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  " documents maritimes sous le régne deLouis XVI."                      .
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  "Monsieur vous irez demain chez monsieur de Boynes lui demander sa démission de secrétaire d'Etat au département de
la Marine.Les changements qu'il a fait dans la marine et qui n'ont abouti à rien et son incapacité pour cette partie m'y obligent.."
                                                                                                                                                                Louis XVI (donnant consigne à la Vrillière)
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                                 .La Marine:Sous le règne de: Louis XVI.
                                                 
1774  .1792.
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Avec de bons ministres comme Choiseul et Castrie Louis XVI reconstruisit une marine qui se trouva au mieux de sa forme au moment de la guerre d'Amérique,d'ou les succès de Suffren en Indes et Chesapeake avec laquelle l'amiral de Grasse mit fin à la guerre d'indépendance en 1781. A la veille de la révolution la marine était forte.
Ministres   de la Marine    :Boynes est remplacé par  Turgot
                                         puis Sartine(1774-1780)
1776.     
abolition des   ordonnances  de 1772, réorganisation de la marine, qui va devenir puissante.
                                         

1776-1779.           Troisième voyage de Cook. 
1779.             Nelson a 20 ans il est nommé capitaine de vaisseau!
La France suit avec intéret les événements  en  Nouvelle Angleterre,
(les colonies anglaises d'Amérique se révoltent,elles veulent former une République)

1778  signature d'un traité de commerce avec les américains ,qui va entrainner la guerre avec l'Angleterre.

 Brest  :       Escarmouche ,la frégate "Belle poule" repousse la frégate  "l' Arethusa".
                  La guerre est déclarée  France et Espagne contre Angleterre
 La France veut prendre sa   revanche!

Toulon  :    Départ du vice-amiral d'Estaing avec 11 vaisseaux pour l'Amérique.Il  doit  débarquer des troupes pour aider les troupes irrégulières de Washington,les appuyer,ensuite aller aux Antilles récupérer queques possessions.
1779 Encore un plan d'invasion de l'Angleterre ,la flotte franco-espagnole  devant controler la Manche....

 BREST. L'amiral d'Orvillier appareille avec 32 vaisseaux ,sous ses ordres Guichen, Du Chaffault et de Rochechouart ... . La flotte anglaise était sous les ordres de Keppel..
bataille de Ouessant  . bataille indécise ,( Les  français s'en sont mieux tirés)
 En Amérique d'Estaing  affronte Howe.
bataille dans les Antilles,
bataille de la Grenade,
1780   .ministre  de la marine .Marquis de Castries (1780- 1787)                                                   
1782  Bataille des SAINTES
       
Victoires de Suffren en mer des Indes.Sadras,


1783.  Traité de Versailles. l'Angleterre reconnait l'indépendance des Etats-unis ,et,nous   rend le Sénégal et quelques autres petites colonies.
1784.,             nouvelle ordonnance ,  construction de vaisseaux     (mais les dépenses sont grandes)
1785-1788   .Expédition de Lapérouse.

Louis   XVI  préparant  le voyage de  monsieur de  La  Pérouse.
Ministres   de la Marine   La valses des secrétaires d'état à la marine 6 (1787-1792) c'est la fin du règne   la Révolution va se charger de détruire cette belle marine.....
1789 La France est en banqueroute ,convocation des Etats Généraux, La Révolution va débuter!!!!!




   
                           .                                                                                                          ..  Nos documents à la vente.


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Il s'agit d'une lettre de mr le Bailli de Suffren à M le Carpentier qui la traduisit interlinéairement pour la rendre plus lisible
datée du 20 avril 1785.....................il ne me conviendrait pas monsieur de suivre mon inclinaison en sollicitant pour vous la réponse de mr le Marechal sevice qu'il vous aurait mieux que je ne puis vous commitre vous n'aurez pas les désagréments je pense d'y voir arriver un étranger Le bureau va être réuni aux directions et je désire que vous restiez dans cette partie comme mr de Malezieu pour les  ? Ce que je vous dis est encore un secret ,mais ne le sera bientôt plus  agréez les assurances du sincére attachement avec lequel j'ai l'honneur d'être monsieur votre tres humble et obeissant serviteur  Le Bally de Suffren  20 avril 1785..........je n'ai point vu ici le Marechal c'est indirectement que j'ai son projet dont je vous prie de ne pas parler.
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Pierre André de Suffren, dit « le bailli de Suffren » et également connu sous le nom de « Suffren de Saint-Tropez », est un vice-amiral français, bailli et commandeur de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem, né le au château de Saint-Cannat près d’Aix-en-Provence et mort le à Paris. (59 ans)

Suffren traverse trois guerres navales franco-anglaises au milieu de la « Seconde guerre de Cent Ans ». Les deux premières lui permettent de mener une double carrière en gravissant peu à peu tous les échelons de la Marine royale et ceux de l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem. La troisième lui apporte la gloire. Son nom a depuis été donné à huit navires de la marine française, le dernier en date baptisé en juillet 2019.

Suffren est à l’étranger le plus connu des marins français. De son vivant déjà, il est remarqué par les officiers anglais qui le surnomment « l’amiral Satan ». Clerk of Eldin, penseur naval britannique de la fin du XVIIIe siècle, vante « son mérite, sa bravoure, ses talents militaires » pour bâtir des théories navales dont se serait inspiré Nelson. À la fin du XIXe siècle, Mahan, un stratège américain, fait son éloge. En 1942, l’amiral King, alors à la tête de la marine américaine, dresse la liste des cinq plus fameux amiraux du passé. Il nomme John Jervis, Horatio Nelson, Maarten Tromp, Suffren et David Farragut. Selon lui, Suffren possédait « l’art de tirer le meilleur parti des moyens disponibles accompagné d’un instinct de l’offensive et de la volonté de la mener à bien »

En France, le jugement de Napoléon est connu, rapporté par Emmanuel de Las Cases : « Oh ! pourquoi cet homme [Suffren] n’a-t-il pas vécu jusqu’à moi, ou pourquoi n’en ai-je pas trouvé un de sa trempe, j’en eusse fait notre Nelson, et les affaires eussent pris une autre tournure, mais j’ai passé tout mon temps à chercher l’homme de la marine sans avoir pu le rencontrer ». Pourtant, Suffren a toujours fait en France l’objet de commentaires contrastés. Le même Las Cases se fait l’écho des nombreux officiers de marine qui détestaient Suffren et surnommaient ce dernier le « gros calfat » en raison de son physique, mais aussi de son comportement
Au début du XXe siècle, l’amiral Raoul Castex, stratège maritime français, lui rend hommage en parlant de « l’un des trois noms immortels qui jalonnent la marine à voile » avec Michiel de Ruyter et Horatio Nelson. Mais tous les officiers historiens ne partagent pas cet avis. En 1996, l’amiral François Caron qui étudie les campagnes du bailli lâche contre lui une bordée de boulets rouges en concluant que « si le chevalier de Suffren manifesta un indiscutable courage, eut un coup d’œil tactique incomparable, son action, tous bilans faits, reste d’une grande banalité et est très décevante », l'engouement de certains à son égard, estime François Caron, n'étant pas justifié au vu de ses résultats réels









       

Donné à Versailles le premier jour du mois de janvier l'an de grace mil sept cent soixante qinze et de notre Règne le premier.
 Commission de capitaine d'une Compagnie du Corps-royal d'Infanterie de la Marine,de la division de Brest pour le chevalier Daigremont ...Lieutenant de vaisseau.
Louis par la grace de Dieu, Roy de France et de Navarre.à notre cher et bien-aimé le Sv Ch Daigremont lieutenant de vaisseau Salut.Désirant pourvoir à l'une des compagnies de notre-Royal  d'Infanterie de la Marine,de
la division de Brest Créé par notre Ordonnance du 26 décembre 1774,et la remplir par une personne  qui s'en puisse bien acquitter,nous avons cru ne pouvoir faire un meilleur choix que de vous pour la commander
,vu la preuve que vous nous avez donné de votre vigilence,bonne conduite,expérience au fait de la guerre,et de votre fidélité et affection
à notre service. A CES CAUSES  Nous vous avons commis,ordonné et établi..
.
prix de vente de ce  Parchemin(sur velin).213 euros.

notes.
Jean-Baptiste d'Aigremont de Pépinvast dit le « chevalier d'Aigremont », né en 1761 entre la Normandie et Paris au cours d'un voyage de ses parents et mort le à Cavite, aux îles Philippines, est un officier de marine navigateur français. Il entre dans la Marine royale au début de la guerre d'indépendance des États-Unis. La paix revenue, il prend part à l’expédition de La Pérouse (-), au cours de laquelle il trouve la mort. Il était le fils de Nicolas d'Aigremont de Pepinvast et de Jeanne Françoise Eulalie Viel de Lignieres. D'une épouse dont nous ignorons le nom, probablement épousée à Paris, il eut une fille Marie Caroline d'Aigremont de Pepinvast née le à Paris et décédée le . Garde de la Marine en 1778, il est promu enseigne de vaisseau en 1780 puis Lieutenant de vaisseau par brevet du Roi donné par La Pérouse sur l'Astrolabe le . Spécialiste du canonnage, il sert sur Le Neptune

« Le comte du Muy et le vicomte de Noailles embarqués sur le Neptune me prièrent de m’employer pour leur faire un pareil arrangement à bord du Neptune et ce fut bientôt fait. M. le comte de Vioménil, ignorant ce qui se passait, se trouvait destiné à n’avoir pour tout logement qu’un entre deux de canon, M. des Touches regrettait infiniment que la circonstance de la guerre ne lui permit pas de faire construire pour le général une chambre commode dans sa propre chambre de conseil, mais c’était de toute impossibilité. Tous les Enseignes de Vaisseau embarqués sur le Neptune se proposèrent d’offrir leur logement à M. de Vioménil qui était encore à terre. En ma qualité de premier enseigne, je réclamai la préférence. Le chevalier d’Aigremont, en sa qualité du moins ancien la réclama aussi et le capitaine jugea en sa faveur. Le chevalier d’Aigremont était d’un caractère franc et honnête et fort décidé, il fut à terre, offrit la chambre au général en l’assurant qu’il ne trouvait pas convenable d’être logé lorsqu’il ne l’était pas. Le général refusa en alléguant la nécessité indispensable pour un officier de la marine d’avoir une chambre : puisque faisant un service dur et pénible il fallait qu’il put se reposer, qu’il avait d’ailleurs des écritures indispensables à faire telles que son journal, son point et des calculs astronomiques, que par conséquent il ne pouvait accepter une telle offre qu’il savait d’ailleurs très bien apprécier. Le chevalier d’Aigremont combattit toutes ces raisons et finit par lui donner sa parole d’honneur que, s’il n’acceptait pas sa chambre, il la donnerait à son domestique car sûrement il n’en ferait pas usage. Alors M. de Vioménil accepta. Il envoya de suite un tapissier et fit arranger cette chambre comme un joli boudoir. Il fit acheter deux cents volumes en petits formats des meilleurs ouvrages et cette petite chambre fut métamorphosée en charmante bibliothèque. Lorsque M. de Vioménil débarqua de dessus le Neptune, il pria d’Aigremont de vouloir bien accepter le peu d’agrément qu’il avait cherché à donner à sa chambre. Celui-ci refusa à cause de la valeur des objets qu’elle contenait, mais M. de Vioménil lui dit que, s’il refusait, il allait tout jeter à la mer. Alors il accepta. Les procédés de part et d’autre avaient été parfaits. Il y avait entre ces deux hommes une grande analogie de caractère et ils eurent toujours l’un pour l’autre une amitié parfaite.





Brevet d'Ecrivain de la Marine. et des classes pour le Sr Le Blanc de Moivre. Aujourd'hui huitieme du mois d'Aout mil sept cent soixante quinze, le Roi étant à Versailles voulant commettre
la personne capable et fidelle pour faire la fonction d'Ecrivain de la Marine
et des classes.et sachant que le Sr Le Blanc a la qualitée nécessaire pour s'en bien acquitterSa Majesté l'a retenu et ordonné  ?  et ordonne L'Ecrivain de la Marine et des classes pour en ladite qualité servir  sur ses vaisseaux et frégates y faire le  role d'équipage et le registre des effets marchandises et munitions embarquées ainsi que de leur consommation,veillera à la conservation et à celle des vivres des equipages                   N D


Ordre de paiement. à une veuve. Marine 1775.                                    prix de vente 50 euros


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A  Rochefort le 4 mai 1776.
Troupes
Monseigneur  le 12 may
J'ai eu l'honneur de vous marquer le 23 du mois dernier le nommé Joseph  Fleury qui aprés avoir contracté differents  trois engagements pour la division Rochefort  avoir été conduit icy le 22 par les cavaliers maréchaussée de Surgere de vous représenter en n que cet homme étant un déserteur de profession il est dangereux de l'admettre dans la troupe il  a connu grevé d'autres vices ,mais vous trouverez une notte que M de Arqueray m'a remise contenant détail de la conduite du mauvais Sujet vous y verrez qu'en 1773 étant caporal  il fut cassé pour avoir  qu'il était de garde dans le port enfoncé une C..qu'au mois de may de la même  année  il fut passé  verger et chassé ignominieusement pour avoir volé un camarade etans à l'hopital cette anecdote .......etc  etc    
je suis avec respecs monseigneur signée   Latouche

prix 60 euros (lettre coupée sur le coté droit)






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             le 20 septembre 1776 lettre d'unhabitant  des isles 
"Tous les habitants de notre isle campe tout les jours avec leur nègres a ste Lucy Mr de monchy vient d'en faire autant cela fait beaucoup de sensation sur les prix de tout le monde mais je m'en porte pas moins  & ils sont bien venue du gouvernement français ;les affaires de la nouvelle angleterre  nous cause bien du mal dans notre isle lon nous fait espérer que les choses s'arrangerons mais j'apréhande bien le contraire


Outre la serrure dont vous aurez la complésance de mettre les 2 clefs dans la lettre que vous m'écrir ns vu  ai:vous dirait à Emilie de lesser cette malle chez madame Fourmillier jusquasse que je la demande  et dans la lettre que vous aurez la bonté de lui écrire pour lui recommander Emilie  prie la garder cette malle chez elle jusqu'à que je lui demande  parceque ses effets seraient confisqués sy elle lesz laisse passer
bonjour ma chére Lea je vous enbrace et toute votre famille et mon petit garson faite moi le plaisir de mageter et de manvoyer par locasion de me lire assortiment de cordes pour guitare  faite les choisir par quelquin qui sy connece ,voilà  ......
prix  42 euros




 


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COMMISSION
 DE CAPITAINE DE VAISSEAU

Pour le S CORNIC
 Lieutenant de vaisseau


Le 13 décembre 1778.
signée Louis

enregistré au Contrôle de la Marine
à Bordeaux le 27 avril 1779.


Le Duc de Penthièvre Amiral de France
Vû le Brevet du Roy  de l'autre part à vous
adressé MANDONS aux Vice-Amiraux
 Lieutenants généraux et Chef d'Escadre
 de connaître et faire reconnaître le Sr Cornic
en qualité de capitaine de Vaisseau
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fait à Sceaux
 le vingt neuf décembre mil sept cent soixante dix huit     

signé par louis jean marie de Bourbon ,duc de Penthière
qui était amiral de France
signé aussi par antoine Sartine qui était ministre de la marine


prix de vente de ce velin
il manque le sceau en cire souvent rouge
 410 euros



  (pour CORNIC  Voir page LOUIS XV).
Louis par la grace de Dieu Roy de France et de Navarre
A notre cher et bien aimé S CORNIC Salut  estimant necessaire pour le bien de nôtre service de faire choix de personne capable et expérimentée  au fait de la guerre et de la navigation pour lui confier le commandemant de nos vaisseaux,Estant informez  que ces qualitées se rencontrent en vous et de Votre Zèle et affection à nôtre service  dont vous nous avez  donné des preuves en diverses rencontres  .Nous avons estimé ne pouvoir faire un meilleur n'y plus digne choix que Vous; aA CES CAUSES ,nous  vous avons commis ordonné  et estably et par ces présentes signées de  nôtre  main commettons ,ordonnons et establissons  Capitaine de l'un de nos vaisseaux sous l' autorité de notre tres cher et tres aimé cousin le Duc de Penthièvre Amiral  de france et des viceamiraux,lieutenant généraux, et chef d' Escadre de nos armées navales,commandant l'un  de  nos vaisseaux de guerre,soit un corps d'armée ,d'Escadre ,ou garnison suivant  les ordres que nous vous en donnera  rang dans la marine du jour et datte des présentes   .ENJOIGNONS à cet effet à tous  lieutenant,enseigne ,officier ,Marins Matelots et soldats ,qui serviront sur les Vaisseaux dont  nous   vous cofirmons le commandemant de vous obéir ,et ..............................................................................................................................................



                                                          . Antoine Gabriel de Sartine.
Ministre de la marine.secretaire d'état ayant le département de la marine.Il fut nommé le 24 aout 1774,ancien préfet de police il était incompétent dans le domaine technique mais avec l'aide de Fleurieuil   il rédigea une série d'ordonnances en 1776 pour une organisation rationnelle de la  marine portrait-de-sartine.jpg    (grand format prix 75 euros.) Antoine raimond jean- gualbert gabriel de SARTINE  chevalier secrétaire d'Etat ayant le département de la Marine


instructions.jpgBREST  1779.  Copie de l'instruction de la Cour relativement à la Division des Equipages par Escouades ,& à leur Equipement.
MM les officiers commandant les bâtimens du Roi,sont prévenus que l'intention du Ministre est que dans chacun des Vaisseaux & Frégates du Roi ,les Equipages soient divisés en Escouades,avec des Officiers-mariniers à leut tête,de manière que MM les Lieutenant & Enseignes de Vaisseaux embarqués ,en ayent chacun une sous son commandement ,pour veiller particulièrement autant qu'il sera possible ,à entretenir les Marins dans un état de propreté utile à leur santé &  à la conservation de leur hardes,dont l'inspection doit être faite avant la Revue ou l'on paye la Solde des Equipages ;elle doit se répéter de tems en tems pour s'assurer de la perte que chaque homme a pu faire sur la quantité de hardes qu'on l'a obligé de se procurer quand il a touché sa Solde ,en concéquance de l'état ci-dessous & le contraindre à la remplacer aussitôt qu'il en a le moyen  MM les Capitaines donneront en concéquence tous les soins ,pour que leurs Equipages soient divisés dans l'ordre le plus convenable,& le plus propre à remplir le plan proposé ;aussitôt qu'il mettront en Rade ,ils ordonneront une Revue exacte des sacs de tous les Matelots ,& ils auront la plus grande attention à ce que chaque homme emploie l'argenr qu'il doit recevoir du Roi,pour compléter l'état de ses hardes ,en conséquences de celui qui suit. SAVOIR   1 Hamac & une couverture de balin    3 chemises bleues ou blanches 3 paires de bas   3 paires de Souliers 2 grandes culottes ............  signé De Sartine pour copie d'Orvilliers







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  A  Marly le 07 juillet 1776   Lettre signée   au sujet du patron du brigantin "Les âmes du Purgatoire" qui aura une amende réduite pour avoir désarmé à Gênes son navire.
J'ai reçu Mes sieur,la lettre que vous m'avez écritte et la copie qui y était  jointe en défenses que le Patron Dominique Crescy,de Bonifacio a donnée pour justifier la surannation des Expéditions qui lui avaient été délivrées le 23 décembre 1772. pour naviguer jusqu'à la la fin de l'année suivante avec le Brigantin  Les âmes du Purgatoire qu'il commandait et qu'il a vendu et désarmé à Gènes le 11 may 1774. j'ai vu par ce que vous m'avez marqué en même tems que quelques recherches qu'ait fait le Procureur du Roy à votre siège en conséquence de ce que je vous avez mandé le 22 janvier c il ne s'est rien trouvé dans la conduitte de ce Patron qui puisse  prouver qu'il ait présenté des Titres simuléss sur la propriété du Batiment ,qu'ainsi il n'y a pas lieu à aucune poursuite contre lui relativement à cet objet ni même de regarder  les soupçons qu'avait annoncé le sr Armand à ce sujet comme fondés ,dans cet Etat ce patron ,d'après les raisons qu'il a exposées pour justifier sa surannation ,m'ayant paru ne devoir pas être traitté à la rigueur,j'ai pris ordre du Roy par rapport à l'amende , qu'il a encourue par cette contravention .Sa Majesté a bien voulu la modérer à la somme de 12 L  .il a été écrit une Lettre à M L ' Amiral pour lui expliquer les intentions du Roy à ce sujet ,vous pouvez en conséquence délivrer au sr Crescy les nouvelles Expéditions dont il pourrait avoir besoin pour commander, si d'ailleurs il n'y a aucun motif pour les lui refuser ,après toutes fois qu'il aura satisfait au payement de la dite amende
je suis messieurs votre  affectionné  serviteur
signée Sartine


prix 90 euros



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Versailles le 27 juillet 1778.
J'ai reçu  Monsieur la lettre que vous m'avez écritte le 28 du mois dernier  les différentes piéces qui y sont énoncées ,et qui concernent les suites du Naufrage d'un Batiment français  Dons 992  votre fils m'avait déja informé .vous aurez vû depuis par les explications que j'ay adressées  sur ce premier avis aux officiers de l'Amirauté d'Ajaccio quel était mon sentiment à l'égard des formalitéss qu'ils parraissaient desirer de pouvoir remplir dans cette occasion ,ci-je doius persister d'autant plus que suivant  votre propre relation M Le grand Ancien Consul de France à Caillery es son Vice consul à  Tempio ont donné comme ils le devaient des soins au recouvrement des effets et à leur transport à Marseille  Les Officiers de l'Amirauté n'ont pas le droit d'étendre leur juridiction jusqu'aux choses qui se passent en pays étrangers es c'est pour cette raison sue Sa Mté y entretiens des officiers particuliers et brevetés qu'elle accrédite auprès des souverains territoriaux en leur obtenant la permission necessaire pour exercer leurs fonctions .Il y a lieu de croire que ceux qui sont en Sardaigne ont rempli dans la circonstance dont il s'agit tous ce qu'on devais attendre de leur Zèle ,puisqu'il ne m'est encor revenu aucunes plainttes de la pars des interressez quant aux effêts qui ont été pilles par des marins de Bonifacio, vous avez bien fait de les sequestrer ,et il me semble qu'il n'y a d'autre parti  a prendre que celui de s'entendre avec le Vice consul de Tempio pour les restituer a qui de droit  Ces officiers ayant suivi les principales opétations que ce naufrage a entrainées
je suis Monsieur votre affectionné seviteur 
signé     de  Sartine                             prix 90 euros




                                                                                                      
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Par votre Lettre du 24 du moi de   ,vous m'avez marqué Monsieur qu'en consequence de ce que je vous avais écri le 18 ,vous aviey suspendu le départ de ce Matelot,auxquels vous aviez payé les avances à la conduite,et je vous ai mandé le 27 de le faire partir des à présent et que s'il vous en restais ,vous eussiez  à les réserver pour les envoyer aussitôt que la demanfe vous en sera faite,et que vous vous en expliquassiez tans avec M Mistral qu"avec M de la Porte vous ferez à présent partir tout ce qui vous reste de gens de meme état de  servir sur les Vaisseaux du Roi,sa Majesté venant d'orfonner de nouveaux Armements au port de Brest
Versaille le 1 may 1778
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Sa Majesté ayant donné des ordres ,Monsieur ,pour placer des Bâtiments de sa Majesté en Croisière le long des Côtes de son Royaume pour protéger les Bâtiments dr commerce  et en écarter les Corsaires qui peuvent nuire à leur navigation,vous aurez attention,en même temps que vous continuerez à m'envoyer copie des déclarations qui vous seront faites  par les capitaines de Navires  des rencontres qu'ils auront faites en mer  d'en adresser de semblables copies à M Le Comte d'Orvillier Lieutenant Général des Aemées Navales,commandant la Marine à Brest afin qu'il en fasse usage pour les Croisières qu'il a ordre de placer
Versaille 20 avril 1778
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Antoine Raymond Juan Gualbert Gabriel de Sartine (ou Sartines), comte d’Alby (Barcelone, – Tarragone, ) est un homme politique français, conseiller (1752), puis lieutenant criminel du Châtelet (1755), il est lieutenant général de police (1759–1774), et enfin ministre de la Marine sous Louis XVI.En 1774, Louis XVI écrit de Compiègne une lettre par laquelle il annonce la nomination de deux nouveaux ministres, Turgot et Sartine. Le souverain ajoute : « Je voudrais pouvoir récompenser ainsi tous les grands talents qui honorent leur siècle en contribuant à la civilisation et au bien-être des peuples. »Proche du « parti Choiseul », Sartine accède au secrétariat d’État à la Marine en août 1774, place qu'il occupe jusqu'en octobre 1780. Il tente alors de rationaliser l'administration de la Marine. Ainsi, il s'intéresse de près aux fonderies en créant en particulier celle de l'Indret. Il confie au chevalier de Fleurieu la direction des ports et des arsenaux royaux. Sartine entreprend là aussi de grandes réformes mises au point par sept ordonnances 1776. La haute main sur la Marine est donnée aux officiers au détriment des administrateurs civils. Les constructions navales sont activement poussées. Enfin, la qualité du corps des officiers, recrutés surtout dans la noblesse (comme Charles Louis du Couëdic et ses trois neveux par exemple), est même considérablement améliorée. Cette politique devait porter ses fruits lors de la guerre d'indépendance américaine dans laquelle il mit à profit son expérience du renseignement acquise dans la Police. Les historiens évoquent une « phase de Sartine » qui aurait précédé une « phase Castries » dans la chronologie des opérations militaires.


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Le Roy  n'a point fait connaître ses intentions,Monsieur,sur ce qui concerne les Bâtiments anglais détenus dans les Ports du Royaume en consequence des ordres qui y ont été donnés et jusqu'à ce que sa Majesté en ai ordonné,ainsi pour ce qui concerne les marchandises qui sont chargées sur les Bâtiments les officiers de l'amirauré ne peuvent ordonner que provisoirement pour la conservation de ces marchandises si ce n'est celles dont il y aurait réclamation de la part de propriétaires français  auxquels seuls il peuvent en ordonner la remis lorsqu'ils seront  bien reconnus,et qu'ils auront bien constaté être le véritable propriétaire c'est ce que je fais connaître aux officiers des siéges d'amirauté à qui j'écris,mais je leurs observe que jusqu'à sa Majesté se soit expliquée sur les navires et leurs chargement en général,il convient pour l'intéret de toutes les parties interessées aux marchandises dont ces batiments sont chargées de pourvoir à la vente de celles qui pourraient dépérir ce que pour  cet effet il faut faitre l'inventaire des Effets et marchandises qui s'y trouvent faire constatrer par Experts ce qui dépérit ou est en danger de dépérir,en ordonner la vente en justice,apres avoir observé les fotmalités usitées pour faire valider les ventes et ordonner le sequestre du prix en provenant
Versailles le 9 May 1778.
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Il m'a été  demandé de quelques ports,monsieur, de quelle manière il devait être  usé à présent  à l'égard des Corsaires américains qui pourroient y venir et à l'égard de leurs prises   j'y mande en réponse qu"au moyen du Traité de commerce et  d'amitié qui a été fait avec les Etats  Unis de l'Amérique Septentrionale il ne peut y avoir de difficulté à recevoir ces Bâriments dans nos ports et que l'intention du Roi  est qu'ils y soient traités de la manière la plus amicale,j'écris aux officiers des différents siéges d'Amirautés du Royaume d'agir dans cet esprit par rapport  à ceux de cette sorte de  Bâtiments qui viendraient dans les ports de leur ressort
en ce qui vous concerne par rapport à ceux qui viendraient dans le port de Fécamp.

Versailles 1er May 1778
Au début de la guerre d'indépendance américaine, la France avance masquée. On confie un million de livres à Beaumarchais pour faire parvenir des munitions et des volontaires aux Américains. Le premier départ le , du Havre, est un fiasco, seul un navire gagne le large avec le colonel Tronson du Coudray à bord. Devant les risques des navires de commerce, Sartine met en place des convois obligatoires qui retardent les départs, mais assurent la sécurité. Les navires armés par Jean Peltier Dudoyer, pour le compte de Beaumarchais et Montieu, ont toutes les difficultés à former leurs équipages, la "Royale" est privilégiée. La destination officielle des bateaux aidant les Américains est Saint-Domingue, le plus souvent. La situation est tendue pour les armateurs jusqu'au traité d'alliance avec les États-Unis, alors le Ministère de la Marine les sollicitent, on les incite à armer leurs navires en leur accordant des commissions "Guerre et marchandises". Et le départ du Lion, corsaire armé à Nantes pour les Américains, par Jean Peltier Dudoyer, devient possible. Au large il sera rebaptisé le Deane.

Sartine fait preuve de modernisme, il décide de faire doubler de cuivre l’escadre de Ternay, ce qui protège les coques et améliore la vitesse des navires. Il ne sait pourtant pas endiguer le gaspillage de ses officiers. En 1780, accusé par Necker de détournement dans les caisses de l'État — on parle d'une somme de vingt millions —, il est disgracié le de la même année par Maurepas. En fait, Sartine est un ministre honnête mais qui a laissé déraper les dépenses de guerre et a émis des emprunts au profit de la Marine sans en informer le ministre des finances et le roi. Louis XVI lui accorde néanmoins une gratification de 150 000 livres et une pension de 70 000 livres.

Détesté pour son usage « arbitraire » des lettres de cachet, stigmatisé par les libellistes, inquiété lors des événements de 1789, il émigre dès 1790 en Espagne où il meurt sans revoir la France. Il évite ainsi le sort de son fils, Charles-Louis-Antoine de Sartine, et de sa bru, qui, restés à Paris en dépit de ses objurgations, seront guillotinés au procès des chemises rouges, le 29 prairial an II ().

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4 lettres de Sartine adressées à Mr Thiratà Fécamps       Versailles aril ,mai 1778       Prix 300 euros les 4 lettres.





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Versailles le 11 septembre 1779.
lettre de Antoine Raymond de Sartines ministre de la marine au chevalier de Monteil.


"M le Cte d'Orvillier vous fera connaitre

monsieur quelles sont les intentions du roi relativement à la prompte sortie de l'armée navale. Sa Majesté me charge de vous écrire particulièrement pour vous dire qu'elle  attend de nouveaux effort de votre zéle dans cette circonstance. Le Général de l'armée vous chargera personnelement de suivre le travail et les opérations d'un certain nombre de vaisseaux desquels vous me rendrez ,chaque courrier , un compte particulier.Comme sa Majesté
veut connaitre l'état de chaque vaisseau à son arrivée.Les progrés du travail et quels  sont les capitaines qui apporterons plus ou moins de zéle et de célérité à l'execution de  ses ordres,vous aurez soin de parler nominativement et en détail de chacun des  N? dont vous aurez été chargé vous ne laisserez point ignorer aux capitaines   de votre division .





............................"
Prix de vente 213 euros.
remarque.
François-Aymar de Monteil dit le « chevalier de Monteil », né en 1725 à Ardèche Durfort et mort en 1787, est un officier de marine français du XVIIIe siècle. Il sert dans la Marine royale pendant la seconde moitié du XVIIIe siècle, et se distingue pendant la guerre d'indépendance des États-Unis; chef d'escadre des armées navales, il est chevalier de l’ordre royal de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem.

Monteil entre jeune dans la Marine royale et intègre une compagnie de Gardes de la Marine en 1741, à l'âge de seize ans. Il est promu au grade de lieutenant de vaisseau en 1756, au début de la guerre de Sept Ans. Il reçoit un brevet de capitaine de vaisseau en 1762. Il participe à la bataille d'Ouessant, le , en tant que commandant du vaisseau Le Conquérant, de 74 canons. Son vaisseau est le troisième dans la ligne de bataille française et il est blessé au cours de ce combat. Il est promu chef d'escadre en 1779. En , il commande le Palmier au combat de la Dominique. Il est le matelot de La Couronne (80), le vaisseau amiral du comte de Guichen.Lorsque le comte de Grasse retourne en France, pour raisons de santé, suivi du comte de Guichen - au mois de - de Monteil se voit confier la responsabilité de la flotte française dans les Antilles, et reçoit le commandement d'une escadre de neuf vaisseaux. En août de la même année, toujours à bord du vaisseau Le Palmier (74), Monteil prend le commandement de la flotte française dans les Indes occidentales, et reçoit pour mission d'inciter les autorités espagnoles présentes sur place à prendre un rôle plus actifs dans les combats contre la Royal Navy britannique.Il commande une escadre française composée de cinq vaisseaux de ligne : Le Palmier, son vaisseau amiral, L'Intrépide (74), Le Destin (74), et Le Triton (64), ainsi que de deux frégates. Il accompagne les 10 navires espagnols transportant des troupes placées sous les ordres du général de Galvez et débarque 700 soldats français, contraignant la garnison anglaise à capituler rapidement à Pensacola.De Monteil commande Le Languedoc (80), capitaine du Plessis-Parscau, et dirige l'arrière-garde française lors de la bataille de la baie de Chesapeake, également appelée bataille des capes des Virginie. En , les vaisseaux sous ses ordres s'emparent de deux bâtimens anglais le HMS Unicorn, une frégate de 28 canons et le HMS Gayton, un brick de 18 canons, en plus de deux embarcations américaines qui avaient été capturées par des corsaires.Il est fait chevalier de l'ordre du Saint-Esprit en . Il se distingue à nouveau pendant la capture de Saint-Christophe en . Il est promu lieutenant général des armées navales le . Il s'agit alors du deuxième grade le plus élevé dans la Marine, en dessous de celui de vice-amiral. Il meurt le , au château de la Couharde (La Queue-les-Yvelines), à l'âge de 62 ans.













Nottes des Prises conduites a Gibraltar par la frégate l'Alarme 8 cannons.
Le Lantiégnani capitaine E Olivier du port de 300 tx  25 hommes d'équipage ,chargé de vins,huilles savon,briques chandelles & allant de Marseille à la Martinique.
La tartanne Jesus & Marie capitaine André Molon du port de 120 tx 8 hommes d'équipage ,chargée de laine & cuirs allant de Larrache à Marseille.
le Brigantin  Le Marquesin allant de Marseille à Rochefort chargé de terre rouge.
Le Brigantin l'Aimable  Magdeleine  capitaine Herbert.
l'Hermione capitaine  L Pitot  tous deux allant de Toulon à Rochefort.
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3 Documents concernant la prise par les anglais de 5 vaisseaux de commerce français
. ils sont conduit à Gibraltar  ou il n' y
a pas encore d'ordre pour la vente et condamnation des propriétés 
françaises. L'amiral anglais commandant à Gibraltar  nous fait écrire par nos correspondants  de la ville (Le Coulteux) pour tacher de procurer la liberté au capitaine Goldsmith commandant  du brigantin"Le Nil" pris  par le Corsaire français "Le César" échange de prisonniers(histoire de bijoux)1778.prix de vente 250euros







                                                                                                   Fournisseur de bois  pour la Marine.                                             (voir aussi   traité pour la fourniture de bois à la Marine  ,arrêté entre le duc de Choiseul ,).
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Bersolle et Lornier fournisseurs de la marine 5 lettres et un état des comptes  9 pages in-4 BREST 1777_1779.
Fourniture de bois de marine " Le port n'en veut que de bons et propres au service" mais les retard de payement dus aux dysfonctionnements de l'administration royale sont considérables .Néammoins Carré et compagnie sont invités à continuer à fournir ,mais ils restent silencieux .....sans piècesnous ne pouvons rien faire ;de grace envoyez la moy car on a  une peine infinie à régler de reélles affaires dans ce port surtout dans ce moment ou les opèrations sont si rapides   "" il fera son possible pour que le ministre puisse le régler et donne des nouvelles des agitations en ce début de guerre "  Nos armements vont bon train et sous la fin du mois ,tous nos vaisseaux seront en rade ,malgré nos forces ,il ne nous vient presqu'aucun approvisionement sans le commerce de St Domingue ,nous serions bien à plaindre"...
prix 350 euros






Congé de débarquement pour maladie délivré le 19 octobre 1778.par le Lieutenant général D'ORVILLIERS             .
Sur les certificats et avis des médecins à nous présentée  par M Dourville lieutenant de Vaisseau,il lui est permi de se débarquer du Réfléchi  commandé par M  Cillart de  Surville capitaine de vaisseau pour rétablir sa santé Brest le 18 octobre 1778.

A la bataille de Negaptan contre l'amiral anglais Hughes ,un vaisseau isolé 
le "Sévère" commandé par de Cillart,améne les couleurs sans combat Suffren
furieux va "casser" 4 capitaines de vaisseaux On a accusé de Surville d'avoir tué
Suffren en duel!1788 ????mais cela semble faux.                                     prix de  vente :145 euros.







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Copie de la lettre de l'Amiral Parker à monsieur De Lamotte piquet.
J'ai reçu la lettre que votre noble exelence a fait l'honneur de m'écrire par le preffet michel quoique il y a si peu de temps que vous m'avez enlevé une frégate ou plusieurs autres batiments ,je ne puis m'empecher de vous estimer et de vous admirer la conduite que votre exelence a tenu dans l'affaire du 18 de ce mois justifie plainement la bonne réputation dons vous jouissé parmi nous et je vous avoue que je n'ai pu sans ennui etre le temoin de l'habilité  que vous essué faire voir .......nos inimitiés pour passagéres et dépendre de nos maîtres ,mais votre mérite a gravé dans mon coeur la plus profonde vénération je veillerai  toujours avec le le plus grand soin pour que nos parlementaires et nos prisoniers soient bien traités et je saizirai avec plaisir toutes les occasions qui pourrais se présenter de vous donner les preuves de la considération et de l'estime avec lesquelles je suis de votre exelence le tres humble et tres obeissant serviteur 
signé  .Hyde  parker à bord de la princesse à sainte Lucie le 28 décembre 1779


prix 200 euros


NOTES.hyde-parker-louis-XVI.jpgLa bataille de la Martinique , ou combat de la Martinique , était une rencontre navale le 18 décembre 1779 entre un escadron britannique de 13 navires sous l'amiral Hyde Parker et une division française de trois navires sous l'amiral Lamotte-Picquet près de l'île de la Martinique à l' ouest  .Afin de couvrir la retraite d'un convoi sous Joseph de Flotte poursuivi par les Britanniques, le solitaire Annibal de 74 canons , sous Lamotte-Picquet. Pendant 90 minutes, Annibal engagea à lui seul l'escadre britannique pour bloquer son avance, avant qu'elle ne soit rejointe par les deux 64 canons , le Vengeur et le Réfléchi . Dix à 11 des transports ont été pris par les Britanniques ou se sont échoués pour éviter la capture, mais le reste du convoi de la frégate d'escorte Aurore a réussi à s'échapper et la division est revenue à son ancrage. Hyde Parker a écrit à Lamotte-Picquet une lettre de félicitations dans les jours qui ont suivi

À l'automne 1779, une flotte britannique dirigée par l'amiral Hyde Parker est ancrée à Sainte-Lucie , que les Britanniques avaient capturée un an auparavant lors de la capture de Sainte-Lucie . Parker attendait l'arrivée de l'amiral George Brydges Rodney , qui devait mener la campagne de 1780, et sa flotte était en grande partie au repos, avec des équipages à terre et des réparations en cours sur certains navires.

pendant ce temps, la division des Caraïbes françaises, dirigée par le chef d'escadre Lamotte-Picquet , subissait un radoub sur l'île voisine de la Martinique aux Antilles . La division comprend huit navires de ligne, mais en décembre 1779, seuls trois sont opérationnels : le 74 canons Annibal , et les 64 canons , Vengeur , sous Fournoue  et Réfléchi ,  sous Cillart de Suville .

Dans la matinée du 18 Décembre, un convoi français sous Joseph de Flotte ,] qui avait quitté Marseille en Octobre et se dirigeait vers la Martinique, est arrivé dans le canal de Sainte - Lucie, le corps de l' eau entre les îles de Sainte - Lucie et la Martinique. Le convoi a apporté des fournitures pour les colonies françaises des Caraïbes et pour la division sous Lamotte, ainsi que le diplomate Gérard de Rayneval . Il comprenait 26 transports, escortés par la frégate solitaire de 34 canons Aurore . Vers 08h00, le HMS  Preston , qui était stationné dans le canal de Sainte-Lucie, a donné un signal indiquant l'arrivée d'une flotte inconnue. Parker s'est immédiatement précipité et a réussi à faire sortir cinq navires de ligne et une frégate de 50 canons pour rencontrer la flotte qui arrivait. Peu de temps après, le poste d'observation français des Anses-d'Arlet signale l'arrivée du convoi de Flotte, ainsi que 15 navires de guerre britanniques à leur poursuite.Flotte fit naviguer ses navires près du rivage, espérant que les eaux peu profondes dissuaderaient les navires de guerre britanniques d'approcher, et Aurore se replia pour lancer une action d'arrière-garde afin de retarder l'escadre de Hyde Parker et d'alerter les forces françaises de la Martinique. Les navires de tête du convoi passèrent aux Anses-d'Arlet vers 1400 Lamotte fit alors brouiller ses navires pour couvrir la retraite du convoi, rassemblant des renforts pour son équipage parmi les équipages des navires en réparation, ainsi que des volontaires de la population. 

Lamotte quitte le mouillage de Fort Royal avec son vaisseau amiral, l' Annibal de 74 canons . Comme son arrivée se faisait au vent, il a pu couvrir l'arrivée des convois restants. La flotte britannique, avec le HMS  Conqueror en tête, a commencé à battre le vent pour se rapprocher de la flotte française. En 1700, Conquérant est venu avec la gamme de Annibal de » canons, et la bataille a été engagée entre les deux. Annibal s'est retrouvée face à sept navires britanniques pendant une demi-heure, avant que le Vengeur et le Réfléchi de 64 canons ne la rejoignent. À ce moment-là, les 15 navires britanniques étaient également engagés. L'équipage français renforcé a permis aux navires de Lamotte de soutenir une cadence de tir particulièrement élevée, Annibal en particulier tirant alternativement des deux bordées alors qu'elle se tournait pour faire face aux Britanniques des deux côtés.

Le soir venu, le HMS  Albion était également à portée, mais l'action s'était dirigée vers les hauts-fonds près de Fort Royal. Les défenses côtières de la Pointe des Nègres et du Gros Îlet ont commencé à tirer sur les Britanniques.  Parker a finalement appelé sa flotte au large à 1845, mais une dernière attaque cinglante de la flotte française a coûté la vie Conquérant de capitaine, Walter Griffith

La perte du convoi français était importante avec treize navires capturés ou conduits à terre. Parker était cependant satisfait de la conduite de ses escadrons et des prises capturées, mais aussi des Français.  La conduite de La Motte pendant la bataille a suffisamment impressionné Hyde Parker pour lui faire envoyer une lettre de félicitations à son adversaire lorsqu'ils ont eu l'occasion de communiquer via un drapeau de trêve :

La conduite de Votre Excellence dans l'affaire du 18 de ce mois justifie pleinement la réputation dont vous jouissez parmi nous, et je vous assure que je ne saurais témoigner sans envie de l'habileté dont vous avez fait preuve en cette occasion. Notre inimitié est passagère, dépendant de nos maîtres ; mais votre mérite a imprimé dans mon cœur la plus grande admiration pour vous-même.

LA-motte-piquet.jpgLamotte-piquet est fait Commandeur de l' Ordre de Saint-Louis .

Après s'être concerté avec le général Lincoln, le comte d'Estaing charge La Motte-Picquet d'effectuer, à la fin du mois d', avec une escadre de sept vaisseaux, le débarquement des troupes  destinées faire le siège de Savannah (Géorgie). Le siège ayant échoué, il fait voile avec trois vaisseaux pour la Martinique. Il y était occupé à réparer ses bâtiments qui avaient beaucoup souffert dans l'expédition de Savannah, lorsque, le , des signaux de la côte lui annoncent qu'un convoi de vingt-six navires français, escorté par une frégate, était poursuivi par une flotte anglaise de treize vaisseaux et une frégate, commandée par l'amiral Hyde Parker, dans le canal de Sainte-Lucie   L'officier que La Motte avait envoyé pour en informer le marquis de Bouillé, gouverneur de la Martinique, n'a pas le temps de revenir que La Motte-Picquet avait déjà fait hisser les voiles de L'Annibal. Il se porte seul à la rencontre des Anglais, et attaque la tête de l'escadre ennemie. Après avoir fait le plein de munitions, les Vengeur et Réfléchi viennent rejoindre L'Annibal, qui combattait depuis près de deux heures, contre le HMS Conqueror (en) et le HMS Elizabeth (en). Pendant quatre heures, les trois vaisseaux français soutiennent le feu de dix vaisseaux anglais, dont sept tiraient quelquefois ensemble sur l'Annibal. La nuit venue met un terme aux combats, et l'amiral anglais envoie un signe de ralliement à ses vaisseaux ; La Motte-Picquet rentre au Fort-Royal, avec la frégate et la plus grande partie du convoi.Sur les 26 navires marchands, quatre sont brûlés et neuf seront pris par les Anglais. Néanmoins, une grande partie de la cargaison est conservée et Lamotte rentre avec tous ses vaisseaux dans Fort-Royal. Les Anglais doivent déplorer la perte du capitaine du HMS Conqueror, de cinq officiers et environ deux cents hommes. Impressionné, l'amiral Hyde Parker envoie un message de félicitations à La Motte-Picquet pour cette action.

« La conduite de Votre Excellence dans l'affaire du 18 de ce mois justifie pleinement la réputation dont vous jouissez parmi nous, et je vous assure que je n'ai pas été témoin sans envie de l’habileté que vous avez montré à cette occasion. Notre inimitié est passagère, et dépens de nos maîtres [rois], mais votre mérite a gravé sur mon cœur la plus grande admiration à votre égard. Je prendrai toujours le plus grand soin pour que vos parlementaires et vos prisonniers soient bien traités, et je saisirai avec plaisir toutes les occasions qui pourront se présenter pour vous donner des preuves de la considération et de l’estime avec lesquels je suis de Votre Excellence

Dans le récit qu'il fait du combat, La Motte-Picquet rend hommage à ses équipages et insiste pour qu'ils aient une part des prises effectuées.







mollard.jpgdocument nomination Sr Mollard   daté du   8 May 1780  annoncé le 8
Le S Mollard ancien Officier de la Compagnie des Indes a été  admis dans la Marine en 1773 en qualité de Lieutenant de Frégate,employé depuis au Port de L'Orient: il   a commandé ,en 1778 et 1779 la flute l'Isle de France avec le Brevet de capitaine de Brulot pour la Campagne.  Cet officier  ayant offert ses services  pour armer sur l'Hector,ne peut y être employé qu'en qualité de Capitaine de Brulot et on propose à Sa Majesté de lui en accorder Le Brevet en pied.  document paraphé    Bon  approuvé   "Bon"par le roi ou son secrétaire.  Prix 190 euros.
remarque:
sous l'ancien régime.
un officier non Noble venant de la marine marchande ne pouvait pas dépasser le grade de capitaine de brûlot!



    
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blason-orves.jpgThomas d'Estienne d'Orves (1727-1782), amiral français, chef d'escadre de l'expédition de l'Inde.
  Ordre   du chevalier D'orves   08 octobre 1780        
LE  CHEVALIER THOMAS D'ORVES Chevalier de l'Ordre Royal & Militaire Saint-Louis,Capitaine des Vaisseaux du Roi,Brigadier des Armées Navales,commandant de la Division.
M.M les capitaines recevront  sans aucune difficulté les hommes qui leur seront envoyés sortant des hôpitaux d'aprés  l'Examen qui en  avait  été fait p ar les officier de santé qui les auront decidé en état de s'embarquer
La conséquence des ordres cy devant donnés l'Escadre partira absolument mercredy prochain    

A bord de l'Orient le 8 8bre 1780  
 
chef  d'escadre en Océan Indien il se trouve sur le vaisseau l'Orient  à l'île de France  ils vont quitter le port mais il va mourrir à bord deux mois aprés.
        Prix110 euros.                






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Henri-César comte de Castellane-Majastre (1733/1809)
chef d'escadre 9 lettre signées écrite à sa femme de Toulon et Marseille 1778 (cachets de cire). Préparatifs de la guerre contre les anglais.
En ce début d'année 1778 le comte est en station à Toulon,il a récemment obtenu le grade de capitaine et va recevoir le  commandement de la frégate "la Flore"au sein de l'escadre de l'amiral d'Estaing,à tout moment 

il s'attend au déclenchement des hostilités  contre les anglais,il informe son épouse de ses  activités"je suis entré en service aujourd'huy  pour les rondes et les achats et fournitures  du Roy au magasin général dont je suis..........
.
prix de vente:600 euros.
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Henri-César de Castellane, marquis de Majastre
, dit « Castellane-Majastre », né le à Marseille et mort le à Riez, est un officier de marine et aristocrate français du XVIIIe siècle. Issu de la Maison de Castellane, très ancienne famille noble de Provence, il s'engage dans la Marine royale comme nombre de ses aïeux avant lui. Il se distingue pendant la guerre d'indépendance des États-Unis et notamment au combat livré en baie de Chesapeake en . Il termine sa carrière avec le grade de chef d'escadre des armées navales.

Il épouse, le à Marseille, Marie Claire de Montolieu († 1800). De cette union naissent 6 enfants dont 2 fils:Charles de Castellane (1783-1857)

  • César Elzéar de Castellane, Comte de Castellane-Majastres (1784-1835)
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lettre signée Louis XVI.
contresignée par son ministre
de la marine le marquis de CastriesVersailles le 28 janvier 1781.
A henri-Cesar de Castellane-Majastre
capitaine de vaisseau







Louis XVI  l'a choisi pour "commander
mon vaisseau "Le Marseillois" que je faisarmer  au port de Brest il lui est ordonné de s'y rendre.prix:300 euros.

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Garde de la marine du à Toulon , puis sous-lieutenant d'artillerie en 1751 il est promu successivement aux grades de lieutenant de vaisseau en 1762 puis à celui de capitaine de compagnie en 1775Il est fait chevalier de Saint Louis en 1773. Il prend part aux préparatifs de la guerre contre les Britanniques. Au début de l'année 1778, Castellane-Majastre est en station à Toulon, où il a récemment obtenu le grade de capitaine de vaisseau (1777) et reçoit le commandement de la frégate La Flore, au sein de l'escadre de l'amiral d'Estaing, avec laquelle il effectue quatre prises. Il participe à la guerre d'indépendance des États-Unis, et est l'un des membres d'origine de la Société des Cincinnati.Il commande Le Caméléon en 1778, Le Sagittaire en 1780, puis Le Marseillais, de 74 canons, dans l'escadre du Comte de Grasse qui met les voiles depuis Brest le . Il est présent à tous les combats livrés par cette escadre. La flotte française relâche à la Martinique. Il est au combat du 29 avril 1781 devant Fort-Royal de la Martinique et à la prise de Tobago le suivant Il participe également à la victoire navale décisive de Chesapeake, le contre la flotte britannique de l'amiral Graves. Il va notamment se mesurer lors de cette bataille rangée au HMS Intrepid, un vaisseau de 64 canons. Les Britanniques finissent par se retirer. L'amiral de Grasse dira de lui après le combat de Chesapeake : « Très instruit, bon manœuvrier, d'un très grand sang-froid ». Il est également présent lors de la reddition de l'armée de Lord Cornwallis après la bataille de Yorktown, en . Le , il reçoit pension de 1 000 livres sur le budget des Invalides.Retournant dans les Indes occidentales en , Castellane-Majastre commande Le Marseillais lors de la bataille de Saint-Kitts les 15 et . Il a neuf hommes tués et 19 blessés sous ses ordres4. Il est également présent au combat des Saintes en avril de la même année. Son navire fait alors partie de l'escadre blanche et bleu, commandée par le marquis de Coriolis d'Espinouse, chef d'escadre ; mais les Français sont lourdement vaincus. En , il est présent à Saint-Domingue au sein de la flotte placée sous les ordres du marquis de Vaudreuil. Moins combattif qu'en baie de Chesapeake, le commandant du Marseillois n'engage presque pas son vaisseau, le ramenant à Brest avec les autres rescapés de la bataille. Le , il se voit attribuer une pension de 800 livres sur le budget de l'ordre de Saint-Louis et il est promu chef d'escadre des armées navales avec rang à prendre au . Il est représentant de la noblesse aux États provinciaux tenus à Aix en 1788. Enfin, son acte d'inhumation établit son appartenance à la Société des Cincinnati.
Born into an ancient noble family in Riez, Basses-Alpes (Alpes de Haute Provence), Henry César, marquis de Castellane Majastre, was a career officer in the French naval service, and appears to have descended from a family with long connections to the navy. Among his most important contributions, at least from the American standpoint, Castellane Majastre served in the French fleet that sailed to the aid of the Americans in March, 1781.As commander of the 74-gun vessel Marseillais , Castellane Majastre sailed from Brest with the fleet of Admiral François Joseph Paul, comte de Grasse, on March 22, 1781, bound for Martinique, and he subsequently took part in the decisive campaign leading to the capture of Cornwallis' army at Yorktown, including the actions on the Chesapeake in September, 1781, and at Yorktown itself in October. The marquis was singled out by de Grasse for special commendation for his part at the Chesapeake Capes.Returning to the West Indies in November, 1781, Castellane Majastre led the Marseillais into action during the Battle of the Saints in April, 1782, forming part of the escadre blanche et bleu during this French naval disaster. In May, 1782, he was reported at Saint Domingue as part of the fleet under the marquis de Vaudreuil, and although his whereabouts for the next seven years are uncertain, at some point he returned home to Riez, where he died on May 5, 1789.




lettres   pour la capitaine De Castellane




Prix: 210 euros.


 
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monsieur
La peine et les soins que vous vous étes donné pour la Conservation de la flote marchande et fort heureuse arrivée dans nos ports ,ont exité la vive reconnaissance des négociants de cette place ils vous en font leur sincères remerciements. vous connaissez monsieur l'importance du commerce maritime et combien il est utile non seulement à l'Etat mais encore à la Marine Royale  .Cette considération et le zéle qui vous anime vous ont engagé à lui accorder toute la protection qui dépendait de vous : Jamais il n'oublera les services importants que vous lui avez rendu  Nantes le 13 janvier 1781 vos tres humbles et tres obeissants serviteurs les juges et consuls de na...ntes signé defrivellurier le rouch jb Belugue etc...
..........................................................................................
L' éloge que mr le cte d'estaing à fait mons de votre conduite comme commandant en second du convoi sous les ordres de monsieur de St Cezaire n'a point échappé a l'attention du Roi La vigilance que vous avez mise à rallier la partie de ce convoi qui a rentré a Cadix apres la premiere sortie de l'armée ,le Zele l'ardeur et la subordination que vous avet apporter dans le détail de cette mission si utile pour la protection du commerce et l'exactitude des comptes que vous avez rendu tant au général qu'a mr de St Cezaire ont été infiniment agréable à sa majesté elle me charge de vous Le Dire en vous assurant qu'elle est tres disposée a vous donner de nouvelles marques de sa confiance j'ai l'honneur d'être tres parfaitement mons votre tres humble et tres obeissant serviteur  ...........signé le marquis de Castries








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lettre signée du 24 mars 1781 à monsieur de la Chaussade  pour lui fournir  du bois de construction pour le port de Toulon
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J'ai reçu monsieur la lettre que vous m'avez fait l'honneur de m'écrire les 20 et 21 de ce mois Je mettrai sous les yeux de m le Mtre de Castries votre soumission pour fouirnir à Toulon  150 mille pieds cubes de bois  de construction à tirer du Charoloix du Boubonnoix et du Lyonnoix et autres Provinces voisines
lettre signée et lettre autographe signée
de LAPORTE ARNAULD(1737-1792)
né à Versailles ministre  intendant de la marine prix :210 euros.
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Arnaud II de La Porte, né à Versailles le , ministre de la Marine en 1789, intendant de la Liste civile, ministre de la Maison du roi Louis XVI, est mort guillotiné à Paris le .
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lettre autographe signée du 21 aôut concernant la réparation de deux ancres sur la gabarre "Marie Angelique" adressée à M de Brinqueville







bataille des Saintes  
La bataille des Saintes se déroule du 9 avril au , pendant la guerre franco-anglaise, entre une flotte britannique dirigée par George Rodney et une flotte française dirigée par le comte de Grasse. La flotte britannique en sort victorieuse. L'affrontement fut baptisé du nom des îles des Saintes, un archipel séparé de la Basse-Terre en Guadeloupe par le canal des Saintes                         (le commandant du Neptune sr  Detlaire )
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lettre du commandant du Neptune au général de la division  28/ j/ 1782.
Mon général.
Vous avez vu les positions successives des vaisseaux de l'Escadre bleue ,à la soirée du 25 .Je ne compte donc pas avoir l'honneur de vous en rendre compte mais apprenant qu'on n'avait pas aperçu à votre bord les signaux que je me suis hâté de faire à votre vaisseau de tête je me presse de faire le raport suvant
Tout alors en régle au   Signal de suivre le dit Vaisseau de tête ,et a l'instant du signal de Chasse sans ordre (lequel  j'ay regretté à l'Instant)au même instant aussy  m'astreint a forcé de voiles ,Selon notre idée  de doubler à bord et de  pouvoir Le PLUTON au vent comme vous cherchiez  a en doubler d'autant  es comme La ville de Paris Le Neptune  a mis aussy le signal de tenir le plus pret .
M d Albert était alors assé en avant pour que je dusse m'en  raporter à lui pour ne  que le moins possible de se  couvrir de voiles  il n'était pas encore  suivi de bien pres et Connaissant son exactitude j'étais bien sur que  qu'à mesure qu'on serait sur lui  il serrerait sur l'ennemy s'agissant plus pour lui d'aller nommement au chef de la file anglaise
Le Neptune ayant mis tout de bord doubla ses deux matelots de devant du vent vu que l'Auguste ne pouvait orienter autant de voiles et que l'Ardent marche mal mais bientôt parvenu pret de La Bourgogne dans les course du Pluton et retardélui on vit ce dernier en panne .je me hatai de mettre le signal qui indique au Vaisseau de tête de faire de la voile La Bourgogne ne pouvait aucunement le doubler et a peine la Ville de Paris  eut elle fait feu et a peine Le Pluton et la Bourgogne l'eurent imité malgrénotre attention a differer de tirer que nous nous trouvames  en danger iminent d'aborder M  de Charis celui cy ne desirait le doubler sous le vent et ne pouvant le doubler au vent  comme liui et marchant mieux

jusque la  M d'Ateind n'avait amené que son petit perroquet pour faire apercevoir le signal dede faire servir avec celui de derriereLe vent au Pluton et nous interompiment le feu dans la seule idée de faire mieux apercevoir mon second signal d'augmenter de voiles a ce vaisseau de tête
Je suppose que M d Albert tirant depuis que la ville de Paris avait commencé n'avait pas distingué mes deux commandement successifs j'ay presumé qu'i avait eu l'idée de couper mieux le mouillage de la Basse terre ou est lennemi semblant se diriger ou bien qui s'estimait plus pres de la côte et plus loin de nous du moins la fumée de la Bourgogne l'empêchait de voir Son matelot d'arriére et surtout mes signaux  quand d'ailleurs comme vous l'avez  le vent nous refusait à l'approche de la terre
j'espérait lorsque le pluton avait resté en panneet que Le Bourgogne y étant M d'Estein n'evitait de l'aborder qu'en brassant tout sur le mât  j'espérait dis je que le porte voix suppléerait mais jamais La Bourgogne ne put entendre mon ordre pour faire passer la vois à l 'autre je lusse désiré bien ardamment puisse qu'il était aisé de prevoir que les vaisseaux suivant allaient être embarassés et que cet incident qui arretaait invinciblement La bonne volonté de M d'Aasteind generait beaucoup le reste de la division ,cette idée m'affectait bien plus encore que le reghret que je devais avoir de l'impossibilité de nous elever au lieu de combatre de si loin
Lardeur de monsieur D'ateind celle de ses officiers et de tout son équipage était de plus propre à m'affiger d'un instant perdu envert une armée qui n'en perdait aucun  dsans sa retraite
on pourra vous rendre compte que moins  par l'éloignement que pour laisser apercevoir le signal de forcer de voilesà la tête de même que pour que ceux qui suivaient  nous aperçusesnt on a moins tiré qu'on ne leut fait à nos batteries cependant vous avez vu avec qu'elle promptitude  m d'Albert a remis de la voile des que la fumée dissipée lui a permi de reconnaitree l'intervalle et c'est une justice bien due au capitaioine distigué  vu qu m d'asteind a recommenc"é le feu le plus vif qu'il a put  il vous a rendu compte de ses avaries et pertes d'hommes Le tout est fort modéré  je fis la nuit suivante courrier...............................................................................etc  etc.......






rene-louis-levasseur-comte-de-la-touche-treville
Lettres adressées à Charles de Laborde -Lassale ancien officier de la marine à Saint-Server."Mon digne frère a excité ce sentiment général,il méritoit particulièrement de toutes les personnes qui l'on connu"
il remercie aussi pour son compliment   sur "la place de commandant de la marine à Rochefort,dont le Roi m'a honoré"
René-Louis Levassor  comte de LA TOUCHE -TREVILLE 1745-1804  amiral lettre signé du 5 août 1782
on a joint 2 lettres de son frère louis jean françois marquis de La TOUCHE                                Prix 240  euros







ll est permi au sieur Henry Honoré de la Rochelle Capitaine d'une prise faite à la cote de Guiné par le corsaire  La Duchesse de ? ,nommée la goellette le Rebeca,désarmé  à la Grenade,et passé en Europe sur le navire neutre le Conelleryvauverné  Ostande,débarqué à Camaret,de  se rendre à Saint Malot,à la charge de se présenter sitot arrivé au commissaire des classes de ce département prions ceux c,,,, de le laisser librement passer . à Camaret le 2 septembre 1782.prix de vente 170 euros


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registre_du_greffe_de_lorient.jpg
27 Avril 1782.
extrait du registre du greffe de la juridiction de Lorîent
Du Samedsi vingt sept avril mil sept cent quatre vingt deux audiance tenue par monsieur Le Senechal présent monsieur le procureur fiscal Ecuyer laurent  bourgeois  trésorier de la marine du Roy  en son port de Lorient  opposant dans la succession vaccante      de qDame marion Dufresne aux fins de requete repondu ......contre Noble Maître Louis françois  Le Gallic  




Certificat de débarquement.Nous officier aux classes de la Marine à Bordeaux,Certifions  que Mr Durodet de Choisy Capitaine commandant du corps  Royal a été embarqué au  port au prince le 9 juin 1783. sur le navire l'Argot appartenant au sieur Beaubarbe et commandé par le Sr Gouffran et qu'il  a été débarqué  en ce port le 5 aout 1783 Fait à Bordeaux le 6 aout 1783.Prix de vente :100 euros.



Certificat de débarquement. Nous officier aux classes de la Marine à Bordeaux,Certifions que mr Darodet officier d'artillerie a été embarqué à St Pierre Martinique le 8 may 1770 sur le Navire
l'Aimable magdelon appartenant au sieur D'argenton commandé par Le Sr Belerglven & qu'il a été débarquement en ce port le
13 juillet suivant Fait à Bordeaux le 5 aout 1783.

Prix de vente :100 euros.




Dessin aquarellé. Port de Rochefort bateries maritimes       année 1784.
état et estimation des terres labourables qui sont trouvées comprises dans l'emplacement sur lequel en 1757 ,le Roi a fait établir le fort du Vergeroux et de celle sur lesquelles en 1771 on a établi la poudriére aupres du dit fort. le tout conformément au plan ci-joint.Sur lequel on a exprimé les limites du terrain appartenant jadis au Roi,celles du terrain prix en 1757 et celles du terrain prix en 1771.lesquelles limites ont déterminé la quantitée de terre pour lequelle est fixé le dédomagement çi-après sur l'estimation des nommés jaques Baril et J Sabourin experts nommés à cet effet tant de la part du Roi  que de celle des propriétaires et dont le procé-verbal est ici joint,lesquels ont éstimé chaque journal de terrain au prix en 1757 à 300" et chaque journal..........  ND


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Boulogne 2 juin 1784.
Monseigneur
La fregatte La Driade venant de Chine avec un chargement au compte du Roy est entrée au port de Lorient le 25 de ce mois au soir les dispositions necessaires a sa décharge sont bien prises pour la commencer aussitôt la fin de celle de la Méduse ,qui est bien avancée ,il ne se trouve actuellement à Lorient qu'un ponton de décharge  ce qui empêche de travailler aux deux ensemble,cela n'occasionnera que quatre jours de retard il est à présumer que la flutes Le Mulet & la Sensible qui ne marchent aussi bien que les deux frégates arriveront dans le mois prochain -pendant le séjour que je viens de faire à L 'Orient  j'ai fait mettre arrêt sur des marchandises qui ont été déclarées elles n'étaient plus en contravention quant aux fermes Générales  ,mais elles le sont relativement aux conventions écrites de ceux qui étaient sur le vaisseaux,pour lesquelles il avait été deffendu de pacotiller n'y rien embarquer que la cargaison au Compte du Roi .Je continuerais de faire faire saisire & après la décharge du quatrième bâtiment j'aurai l'honneur de vous rendre compte de tout en détail & de prendre vos ordres sur la grâce ou la sévérité que vous voudrez exercer
je suis avec le plus profond respect Monseigneur votre très humble & très obéissant serviteur   Grandclosmeslé   St Malo le 29 mars 1784.
prix  250 euros
remarque. pour info...
compte-grandclosmele.jpgclosgrandmel%C3%A9.jpg







1 pp in-folio en-tête d'Isidore de La carry avec ses titres et fonctions   vignette sur bois de la marine
isidore-de-la-carry.jpg piece signée "La Carry" à Rochefort 2 juillet 1785
1 pp in-folio en-tête d'Isidore de La carry avec ses titres et fonctions
 vignette sur bois de la marine.

Ordre d'embarquement sur "la Courageuse donné par Isidore de la Carry commandant le port de La Rochelle  pour le lieutenant de vaisseau Salbert de Forges.
  Il est ordonné a M.Salbert de Forges Lieville  Lieutenant de vaisseau qui est débarqué de ce jour utenant de vaisseau d'embarquer sur la frégate  la Courageuse  commandé par M  Santo Domingo capitaine de vaisseau à la place de monsieur  froger de Kerville autre Lieutenant de vaisseau qui est débarqué de ce jour.

prix  150 eurosville





de-silz.jpgChevalier de SILZ.   enseigne de Vaisseau. chouanerie.jpg
Ce chevalier Silz etait

un des chefs de la chouanerie
en Bretagne.
 

 
 

Ici il s'agit d'un billet autographe 
signé Reconnaissance de dettes.

datée de Brest le
6 Mars 1785

Collection particulière.
consutable en ligne sur mon site Web :

http://www.olivier-hilbert.com 
dans la partie consacrée à la famille
De la Haye de Silz, sur la page de 
Auguste Marie de Silz









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Bernard comte de Marigny(1740/1816) vice-amiral   3     lettres signées       à mr Thomas de Saint-Laurent enseigne des vaisseaux du Roy,major de l'escadre de M de Peynier Brest mars 1786.
Thomas de Saint Laurent qui a fait la  campagne des Indes avec Suffren  et Peynier  vient d'arriver à Brest avec son escadre.  Bernard de Marigny lui demande de  lui fournir tous les renseignements relatifs  aux officiers morts aux Indes  la liste des états-majors qui composaient  la division de Peynier,ainsi que les vaisseaux  et frégates restés aux Indes,afin de réaffecter  les officiers.Enfin il souhaite qu'il lui adresse  "une expédition de tous les signaux généraux et
particuliers de l'armée de M. De Suffren ainsi  que la division de M. de Peynier.prix de vente: 300 euros.
NOTES.

PORTRAIT-bernard-de-marigny.jpg
Charles René Louis, vicomte Bernard de Marigny, né à Sées le 1er février 1740,
qui s'est illustré durant la guerre d'indépendance des États-Unis, lors du combat de la frégate la Junon.

Il eut de bonne heure la vocation maritime. En 1754, à quatorze ans, il devient garde de la Marine. Il a pour condisciple Jean Isaac Chadeau de la Clochetterie, le futur commandant de la Belle Poule lors de son combat contre la frégate anglaise l'Arethusa sur la côte Nord de la Bretagne, près de Plescoat, combat qui marqua le début de la guerre d'indépendance des Etats-Unis. Comme Marigny l'aîné, la Clochetterie fut tué à la fin de cette guerre, à la bataille des Saintes, au commandement d'un autre vaisseau, l'Hercule.Les carrières de Charles Bernard de Marigny et de la Clochetterie se sont croisées à plusieurs reprises. En mars 1778, Marigny reçoit le commandement de la Belle Poule. A l'époque il a déjà embarqué sur seize bâtiments différents.  Sa première mission est délicate : raccompagner Franklin en Amérique. En Manche, alors que Franklin est à bord, se produit un incident semblable, en moins grave, à celui qui entraînera le combat de la Clochetterie : deux vaisseaux anglais demandent à visiter la Belle Poule. Naturellement, Marigny s'y refuse, avec cette fière parole : "Apprenez que les bâtiments du roi de France ne se laissent jamais visiter". Les Anglais s'excusent, disant qu'ils avaient cru avoir affaire à une frégate des insurgés américains… Ils ne savaient pas, bien sûr, que leur ennemi juré était à bord.Le mauvais temps oblige Marigny à relâcher à Brest. Il passe le commandement de la Belle Poule à la Clochetterie, et reçoit celui d'une autre frégate, la Sensible, avec laquelle il reconduit sans encombres Franklin jusqu'à Halifax.
Le port de Brest est alors en pleine effervescence, car on remet en état tout ce que la flotte française compte de vaisseaux et de frégates, pour une grande expédition contre l'Angleterre - peut-être un débarquement - sous les ordres du lieutenant général d'Orvilliers. Ce sera la bataille d'Ouessant, une des belles victoires françaises de la marine de Louis XVI, le 28 juillet 1778. Bernart de Marigny y participe, avec la Sensible ; il est nommé capitaine de vaisseau le 13 mars de l'année suivante.
Après le commandement de la Sensible, il reçoit le commandement de frégate la Junon et est affecté à l'escadre de Latouche-Tréville, le 7 août 1779. C'est là qu'il va vivre la plus glorieuse page de sa carrière, en compagnie d'une autre frégate, la Gentille, commandée par le chevalier de Mengaud de la Hage.

 L'affaire se passe en Manche, près de Plymouth où les deux frégates sont en patrouille. Elles rencontrent deux navires ennemis, un vaisseau anglais de 64 canons nommé l'Ardent accompagné d'une frégate, le Fox. Les deux Français n'hésitent pas à les attaquer malgré la disproportion des forces.
Marigny est ensuite major de la 1ère escadre, en mai 1786. On raconte que lors de la visite de Louis XVI à Cherbourg, comme il était un homme de grande taille et de grande force, on lui demanda de porter Louis XVI, pour l'aider monter à bord d'un navire.Cette anecdote est racontée de façon différente par Victor Guyon des Diguères : " Marigny était chargé de l'inspection des ports, en 1789, et se trouvait à Cherbourg, lors du passage du roi Louis XVI. En descendant du canot royal, commandé par Marigny, le roi fit un faux pas et faillit tomber ; le commandant le saisit dans ses bras et le porta dans la chambre du canot. "Que vous êtes fort, M. de Marigny ! dit le roi. - Sire, reprit celui-ci, un Français est toujours bien fort quand il tient son roi entre ses bras." l est ensuite major général à Brest en 1790 et doit faire face à l'agitation révolutionnaire. Des troubles sérieux avaient été fomentés par l'équipage du vaisseau le Léopard ainsi que par les troupes du régiment de Port-au-Prince embarquées sur ce navire. La mutinerie avait aussi gagné l'America, premier vaisseau sortis des chantiers américains, qui avait été offert à la France par le Congrès des Etats-Unis. Le 15 septembre 1790, une potence est dressée devant son hôtel de Marigny et il est pendu en effigie par les insurgés. Huit jours plus tard, un décret de l'Assemblée nationale, signé de Louis XVI, ordonne des poursuites contre les mutins. Marigny réussit à ramener l'ordre, à force de négociations.

En 1791, il est promu contre-amiral. Lassé par les troubles de la Révolution, il démissionne en 1792. Lors du procès de Louis XVI, qu'il connaissait personnellement, il lui offrit de venir témoigner en sa faveur, mais le roi refusa. Marigny est emprisonné durant la Terreur, ainsi que sa femme et sa fille.
Nommé vice-amiral à la Restauration, Marigny est mort à Brest le 25 juillet 1816, sans avoir revu la terre normande

adresse%20de-saint-laurent.jpg(Joseph) Jean de Thomas, comte de Saint-Laurent ( - ), chevalier, puis 3e comte de Thomas de Saint-Laurent (1787), seigneur de Saint-Laurent La Vernède et de La Bastide-d'Engras (1787), est un officier de marine français des XVIIIe et XIXe siècles.

Garde de la marine à Toulon, il devient aspirant de marine à 15 ans en 1777 et participe à la Campagne d’Amérique (1778-1781). Garde de la marine, il est embarqué sur le vaisseau le Marseillois (1778), de 74 canons, dans l’escadre du Comte d’Estaing qui affronte un vaisseau anglais le en face de Newport.Il participe au Combat de la Grenade et au siège de Savannah (-1779), il est promu enseigne de vaisseau à moins de 18 ans, le .

En , le Marseillois et le Zélé (commandés par le bailli de Suffren) appareillent ensemble de Brest pour une campagne dans l’Atlantique. Le , les deux vaisseaux sont engagés dans un combat à l’ouest du cap Saint-Vincent. En 1780, Saint-Laurent embarque à bord du Hardy, vaisseau de 64 canons, envoyé à Cadix, puis il passe ensuite sur L'Actif, participant à la Campagne des Indes (1781-1786). À la fin de l’année 1781, il embarque sur le Fendant, 74 canons, qui porte le pavillon du chevalier de Peynier, brigadier des armées navales. Le second du navire est le comte de Rosily, lieutenant de vaisseau.M. de Peynier s’est vu confier le commandement d’une division navale destinée à l’escadre des Indes. Cette division est composée de trois vaisseaux - le Fendant, l’Argonaute et le Hardi - et d’une frégate, la Cléopâtre. Le Fendant n’a que quelques mois de campagnes à son actif, au Sénégal puis aux Amériques.Le , la division du chevalier de Peynier appareille de Brest pour les Indes ; elle doit faire route via le cap de Bonne-Espérance – port néerlandais - puis l’Isle de France et y relâcher. La mission de M. de Peynier est double : aller renforcer l’escadre du bailli du Suffren et, en se rendant aux Indes, escorter un important convoi de troupes, munitions et approvisionnements nécessaires à une nouvelle campagne. Ce convoi doit encore s’augmenter après l’escale à l’Isle de France, où Peynier devra prendre en charge les troupes du vieux général de Bussy, destiné à commander les forces terrestres des Indes.Le , la division navale du chevalier de Peynier atteint le Cap, mais se trouve forcée d’y séjourner plus longtemps que prévu, du fait du mauvais état du vaisseau Le Hardi, mais surtout de la santé dégradée des équipages et de la troupe, victimes d’une redoutable épidémie.Or, ces renforts sont attendus avec impatience par Suffren auquel les moyens manquent pour lancer une offensive contre les britanniques sur la côte de Coromandel et dégager de façon décisive les environs de Pondichéry et Gondelour. En , la division navale du chevalier de Peynier a atteint l’Isle de France et opéré sa jonction avec le général de Bussy. Ce dernier tarde à embarquer ses troupes, attendant la fin de l’affreuse épidémie qui décime marins et soldats du convoi.Enfin, le , la division navale du chevalier de Peynier, escortant un convoi de trente-deux navires - portant 2 500 soldats -, appareille de Port-Louis et fait route pour rejoindre Suffren. La division est précédée de « la Cléopâtre », chargée d’éclairer la force. Le , le chevalier de Peynier envoie la frégate vers Sumatra, pour confirmer que Suffren s’y trouve effectivement. Apprenant que le bailli a appareillé d’Achem depuis six semaines pour rejoindre Trinquemalay, aux Indes, M. de Peynier assemble ses capitaines et se décide à faire voile pour Trinquemalay, sans relâcher à Achem.Le , la jonction s’opère enfin à Trinquemalay entre le convoi et l’escadre du Bailli de Suffren, réduite à onze vaisseaux par la perte accidentelle de deux bâtiments de ligne. Suffren est contrarié par le retard de ses plans et sait que l’amiral Hugues ne tardera pas à paraître sur la côte de Coromandel avec sa flotte, dont tous les vaisseaux ont été doublés en cuivre neuf.Le , Suffren envoie une division de deux vaisseaux (dont le Fendant) et deux frégates, sous les ordres du chevalier de Peynier, bloquer le port britannique de Madras et intercepter les navires qui voudraient y entrer. Le , M. de Peynier, ayant débarqué à Goudelour toutes les munitions demandées par le marquis de Bussy, fait route de retour lorsque ses vigies lui signalent la flotte anglaise. Il fait immédiatement courir au large, à pleines voiles, et parvient à échapper à l'Amiral Hugues. Suffren s’inquiète déjà vivement lorsque, le , les cinq navires de Peynier apparaissent enfin devant Trinquemalay.Dès le lendemain, , l’escadre entière, enfin opérationnelle, appareille pour Goudelour, afin d’y soutenir le corps d’armée du marquis de Bussy et, si nécessaire, d’y affronter la flotte anglaise. En effet, Suffren dispose maintenant de quinze vaisseaux et peut donc prendre le risque d’affronter Hugues et ses dix-huit bâtiments de ligne. L’avant-garde française est commandée par le chevalier de Peynier, à bord du Fendant, commandé par M. de Saint-Félix. Elle comprend cinq vaisseaux.Le 20 juin, l’amiral britannique accepte de l’affrontement. Embarqué sur la Cléopâtre, Suffren donne l’ordre de former la ligne de bataille et l’escadre entame son évolution. Le Sphinx et le Brillant précèdent le Fendant, que suivent le Flamand et l’Ajax.Le Fendant affronte et repousse l’HMS Inflexible, de 64 canons, puis le HMS Gibraltar de 80 canons. Il dégage ainsi le Brillant, qui livrait à ce vaisseau un combat trop inégal et lui permet d’attaquer un autre vaisseau moins puissant. Le second du Fendant, Saint-Félix, est blessé et, bientôt, le feu éclate dans la hune d’artimon du vaisseau par l’explosion d’un baril de grenades. Pour tenter d’éteindre l’incendie, Peynier est obligé de sortir prématurément de la ligne de bataille. À bord du Fendant on parvient à se rendre maître du feu et le vaisseau peu reprendre le combat.La bataille, engagée depuis deux heures et demie, tourne nettement à l’avantage de Suffren, plusieurs vaisseaux britanniques étant gravement endommagés, lorsque, la nuit tombant, l’escadre de Hugues se retire. Cette bataille de Goudelour, considérée comme le plus beau combat livré par Suffren, est l’une des rares victoires jamais remportées sur la Royal Navy. M. de Saint-Félix quitte le Fendant pour prendre le commandement du Flamand.Le après-midi, Suffren court enfin à la côte pour y débarquer des renforts et sauver les défenses du marquis de Bussy. Le , la frégate parlementaire Médée apporte la nouvelle du cessez-le-feu entre la France et l'Angleterre, signé à Versailles le . La suspension d'armes est immédiate.








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CUBA 1786.
Mémoire sur la Cote de l'Isle de Cuba comprise entre le cap Maizi et la pointe de Nava pour servir au plan ci-joint  (manque le plan)
noms des mouillages   Matta   reconnaissances de Matta  Yamory-    Bouma   anse ou plage du miel-   reconnaissance de l'anse de miel    Barracoa-   reconnaissance de Barracoa    remarques générales

A bord de la corvette  Le fanfaron  le 4 septembre 1786 MM de Grimaldi                                                                                prix 300 euros









.Louis Jean Marie qe Bourbon duc de Penthièvre.  Amiral de France.Commission  de receveur des Droits au port de La Hougue,en faveur du sieur Larnache  aux lieux et place du sieur Verney... Confection d'inventaires des effets  sauvés des naufrages ou pris sur mer sur les ennemis de l' état.     . 1786.          Parchemin   prix 750  euros






  chevalier-de-rouvre.jpg     
D'ALBERT DE RIONS Commandeur de l'ordre  Royal & militaire de St Louis Chef d'escadre  des armées navales,
commandant la marine en ce port. Il est ordonné a monsieur le chevalier Du Rouvre enseigne de vaisseau de s'embarquer sur le Bricq "La Levrette" commandé par m de Sainvilliers et d'y servir en sa qualité pendant sa campagne.
 A Toulon Le
1er may 1786.
prix: 100  euros.
                       notes:
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François Hector d’Albert, comte de Rioms (ou Rions), né le à Avignon et mort le à Saint-Auban-sur-l'Ouvèze, est un aristocrate et officier de marine français du XVIIIe siècle. Il est l'un des principaux commandants de la flotte française pendant la guerre d'indépendance des États-Unis et termine sa carrière dans la Marine avec le grade de contre-amiral (1er janvier 1792), équivalent à celui de chef d'escadre des armées navales de France sous l'Ancien Régime. Commandant en second la marine dans l'Armée des Princes (1792), sous le comte d'Hector, iI passe alors à tort pour un contre-révolutionnaire farouche. En 1802 cependant le Premier Consul loue « sa conduite politique pendant la Révolution

Albert de Rioms débute comme garde de la Marine à la compagnie de Rochefort, en 1743, devient enseigne cinq ans plus tard, et lieutenant de vaisseau en 1755. Lors de la guerre de Sept Ans, il est fait prisonnier une première fois sur l'Espérance (commandant : le vicomte de Bouville), une seconde fois sur le vaisseau Le Foudroyant, dans le combat de Carthagène du , livré par le marquis Duquesne, voulant rallier, à Carthagène, La Clue, bloqué par une escadre anglaise commandée par l'amiral Henry Osborne.Le 11 juin 1761, il épouse Thérèse de Clerc de Ladevèze (1740-1823). De cette union naît une fille, Adeline d'Albert de Rions (1770-1807).

chevalier de Saint-Louis en 1763, il est promu au grade de capitaine de frégate en 1771, après avoir servi, soit dans l'infanterie, soit dans l'artillerie de marine, et prend part à quatre campagnes navale

capitaine de vaisseau en 1772, il servit avec éclat dans la guerre d'Amérique, sous les ordres du comte d'Estaing.En 1778, M. d’Albert, commandant le vaisseau le Sagittaire, de 50 canons, concourt à l'expédition de Newport, à l'attaque de Sainte-Lucie et se trouva en juillet 1779 au combat de la Grenade, où le comte d’Estaing bat l’escadre de l’amiral Byron. Le 24 septembre de la même année, au siège de Savannah, il capture le HMS Experiment, vaisseau anglais de 50 canons, de la même force que le sien, et portant 650 000 fr. d’argent monnayé. Suffren, qui combat avec lui à Newport, ne cesse plus par la suite de faire son éloge.En 1780, il est promu brigadier des armées navales. En 1781, montant le vaisseau le Pluton, (74 canons), il se fait remarquer dans tous les combats livrés par l’escadre du comte de Grasse, à savoir : le 29 avril, au large de Fort-Royal de la Martinique, contre la flotte de l’amiral Hood ; à la prise de Tobago à la fin du mois de mai ; le 5 septembre suivant, devant la baie de Chesapeake, contre l’amiral Graves ; le 25 et le 26 janvier 1782, près de l'île Saint-Christophe, contre l’amiral Hood.Enfin, dans les journées du 9 et du 12 avril, entre la Dominique et la Guadeloupe, à la bataille des Saintes, où, monté sur Le Pluton, il se distingue par le secours, remarquable, tenant en échec quatre vaisseaux britanniques, qu'il porte à la Ville de Paris, contre l’amiral Rodney.Cette défaite des Saintes, où seul un tiers des vaisseaux français ont fait face à plus du triple de navires anglais donnera lieu à un conseil de guerre, long et inutile, où des oppositions d'officiers et d'aristocrates prévalent sur les actions de réforme, correctrices, et à une reconstruction plus rapide de la flotte pour la conquête des Indes ou de la Jamaïque.Lors de ce conseil mettant en jeu les égos, plus encore que le vrai combat naval, sera examinée la conduite de tous les officiers supérieurs : celle du comte d’Albert de Rions obtient des éloges mérités, et de tous.Aussi, dans l'Inde, Suffren le demande-t-il comme capitaine, et, au besoin, comme successeur. Ce dernier écrit à M. de Castries :« Je ne connais, qu'une personne qui a toutes les qualités qu'on peut désirer, qui est très-brave, très-instruite, pleine de zèle et d'avenir, désintéressée, bon marin : c'est M. d'Albert de Rions, et, fût-il en Amérique, envoyez-lui une frégate. J'en vaudrai mieux, l'ayant ; car il m'aidera, et, si je meurs, vous serez assuré que le bien du service n'y perdra rien ; si vous me l'aviez donné quand je vous l'ai demandé, nous serions maîtres de l'Inde. »promu chef d'escadre des armées navales en 1784, il est fait Commandeur de Saint-Louis par brevet du 20 août 1784 et reçoit une pension de 3 000 livres sur le budget de l'ordre. Il est nommé directeur général du port de Toulon et ensuite commandant de la marine dans ce port, il commande, en 1785, le vaisseau le Séduisant dans la campagne d'évolutions qu'il fait avec Buor de la Charoulière dans la mer du Nord.Lorsque Louis XVI visite Cherbourg, en 1786, Albert de Rions lui donna, sur le Patriote, le simulacre d'un combat naval dans la rade.








hectorb.jpg110 euros  Brest 5 Avril 1786.Il est ordonné au Sieur Thomas de St Laurent enseigne de vaisseau de retourner à Toulon son département aux ordresz de l'officier Général qu'y commande.
Jean -Charles comte d'HECTOR. Lieutenant général des armées navales commandeur de l'ordre royal et militaire de St Louis commandant la  marine au port et département de Brest.

HECTOR-louis-XVI-portrait.jpgCharles Jean d'Hector, comte d'Hector, né le à Fontenay-le-Comte (Vendée actuelle) et mort le à Reading, près de Londres, est un aristocrate et officier de marine français du XVIIIe siècle. Orphelin de père jeune, il entre tôt dans la marine royale et commence à servir pendant la guerre de Sept Ans, notamment lors de la bataille des Cardinaux. À la suite de ce combat, il sauve — en compagnie du chevalier de Ternay — une partie de la flotte française qui s'était réfugiée dans la Vilaine. Il est promu capitaine de vaisseau puis chef d'escadre au début de la guerre d'indépendance des États-Unis. Nommé commandant de la Marine et du port de Brest, il assiste le Ministre de la Marine, le maréchal de Castries, dans ses réflexions sur la réforme de la Marine. Il reçoit la visite du futur tsar de Russie Nicolas Ier et de sa famille, ainsi que celle de Louis XVI venu inspecter le port de Cherbourg.Sa pupille Melle Georgette de Kerouatz épouse au printemps de 1784 Paul Fleuriot de Langle.Il termine sa carrière au grade de lieutenant général des armées navales de la Marine royale sous Louis XVI. Lorsque la Révolution française éclate, il émigre en Angleterre où, malgré son manque de ressources, il monte un régiment de volontaires, le Régiment Hector ou Marine Royale qui participe à l'expédition de Quiberon en 1795. Il meurt en exil en Angleterre en 1808, à l'âge de 86 ans.


hector-louis-XVI.jpg                                                                                                
110 euros   Brest 18 septembre 1787.                     
  Il est ordonné à monsieur de Ferraryl    ieutenant de vaisseau de la 3ém Escadre de s'embarquer sur le vaisseau Le Superbe commandé par M De Sainnneville;.







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lettre signé L cte de La Touche                        àu capitaine   Thomas  St  Laurent
Paris le 29 .8 .1787
Les circonstances monsieur ne vous permettant  pas de rester chez vous pour vous occuper de vos affaires ,je viens ainsi
que vous le désirez vous faire expédier les lettres d'Etat elles sont   annoncées à monsieur le M de Castellet par ce même courrier
Je vous prie de ne point douter du désir que j'ai de vous obliger et je vous assure que si j'en trouve l'occasion je la saisirai avec empressement je sera fort  aise si les circonstances me mettent à même de vous en convaincre
Prix  90 euros
remarques
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Luis-René-Madeleine Levassor de La Touche, comte de Tréville dit Latouche-Tréville, né le à Rochefort (Charente-Maritime) et mort le à bord du Bucentaure en rade de Toulon (Var), est un officier de marine français du XVIIIe siècle. Issu d'une famille de marins, il se distingue particulièrement pendant la guerre d'indépendance des États-Unis. Député de la noblesse en 1789, il vote néanmoins l'abolition des privilèges et fera partie de l'Assemblée constituante jusqu'à sa dissolution en 1791. Retiré dans sa propriété de Montargis, il est sans affectation jusqu'en 1799, avant d'être rappelé par le Consulat. Promu vice-amiral et placé successivement à la tête de la flotte de Brest et de la flottille de Boulogne, il est chargé par Napoléon Ier de se rendre maître de la Manche avant de lancer une invasion de l'Angleterre.

à Paris le 29 août 1787.    adressé à me Thomas St Laurent prix 110 euros






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Extrait du registre du conseil d'Etat.Arrêt portant impression du Conseil des prises à compter du 1 avril 1788.
Le Roi s'étant fait représenté l'arret du conseil du dix neuf juillet mil sept cens soisante dix huit portant nomination de commissaire pour tenir conseil prèt de M le Duc de Penthievre Amiral de France ,à l'effet de juger les prises faites sur les ennemis de l'Etat,partager d'icelleu échouement de Bâtimens ennemis ,circonstances et dépendances,sa Majesté aurait reconnu que les vues qu'Elle s'est proposées en établissant ledit conseil ,ont été remplies
et que,et que sa prolongation depuis la signature du traité de paix qui date du trois septembre mil sept cens quatre vingt trois jusqu'à ce jour,a été suffisante pour juger les prises faites pendant la dernière guerre:  A quoi  voulant pourvoir ..le rapport et tout considéré  LE ROI étant a son conseil a supprimé et supprime à compter du premier avril prochain ,le conseil de prise établi par son arreêt dudit jour dix neuf juillet mil sept cent soixante dix huit  Ordonne SaMajesté que les affaires de prises et autres instances qui y relatvises qui se trouveraient non jugée à l'époque du dit jour premier avril prochain soient portées en son Conseil Royal des finances pour les prises ,à l'effet d'y être jugées d'après les derniers erremens et sur les conclusions du S Chardon Procurteur général de sa Majesté au dit Conseil Royal des finances pour les prises
Fait au Conseil d'Etat du Roi Sa Majesté y étant tenu à Versailles le cinq janvier mil sept cent quatre vingt huit
signé  La Luzerne                                    
prix du document:
César Henri Guillaume de La Luzerne, seigneur de Beuzeville et de Rilly, baron de Chambon, né le à Paris et décédé le au château de Bernau, près de Linz (Autriche), est un aristocrate, militaire et homme politique français du XVIIIe siècle. Lieutenant général des armées, il est nommé gouverneur général des Isles sous le vent de 1785 à 1787 puis secrétaire d'État à la Marine à deux reprises entre 1787 et 1790.

Rappelé par le roi, ce n'est qu'à l’insistance de ce dernier qu'il reprend le ministère de la Marine, le , où il sera continuellement soumis aux attaques et aux critiques de plusieurs membres. Le marquis de Gouy d'Arcy notamment l'attaque avec une grande animosité et l'accuse d'être responsable de la ruine des colonies. La Luzerne se justifie pleinement de ces inculpations mais il ne peut pas résister longtemps aux attaques. Le , Monsieur de Menou — faisant à l'Assemblée (au nom de ses divers comités) un rapport sur la cause de l'insubordination de l'escadre de Brest et des troubles qui avaient régné dans cette ville — rejette la faute sur le comte de la Luzerne et sur les autres ministres. En conséquence, il propose de déclarer qu'ils avaient perdu la confiance de la nation. Le lendemain la Luzerne est encore plus vivement attaqué et quoique le projet de décret n'ait pas été accueilli par l'Assemblée et que le roi lui ait écrit peu de temps auparavant qu'il avait toute sa confiance, le ministre de la Marine n'en persiste pas moins à abandonner un poste où il était devenu impuissant. Le , il envoie sa démission à Louis XVI qui l'accepte en témoignant à la Luzerne tous ses regrets et l'estime que lui avait inspirée son dévouement pour sa personne1.En 1791, le comte de la Luzerne quitte la France pour assister aux derniers moments de son frère ambassadeur de France à Londres à cette époque. Après la mort de ce dernier, il reste encore quelque temps en Angleterre mais voyant que la Révolution faisait chaque jour de nouveaux progrès, il part s'établir en Autriche sur la terre de Bernau près de Wels où il meurt le .





                                                              .AN. 1789.
Les dernières années du règne de Louis XVI  .    La révolution    a    commencée!



Congé en partie imprimé De par le Roy signé "Louis"signature secrétaire    fait à Paris 17 octobre 1789.

Il est permis au S de BElloz lieutenant de vaisseau de la 2 ém division de la 8 ém escadre de s'absenter pendant huit mois du port de Rochefort son département ,pour aller vaquer à ses affaires particulières  Voulant sa Majesté qu'il retourne ensuite audit Port continuer ses Services et qu'il jouisse des appointements attachés à son grade pendant son absence  Fait à Paris le 17  8bre 1789
signé Louis                                                                                                 
prix de vente.
250 euros.




Rapport des dépenses du  département de la marine fait par l'assemblée nationale. par le comité des finances.Paris 1789.
Un vaisseau de 110 à 118 canons  côute 1.053.350 livres. Une corvette de 12 côute  219.074 livres...... " messieurs  chargés par vous de vous rendre compte des dépenses du département de la  marine,nous avons cherché à en
approfondir tous les détails.Prix:80 Euros.36pages.
 






lettre à bord de" l 'Annibal"A Bord de l'annibal vis a vis royaume  le 07 avril 1789.annibal.jpg
à monsieur Bernard de Beauvoir avocat au parlement Paris.  PRIX de cette lettre: 100 euros.

"Nous allons appareiller  par un tres beau tems  j'espère que nous ferons un voyage heureux  je t'avais marqué que j'emportai avec moi  une pacotille d'environ mille livres.j'ai  été obligé de sacrifier presque la totalité 
pour sauver ma liberté et proffiter de mon  passage qui etait arreté et payé, mr Tiequet  a découvert l'endroit ou j'étais je ne sais  comment,tu vois mon cher frère que les  lettres de recommandation que tu m'as  ramenée me deviennent d'une grande utilité  ainsi je te prie ne perd pas  de tems pour  me les faire passerc'etait bon que tu me les  envoyat par deux occasions differentes  je ne peux pas t'écrire beaucoup de choses  attendu que je ne suis pas fait au mouvement  d'un navire.La mer m'a pas beaucoup incommodé  Le Second Capitaine du navire est le frère de  monsieur Bauchereau qui reste chez M Rrodez  nous nous sommes liè facilement;il est d'un
careactère gai et franc.N oublie pas ton frère  il t'aimera toujours,surtout tes lettres de  recommandation.Mille compliments  d'amitié a notre ........que je me recommande a ...  beau souvenir.Je suis pour la vie ton cher frère
et ton meilleur ami  Bernard  je t'ecrirai a mon arrivée  ne me fais pas attendre tres lettres.
.


                                                                   AN.  1790.

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Autorisation au Bâtiment nommé   "Bayonne" de décharger ses marchandises au Cap Français   signé (griffe) L  J  M   de Bourbon duc de Penthièvre  Au Cap le 13 mars 1790   cachet de cire rouge .
Etranger                           Louis jean-Marie de Bourbon Duc de Penthievre de Chateau-Vilain d'Aumale et de Gisors ,prince d'Anet ,coomte d'Eu ,Amiral & grand Veneur de France Gouverneur & Lieutenant -Général pour le Roi en sa province de Bretagne A Tous ceux qui ces présentes Lettres verront  SALUT ;Sçavoir faisons,que Nous avons permi à M Sieur Binjamin  Bailey Maître du Battiment nommé  Bayonne du port de 60 tonneaux ou environ de sortir du Port & Havre du Cap français ou il est présentement ,pour aller à Destination chargé de marchandises permises après que la présente Permission aura été enregistrée au greffe de l'Amirauté ,& la visite de son vaisseau faite à l'ordinaire .En témoin de quoi Nous avons signé ces présentes ,à icelles fait apposer le Sceau de nos Armes & contresigner par le secretaire  général de la Marine 
délivré au Cap le 13 mars 1790                                                                             prix  290 euros




 
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projet de décret  sur l'organisation de l'artillerie de la marine.in-8,broché en papier marbré Il sera entretenu dans les ports
de Brest, Toulon  et Rochefort,des compagnies de  canonniers-bombardiers  d'apprentis canonniers  et ouvriers pour le service de la marine.
Paris impimerie nationale 1790.Prix :50 euros. 23 pages.
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Projet de décret sur l'organisation de la marine Française 
et sur le mode d'admission  et d'avancement. Présenté par 
le Comité de la Marine. imprimé par  ordre de l'Assemblée nationale. 1790.   in_8 broché en papier marbré     prix:50 euros.12 pages.



Autre tirage du "projet de décret sur l'organisation de la marine militaire." il y a des différences avec le précédent  par exemple à l'article Mousse  l'un porte "nul ne pourra aprés l'age de  16 ans être embarqué comme mousse". L'autre indique  "Nul ne pourra être embarqué  comme mousse sur les bâtiments de l'état que de 10 à 16 ans.     . 1790.14 pages prix 50 Euros.



Rapport fait à l'assemblée  Nationale. Sur les Dépenses et le régime économique de la Marine  par M Malouet membre du
comité de la Marine. Paris  1790. in-8 broché en papier marbré65 pages.
Prix de vente :90 euros.


                                                                             AN  1791.


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Opinion de M .de .Sillery  et projet  de Décret sur  l'admission   des aspirans dans le corps de la marine militaire.1791.                 
12 Pages:       prix de vente :50 Euros.
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Projet de décret d'application pour l'administration de la marine.Concerne  Brest . Toulon, Rochefort, et l'Orient.Paris 1791.Baudouin.

12 pages à vendre 50 euros.





Etat-Major de la Marine et service des ports. à Paris de l'imprimerie  Nationale 1791.   "la place de commandant de la marine dans les ports ,est supprimé
II Elle sera remplacée par celle de commandant des armes,dans les ports de Brest,Toulon Rochefort, et l' Orient & sera toujours donnée par le roi  à un officier-général de la marine,  révocable à sa volonté.
III. Le commandant des armes aura  sous ses ordres les officiers de la marine,les troupes de la marine, les canonniers-bombardiers,ouvriers
apprentis-canonniers,tous les employés  militaires de la marine & donnera les ordres nécessaires au service auquel ils seront destiné  in-8 broché en papier marbré5 pages   prix: 40 Euros. 



Décret de l'assemblée nationale.Sur les moyens d'appliquer au corps actuel de la Marine les Décrets  relatifs à l'organisation de ce Corps.
précédé du rapport fait  au nom du comité de la Marine par M.de Sillery.et décret relatif à la correspondance  des grades du service de mer avec celui de terre.  précédé du rapport fait par M Sillerry  au nom du comité de la Marine. Le 23 Avril 1791. imprimé par ordre de l'Assemblée Nationale. (Sillery charles-Alexis Brulart de Genlis Comte de Sillery).Prix: 55 Euros.



Développement du projet du comité de la marine. Sur l'organisation de la  marine Française  par M. de Sillery  imprimé par ordre de l'Assemblée Nationale.Imprimerie Nationale 1791.in-8, broché en papier marbré. "messieurs, je m'attends que le projet d'organisation qui vous est présenté  par votre comité de la marine,sera vivement combattu;il contrarie d'anciens préjugés,des prétentions que l'on n'a point encore abjurées de bonne foi & à ces différents titres il devoit déplaire à beaucoup de personnes....Prix: 50 euros   19  pages



Opinion de M. Moreau de Saint-Mery député de la Martinique.sur l'organisation du ministère.et notamment sur la nécessité de ne
faire qu'un seul ministère de la Marine & des colonies.du 9 Avril 1791..Note:Député de la Martinique Moreau de Saint-Méry propose de  réunir le ministère de la marine et celui des colonies l'assemblée accepta cette mesure le 9 avril 1791.28 pages.     Prix: 50 Euros


 




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Rapport sur le traitement du corps de la marine. Fait au nom du comité de la Marine par M. de Sillery imprimé par ordre de l'assemblée
Nationale  1791. Messieurs, Vous avez décrété que nul officier ne pourra dorénavant,recevoir des appointements et des traitements particuliers.
Cette sage disposition empêchera les abus sans nombre qui existaient et l'on ne verra plus se cumuler sur la même tête,des appointements
 des pensions,des gouvernements et  des gratifications  annuelles." le traitement de trois amiraux s'élève à trente mille livres
chacun des capitaines varie entre trois mille 

six cents et six mille livres,tandis que les  aspirants entretenus touchent entre quinze et quarante-cinq livres par mois.8 pages   Prix 50 euros.
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Rapport fait à l'assemblée Nationale au nom du comité de Marine sur l'organisation de la marine militaire.Ce rapport qui suivait un projet de décret,était soumis après de longues discussions et après des révisions sans nombre.
Paris imprimerie nationale  1791.   

In-8 broché en papier marbré.27 pages   Prix. 60. euros.

On éspère ainsi que le pavillon national,signe brillant de notre liberté,deviendra l'emblème d'une puissance qu'il faut craindre,d'une justice qu'il convient d'imiter.




Moyens d'accroissement de matelots pour la Marine patrons pêcheurs marseillais,les députés Tournon,Floux et Ponsard demandent que les patrons pêcheurs ne soient plus soumis au service de la marine et compris dans les levées de matelots.Paris J. Girouard 1791.

in-8 broché en papier marbré  prix 50 Euros    .15 pages.



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Tableau     d' adresses  e-mail    de : collectionneurs,Acheteurs,vendeurs...
Un des but d' Internet est la "communication" "la rencontre aisée de personnes,afin d' utiliser cette facilitée,nous  serions heureux d'indiquer dans ce tableau les "adresses e-mail" de toutes personnes désirant vendre, acheter, collectionner,des Objets,peintures, documents, ayant un rapport  avec   la page ci-dessus, (nous ferons de -même au bas de chaque page de notre site, qui couvre tout les domaines maritimes). Si vous désirez y figurer,(ou ne plus y figurer)  contactez nous :                 librairie.maritime@gmail.com
Le 24 novembre 2010. Monsieur cette lettre signé par le  Balli de Suffrendatée de 1783 a été vendu 1.000 euros
l'écriture de Suffren était illisible  et ici cette lettre a été écrite par son écrivain de bord seules les 3 dernières lignes illisibles! sont de sa main.
lettre-suffren.jpg
le 30 août 2010   armements-mixtes.jpg
Madame,Monsieur,
Nous sommes heureux de vous informer de la parution début juillet d'un ouvrage :"La place des armements mixtes dans la mobilisation de l'arsenal de Brest sous les deux Pontchartrain (1688-1697 & 1702-1713)"par Jean-Yves Nerzic.Cet ouvrage montre bien que la course était le résultat d'une volonté politique et systématique de maintenir une marine que le roi n'avait plus les moyens d'entretenir mais qui lui était indispensable en terme de géopolitique. Dans le contexte difficile des guerres de la Ligue d'Augsbourg et de Succession d'Espagne, aggravé par une crise économique importante, on inventa les "armements mixtes" (ancêtres des sociétés d'économie mixte).
Ce livre a sa place dans toutes les bibliothèques historiques et universitaires et auprès de tous les passionnés de la course et de la marine de Louis XIV..
Vous trouverez en pièces jointes une présentation avec des extraits de l'introduction et de la conclusion, et l'image de la jaquette de couverture en format PDF, dont vous pouvez vous servir librement pour présenter l'ouvrage. Si toutefois vous deviez rencontrer une difficulté pour récupérer ces éléments, n'hésitez pas à nous contacter pour que nous vous les préparions selon vos souhaits.
Nous restons à votre disposition pour plus de renseignements ou pour organiser toutes conférence, interview, causerie ou signature avec l'auteur.
Avec nos salutations les meilleures Agnès Hacpille Editions H&D 13, chemin du Vivier 78470 Milon La Chapelle tél : 01 30 47 40 40
ImgCouvArmements2.pdf ImgCouvArmements2.pdf
306 Ko Afficher Télécharger
ArmementsMixtes ExtraitsJYN.pdf ArmementsMixtes ExtraitsJYN.pdf
99 Ko Afficher Télécharger

décembre 2006.    Pour information pour votre site .................................................................    jacques
 J 'ai vu en vente deux congés.


Congé absolu de la marine XVIII ém "André Dumartigue second mître ayant servi sur la frégate du roi l'Aurore"
Toulon le 31 novembre 1781.
Congé absolu de la marine XVIII ém délivrée à joseph Barthelemy matelot ayant servi sur le vaisseau du Roi  "La Provence" 31 aôut 1776. ( plus de 200 euros chaque.)
le 25 septembre 2005.
Bonjour, j' ai découvert votre site fort intéressant, je fais des recherches sur la famille Peltier

- Jean pelletier-Dudoyer armateur nantais sous Louis XVI
- Marie-Etienne Peltier, son fils, corsaire sous la république, le directoire le consulat et le début de l'empire, je le trouve pour la dernière fois à la station navale de santo Domingo, il est mort à Madagascar.
Auriez-vous des documents les concernant à vendre ?Cordialement
tugdual.delanglais@wanadoo.fr


Voir aussi natre page: Iconographie sous Louis XVI



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