l'accompagnaient. Aussi proposa-t-il à ce dernier de plutôt rédiger des petits contes qu'il se proposait de publier dans sa revue. Ce fut cette rencontre qui aurait décidé de la vocation d'écrivain de Mac Orlan. Elle marqua en tout cas entre les deux hommes le début d'une amitié qui se poursuivrait jusqu'à la mort de Gus Bofa en 1968 À partir de 1910, devenu un collaborateur régulier de la revue Le Rire (puis du Sourire, son successeur, toujours sous la direction de Gus Bofa), il publia de nombreuses nouvelles humoristiques (réunies dans les recueils Les Pattes en l'air, Les Contes de la pipe en terre et Les Bourreurs de crânes entre 1911 et 1914), tout en se lançant dans la bande dessinée , avec les péripéties de Frip et Bob La situation sociale de Pierre Mac Orlan s'améliora alors sensiblement, ainsi qu'il l'écrivit lui-même Qui plus est, en 1912, il publia son premier roman humoristique Mac Orlan poursuivit sur la voie de l'écriture romanesque, avec le Rire jaune publié en feuilleton en 1913 dans la revue Comoedia Selon Bernard Baritaud, Le Rire jaune, plus ambitieux que La Maison du retour écœurant, révèle aux côtés du ton humoristique des premiers textes, « une vision dramatique, parfois prophétique, de l'avenir proche » Publié en volume au printemps 1914, ce roman passa pourtant à peu près inaperçu : trois mois plus tard, la guerre était déclarée |
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