"Monsieur vous irez demain chez monsieur de
Boynes lui demander sa démission de secrétaire d'Etat au
département de la Marine.Les changements qu'il a fait dans la marine et qui n'ont abouti à rien et son incapacité pour cette partie m'y obligent.." Louis XVI (donnant consigne à la Vrillière) |
.La Marine:Sous le règne de: Louis XVI. 1774 .1792. Ministres de la Marine :Boynes est remplacé par Turgot puis Sartine(1774-1780) 1776. abolition des ordonnances de 1772, réorganisation de la marine, qui va devenir puissante. 1776-1779. Troisième voyage de Cook. 1779. Nelson a 20 ans il est nommé capitaine de vaisseau! La France suit avec intéret les événements en Nouvelle Angleterre,(les colonies anglaises d'Amérique se révoltent,elles veulent former une République) 1778 signature d'un traité de commerce avec les américains ,qui va entrainner la guerre avec l'Angleterre. Brest : Escarmouche ,la frégate "Belle poule" repousse la frégate "l' Arethusa". La guerre est déclarée France et Espagne contre Angleterre La France veut prendre sa revanche! Toulon : Départ du vice-amiral d'Estaing avec 11 vaisseaux pour l'Amérique.Il doit débarquer des troupes pour aider les troupes irrégulières de Washington,les appuyer,ensuite aller aux Antilles récupérer queques possessions. 1779 Encore un plan d'invasion de l'Angleterre ,la flotte franco-espagnole devant controler la Manche.... BREST. L'amiral d'Orvillier appareille avec 32 vaisseaux ,sous ses ordres Guichen, Du Chaffault et de Rochechouart ... . La flotte anglaise était sous les ordres de Keppel.. bataille de Ouessant . bataille indécise ,( Les français s'en sont mieux tirés) En Amérique d'Estaing affronte Howe. bataille dans les Antilles, bataille de la Grenade, 1780 .ministre de la marine .Marquis de Castries (1780- 1787) 1782 Bataille des SAINTES Victoires de Suffren en mer des Indes.Sadras, 1783. Traité de Versailles. l'Angleterre reconnait l'indépendance des Etats-unis ,et,nous rend le Sénégal et quelques autres petites colonies. 1784., nouvelle ordonnance , construction de vaisseaux (mais les dépenses sont grandes) 1785-1788 .Expédition de Lapérouse. Louis XVI préparant le voyage de monsieur de La Pérouse. Ministres de la Marine La valses des secrétaires d'état à la marine 6 (1787-1792) c'est la fin du règne la Révolution va se charger de détruire cette belle marine..... 1789 La France est en banqueroute ,convocation des Etats Généraux, La Révolution va débuter!!!!! |
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. .. Nos documents à la vente. |
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Donné à Versailles
le premier jour du mois de janvier l'an de grace mil
sept cent soixante qinze et de notre Règne le premier.
notes.
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Brevet d'Ecrivain de la Marine. et des classes pour le Sr Le Blanc de Moivre. Aujourd'hui huitieme du mois d'Aout mil sept cent soixante quinze, le Roi étant à Versailles voulant commettre la personne capable et fidelle pour faire la fonction d'Ecrivain de la Marine et des classes.et sachant que le Sr Le Blanc a la qualitée nécessaire pour s'en bien acquitterSa Majesté l'a retenu et ordonné ? et ordonne L'Ecrivain de la Marine et des classes pour en ladite qualité servir sur ses vaisseaux et frégates y faire le role d'équipage et le registre des effets marchandises et munitions embarquées ainsi que de leur consommation,veillera à la conservation et à celle des vivres des equipages N D |
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Ordre de paiement. à une veuve. Marine
1775.
prix de vente 50 euros |
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A notre cher et bien aimé S CORNIC Salut estimant necessaire pour le bien de nôtre service de faire choix de personne capable et expérimentée au fait de la guerre et de la navigation pour lui confier le commandemant de nos vaisseaux,Estant informez que ces qualitées se rencontrent en vous et de Votre Zèle et affection à nôtre service dont vous nous avez donné des preuves en diverses rencontres .Nous avons estimé ne pouvoir faire un meilleur n'y plus digne choix que Vous; aA CES CAUSES ,nous vous avons commis ordonné et estably et par ces présentes signées de nôtre main commettons ,ordonnons et establissons Capitaine de l'un de nos vaisseaux sous l' autorité de notre tres cher et tres aimé cousin le Duc de Penthièvre Amiral de france et des viceamiraux,lieutenant généraux, et chef d' Escadre de nos armées navales,commandant l'un de nos vaisseaux de guerre,soit un corps d'armée ,d'Escadre ,ou garnison suivant les ordres que nous vous en donnera rang dans la marine du jour et datte des présentes .ENJOIGNONS à cet effet à tous lieutenant,enseigne ,officier ,Marins Matelots et soldats ,qui serviront sur les Vaisseaux dont nous vous cofirmons le commandemant de vous obéir ,et .............................................................................................................................................. |
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Antoine Gabriel de Sartine. Ministre de la marine.secretaire d'état ayant le département de la marine.Il fut nommé le 24 aout 1774,ancien préfet de police il était incompétent dans le domaine technique mais avec l'aide de Fleurieuil il rédigea une série d'ordonnances en 1776 pour une organisation rationnelle de la marine (grand format prix 75 euros.) Antoine raimond jean- gualbert gabriel de SARTINE chevalier secrétaire d'Etat ayant le département de la Marine |
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BREST 1779. Copie de
l'instruction de la Cour relativement à la Division des
Equipages par Escouades ,& à leur Equipement. MM les officiers commandant les bâtimens du Roi,sont prévenus que l'intention du Ministre est que dans chacun des Vaisseaux & Frégates du Roi ,les Equipages soient divisés en Escouades,avec des Officiers-mariniers à leut tête,de manière que MM les Lieutenant & Enseignes de Vaisseaux embarqués ,en ayent chacun une sous son commandement ,pour veiller particulièrement autant qu'il sera possible ,à entretenir les Marins dans un état de propreté utile à leur santé & à la conservation de leur hardes,dont l'inspection doit être faite avant la Revue ou l'on paye la Solde des Equipages ;elle doit se répéter de tems en tems pour s'assurer de la perte que chaque homme a pu faire sur la quantité de hardes qu'on l'a obligé de se procurer quand il a touché sa Solde ,en concéquance de l'état ci-dessous & le contraindre à la remplacer aussitôt qu'il en a le moyen MM les Capitaines donneront en concéquence tous les soins ,pour que leurs Equipages soient divisés dans l'ordre le plus convenable,& le plus propre à remplir le plan proposé ;aussitôt qu'il mettront en Rade ,ils ordonneront une Revue exacte des sacs de tous les Matelots ,& ils auront la plus grande attention à ce que chaque homme emploie l'argenr qu'il doit recevoir du Roi,pour compléter l'état de ses hardes ,en conséquences de celui qui suit. SAVOIR 1 Hamac & une couverture de balin 3 chemises bleues ou blanches 3 paires de bas 3 paires de Souliers 2 grandes culottes ............ signé De Sartine pour copie d'Orvilliers |
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François-Aymar de Monteil dit le « chevalier de Monteil », né en 1725 à Ardèche Durfort et mort en 1787, est un officier de marine français du XVIIIe siècle. Il sert dans la Marine royale pendant la seconde moitié du XVIIIe siècle, et se distingue pendant la guerre d'indépendance des États-Unis; chef d'escadre des armées navales, il est chevalier de l’ordre royal de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem. Monteil entre jeune dans la Marine royale et intègre une compagnie de Gardes de la Marine en 1741, à l'âge de seize ans. Il est promu au grade de lieutenant de vaisseau en 1756, au début de la guerre de Sept Ans. Il reçoit un brevet de capitaine de vaisseau en 1762. Il participe à la bataille d'Ouessant, le , en tant que commandant du vaisseau Le Conquérant, de 74 canons. Son vaisseau est le troisième dans la ligne de bataille française et il est blessé au cours de ce combat. Il est promu chef d'escadre en 1779. En , il commande le Palmier au combat de la Dominique. Il est le matelot de La Couronne (80), le vaisseau amiral du comte de Guichen.Lorsque le comte de Grasse retourne en France, pour raisons de santé, suivi du comte de Guichen - au mois de - de Monteil se voit confier la responsabilité de la flotte française dans les Antilles, et reçoit le commandement d'une escadre de neuf vaisseaux. En août de la même année, toujours à bord du vaisseau Le Palmier (74), Monteil prend le commandement de la flotte française dans les Indes occidentales, et reçoit pour mission d'inciter les autorités espagnoles présentes sur place à prendre un rôle plus actifs dans les combats contre la Royal Navy britannique.Il commande une escadre française composée de cinq vaisseaux de ligne : Le Palmier, son vaisseau amiral, L'Intrépide (74), Le Destin (74), et Le Triton (64), ainsi que de deux frégates. Il accompagne les 10 navires espagnols transportant des troupes placées sous les ordres du général de Galvez et débarque 700 soldats français, contraignant la garnison anglaise à capituler rapidement à Pensacola.De Monteil commande Le Languedoc (80), capitaine du Plessis-Parscau, et dirige l'arrière-garde française lors de la bataille de la baie de Chesapeake, également appelée bataille des capes des Virginie. En , les vaisseaux sous ses ordres s'emparent de deux bâtimens anglais le HMS Unicorn, une frégate de 28 canons et le HMS Gayton, un brick de 18 canons, en plus de deux embarcations américaines qui avaient été capturées par des corsaires.Il est fait chevalier de l'ordre du Saint-Esprit en . Il se distingue à nouveau pendant la capture de Saint-Christophe en . Il est promu lieutenant général des armées navales le . Il s'agit alors du deuxième grade le plus élevé dans la Marine, en dessous de celui de vice-amiral. Il meurt le , au château de la Couharde (La Queue-les-Yvelines), à l'âge de 62 ans. |
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Nottes des Prises conduites a Gibraltar par la frégate
l'Alarme 8 cannons. Le Lantiégnani capitaine E Olivier du port de 300 tx 25 hommes d'équipage ,chargé de vins,huilles savon,briques chandelles & allant de Marseille à la Martinique. La tartanne Jesus & Marie capitaine André Molon du port de 120 tx 8 hommes d'équipage ,chargée de laine & cuirs allant de Larrache à Marseille. le Brigantin Le Marquesin allant de Marseille à Rochefort chargé de terre rouge. Le Brigantin l'Aimable Magdeleine capitaine Herbert. l'Hermione capitaine L Pitot tous deux allant de Toulon à Rochefort. . ils sont conduit à Gibraltar ou il n' y a pas encore d'ordre pour la vente et condamnation des propriétés françaises. L'amiral anglais commandant à Gibraltar nous fait écrire par nos correspondants de la ville (Le Coulteux) pour tacher de procurer la liberté au capitaine Goldsmith commandant du brigantin"Le Nil" pris par le Corsaire français "Le César" échange de prisonniers(histoire de bijoux)1778.prix de vente 250euros |
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Fournisseur de bois pour la Marine.
(voir
aussi traité
pour la fourniture de bois à la Marine ,arrêté
entre le duc de Choiseul ,).
Fourniture de bois de marine " Le port n'en veut que de bons et propres au service" mais les retard de payement dus aux dysfonctionnements de l'administration royale sont considérables .Néammoins Carré et compagnie sont invités à continuer à fournir ,mais ils restent silencieux .....sans piècesnous ne pouvons rien faire ;de grace envoyez la moy car on a une peine infinie à régler de reélles affaires dans ce port surtout dans ce moment ou les opèrations sont si rapides "" il fera son possible pour que le ministre puisse le régler et donne des nouvelles des agitations en ce début de guerre " Nos armements vont bon train et sous la fin du mois ,tous nos vaisseaux seront en rade ,malgré nos forces ,il ne nous vient presqu'aucun approvisionement sans le commerce de St Domingue ,nous serions bien à plaindre"... prix 350 euros |
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Congé de débarquement pour
maladie délivré le 19 octobre 1778.par le Lieutenant général
D'ORVILLIERS
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Sur les certificats et avis des médecins à nous présentée par M Dourville lieutenant de Vaisseau,il lui est permi de se débarquer du Réfléchi commandé par M Cillart de Surville capitaine de vaisseau pour rétablir sa santé Brest le 18 octobre 1778. A la bataille de Negaptan contre
l'amiral anglais Hughes ,un vaisseau isolé
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À l'automne 1779, une flotte britannique dirigée par l'amiral Hyde Parker est ancrée à Sainte-Lucie , que les Britanniques avaient capturée un an auparavant lors de la capture de Sainte-Lucie . Parker attendait l'arrivée de l'amiral George Brydges Rodney , qui devait mener la campagne de 1780, et sa flotte était en grande partie au repos, avec des équipages à terre et des réparations en cours sur certains navires. pendant ce temps, la division des Caraïbes françaises, dirigée par le chef d'escadre Lamotte-Picquet , subissait un radoub sur l'île voisine de la Martinique aux Antilles . La division comprend huit navires de ligne, mais en décembre 1779, seuls trois sont opérationnels : le 74 canons Annibal , et les 64 canons , Vengeur , sous Fournoue et Réfléchi , sous Cillart de Suville .Dans la matinée du 18 Décembre, un convoi français sous Joseph de Flotte ,] qui avait quitté Marseille en Octobre et se dirigeait vers la Martinique, est arrivé dans le canal de Sainte - Lucie, le corps de l' eau entre les îles de Sainte - Lucie et la Martinique. Le convoi a apporté des fournitures pour les colonies françaises des Caraïbes et pour la division sous Lamotte, ainsi que le diplomate Gérard de Rayneval . Il comprenait 26 transports, escortés par la frégate solitaire de 34 canons Aurore . Vers 08h00, le HMS Preston , qui était stationné dans le canal de Sainte-Lucie, a donné un signal indiquant l'arrivée d'une flotte inconnue. Parker s'est immédiatement précipité et a réussi à faire sortir cinq navires de ligne et une frégate de 50 canons pour rencontrer la flotte qui arrivait. Peu de temps après, le poste d'observation français des Anses-d'Arlet signale l'arrivée du convoi de Flotte, ainsi que 15 navires de guerre britanniques à leur poursuite.Flotte fit naviguer ses navires près du rivage, espérant que les eaux peu profondes dissuaderaient les navires de guerre britanniques d'approcher, et Aurore se replia pour lancer une action d'arrière-garde afin de retarder l'escadre de Hyde Parker et d'alerter les forces françaises de la Martinique. Les navires de tête du convoi passèrent aux Anses-d'Arlet vers 1400 Lamotte fit alors brouiller ses navires pour couvrir la retraite du convoi, rassemblant des renforts pour son équipage parmi les équipages des navires en réparation, ainsi que des volontaires de la population. Lamotte quitte le mouillage de Fort Royal avec son vaisseau amiral, l' Annibal de 74 canons . Comme son arrivée se faisait au vent, il a pu couvrir l'arrivée des convois restants. La flotte britannique, avec le HMS Conqueror en tête, a commencé à battre le vent pour se rapprocher de la flotte française. En 1700, Conquérant est venu avec la gamme de Annibal de » canons, et la bataille a été engagée entre les deux. Annibal s'est retrouvée face à sept navires britanniques pendant une demi-heure, avant que le Vengeur et le Réfléchi de 64 canons ne la rejoignent. À ce moment-là, les 15 navires britanniques étaient également engagés. L'équipage français renforcé a permis aux navires de Lamotte de soutenir une cadence de tir particulièrement élevée, Annibal en particulier tirant alternativement des deux bordées alors qu'elle se tournait pour faire face aux Britanniques des deux côtés. Le soir venu, le HMS Albion était également à portée, mais l'action s'était dirigée vers les hauts-fonds près de Fort Royal. Les défenses côtières de la Pointe des Nègres et du Gros Îlet ont commencé à tirer sur les Britanniques. Parker a finalement appelé sa flotte au large à 1845, mais une dernière attaque cinglante de la flotte française a coûté la vie Conquérant de capitaine, Walter GriffithLa perte du convoi français était importante avec treize navires capturés ou conduits à terre. Parker était cependant satisfait de la conduite de ses escadrons et des prises capturées, mais aussi des Français. La conduite de La Motte pendant la bataille a suffisamment impressionné Hyde Parker pour lui faire envoyer une lettre de félicitations à son adversaire lorsqu'ils ont eu l'occasion de communiquer via un drapeau de trêve : Lamotte-piquet est fait Commandeur de l' Ordre de Saint-Louis . Après s'être concerté avec le général Lincoln, le comte d'Estaing charge La Motte-Picquet d'effectuer, à la fin du mois d', avec une escadre de sept vaisseaux, le débarquement des troupes destinées faire le siège de Savannah (Géorgie). Le siège ayant échoué, il fait voile avec trois vaisseaux pour la Martinique. Il y était occupé à réparer ses bâtiments qui avaient beaucoup souffert dans l'expédition de Savannah, lorsque, le , des signaux de la côte lui annoncent qu'un convoi de vingt-six navires français, escorté par une frégate, était poursuivi par une flotte anglaise de treize vaisseaux et une frégate, commandée par l'amiral Hyde Parker, dans le canal de Sainte-Lucie L'officier que La Motte avait envoyé pour en informer le marquis de Bouillé, gouverneur de la Martinique, n'a pas le temps de revenir que La Motte-Picquet avait déjà fait hisser les voiles de L'Annibal. Il se porte seul à la rencontre des Anglais, et attaque la tête de l'escadre ennemie. Après avoir fait le plein de munitions, les Vengeur et Réfléchi viennent rejoindre L'Annibal, qui combattait depuis près de deux heures, contre le HMS Conqueror (en) et le HMS Elizabeth (en). Pendant quatre heures, les trois vaisseaux français soutiennent le feu de dix vaisseaux anglais, dont sept tiraient quelquefois ensemble sur l'Annibal. La nuit venue met un terme aux combats, et l'amiral anglais envoie un signe de ralliement à ses vaisseaux ; La Motte-Picquet rentre au Fort-Royal, avec la frégate et la plus grande partie du convoi.Sur les 26 navires marchands, quatre sont brûlés et neuf seront pris par les Anglais. Néanmoins, une grande partie de la cargaison est conservée et Lamotte rentre avec tous ses vaisseaux dans Fort-Royal. Les Anglais doivent déplorer la perte du capitaine du HMS Conqueror, de cinq officiers et environ deux cents hommes. Impressionné, l'amiral Hyde Parker envoie un message de félicitations à La Motte-Picquet pour cette action.
Dans le récit qu'il fait du combat, La Motte-Picquet rend hommage à ses équipages et insiste pour qu'ils aient une part des prises effectuées. |
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document
nomination Sr Mollard daté du 8 May 1780 annoncé le 8 Le S Mollard ancien Officier de la Compagnie des Indes a été admis dans la Marine en 1773 en qualité de Lieutenant de Frégate,employé depuis au Port de L'Orient: il a commandé ,en 1778 et 1779 la flute l'Isle de France avec le Brevet de capitaine de Brulot pour la Campagne. Cet officier ayant offert ses services pour armer sur l'Hector,ne peut y être employé qu'en qualité de Capitaine de Brulot et on propose à Sa Majesté de lui en accorder Le Brevet en pied. document paraphé Bon approuvé "Bon"par le roi ou son secrétaire. Prix 190 euros. remarque: sous l'ancien régime. un officier non Noble venant de la marine marchande ne pouvait pas dépasser le grade de capitaine de brûlot! |
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LE CHEVALIER THOMAS D'ORVES Chevalier de l'Ordre Royal & Militaire Saint-Louis,Capitaine des Vaisseaux du Roi,Brigadier des Armées Navales,commandant de la Division. M.M les capitaines recevront sans aucune difficulté les hommes qui leur seront envoyés sortant des hôpitaux d'aprés l'Examen qui en avait été fait p ar les officier de santé qui les auront decidé en état de s'embarquer La conséquence des ordres cy devant donnés l'Escadre partira absolument mercredy prochain A bord de l'Orient le 8 8bre 1780 chef d'escadre en Océan Indien il se trouve sur le vaisseau l'Orient à l'île de France ils vont quitter le port mais il va mourrir à bord deux mois aprés. Prix110 euros. |
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bataille des Saintes La bataille des Saintes se déroule du 9 avril au , pendant la guerre franco-anglaise, entre une flotte britannique dirigée par George Rodney et une flotte française dirigée par le comte de Grasse. La flotte britannique en sort victorieuse. L'affrontement fut baptisé du nom des îles des Saintes, un archipel séparé de la Basse-Terre en Guadeloupe par le canal des Saintes (le commandant du Neptune sr Detlaire ) Mon général. Vous avez vu les positions successives des vaisseaux de l'Escadre bleue ,à la soirée du 25 .Je ne compte donc pas avoir l'honneur de vous en rendre compte mais apprenant qu'on n'avait pas aperçu à votre bord les signaux que je me suis hâté de faire à votre vaisseau de tête je me presse de faire le raport suvant Tout alors en régle au Signal de suivre le dit Vaisseau de tête ,et a l'instant du signal de Chasse sans ordre (lequel j'ay regretté à l'Instant)au même instant aussy m'astreint a forcé de voiles ,Selon notre idée de doubler à bord et de pouvoir Le PLUTON au vent comme vous cherchiez a en doubler d'autant es comme La ville de Paris Le Neptune a mis aussy le signal de tenir le plus pret . M d Albert était alors assé en avant pour que je dusse m'en raporter à lui pour ne que le moins possible de se couvrir de voiles il n'était pas encore suivi de bien pres et Connaissant son exactitude j'étais bien sur que qu'à mesure qu'on serait sur lui il serrerait sur l'ennemy s'agissant plus pour lui d'aller nommement au chef de la file anglaise Le Neptune ayant mis tout de bord doubla ses deux matelots de devant du vent vu que l'Auguste ne pouvait orienter autant de voiles et que l'Ardent marche mal mais bientôt parvenu pret de La Bourgogne dans les course du Pluton et retardélui on vit ce dernier en panne .je me hatai de mettre le signal qui indique au Vaisseau de tête de faire de la voile La Bourgogne ne pouvait aucunement le doubler et a peine la Ville de Paris eut elle fait feu et a peine Le Pluton et la Bourgogne l'eurent imité malgrénotre attention a differer de tirer que nous nous trouvames en danger iminent d'aborder M de Charis celui cy ne desirait le doubler sous le vent et ne pouvant le doubler au vent comme liui et marchant mieux jusque la M d'Ateind n'avait amené que son petit perroquet pour faire apercevoir le signal dede faire servir avec celui de derriereLe vent au Pluton et nous interompiment le feu dans la seule idée de faire mieux apercevoir mon second signal d'augmenter de voiles a ce vaisseau de tête Je suppose que M d Albert tirant depuis que la ville de Paris avait commencé n'avait pas distingué mes deux commandement successifs j'ay presumé qu'i avait eu l'idée de couper mieux le mouillage de la Basse terre ou est lennemi semblant se diriger ou bien qui s'estimait plus pres de la côte et plus loin de nous du moins la fumée de la Bourgogne l'empêchait de voir Son matelot d'arriére et surtout mes signaux quand d'ailleurs comme vous l'avez le vent nous refusait à l'approche de la terre j'espérait lorsque le pluton avait resté en panneet que Le Bourgogne y étant M d'Estein n'evitait de l'aborder qu'en brassant tout sur le mât j'espérait dis je que le porte voix suppléerait mais jamais La Bourgogne ne put entendre mon ordre pour faire passer la vois à l 'autre je lusse désiré bien ardamment puisse qu'il était aisé de prevoir que les vaisseaux suivant allaient être embarassés et que cet incident qui arretaait invinciblement La bonne volonté de M d'Aasteind generait beaucoup le reste de la division ,cette idée m'affectait bien plus encore que le reghret que je devais avoir de l'impossibilité de nous elever au lieu de combatre de si loin Lardeur de monsieur D'ateind celle de ses officiers et de tout son équipage était de plus propre à m'affiger d'un instant perdu envert une armée qui n'en perdait aucun dsans sa retraite on pourra vous rendre compte que moins par l'éloignement que pour laisser apercevoir le signal de forcer de voilesà la tête de même que pour que ceux qui suivaient nous aperçusesnt on a moins tiré qu'on ne leut fait à nos batteries cependant vous avez vu avec qu'elle promptitude m d'Albert a remis de la voile des que la fumée dissipée lui a permi de reconnaitree l'intervalle et c'est une justice bien due au capitaioine distigué vu qu m d'asteind a recommenc"é le feu le plus vif qu'il a put il vous a rendu compte de ses avaries et pertes d'hommes Le tout est fort modéré je fis la nuit suivante courrier...............................................................................etc etc....... |
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Lettres adressées à Charles de Laborde -Lassale ancien officier de la marine à Saint-Server."Mon digne frère a excité ce sentiment général,il méritoit particulièrement de toutes les personnes qui l'on connu" il remercie aussi pour son compliment sur "la place de commandant de la marine à Rochefort,dont le Roi m'a honoré" René-Louis Levassor comte de LA TOUCHE -TREVILLE 1745-1804 amiral lettre signé du 5 août 1782 on a joint 2 lettres de son frère louis jean françois marquis de La TOUCHE Prix 240 euros |
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ll est permi au sieur Henry Honoré de la Rochelle Capitaine d'une prise faite à la cote de Guiné par le corsaire La Duchesse de ? ,nommée la goellette le Rebeca,désarmé à la Grenade,et passé en Europe sur le navire neutre le Conelleryvauverné Ostande,débarqué à Camaret,de se rendre à Saint Malot,à la charge de se présenter sitot arrivé au commissaire des classes de ce département prions ceux c,,,, de le laisser librement passer . à Camaret le 2 septembre 1782.prix de vente 170 euros |
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Certificat de débarquement.Nous officier aux classes de la Marine à Bordeaux,Certifions que Mr Durodet de Choisy Capitaine commandant du corps Royal a été embarqué au port au prince le 9 juin 1783. sur le navire l'Argot appartenant au sieur Beaubarbe et commandé par le Sr Gouffran et qu'il a été débarqué en ce port le 5 aout 1783 Fait à Bordeaux le 6 aout 1783.Prix de vente :100 euros. |
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Certificat de débarquement. Nous officier aux classes de la Marine à Bordeaux,Certifions que mr Darodet officier d'artillerie a été embarqué à St Pierre Martinique le 8 may 1770 sur le Navire l'Aimable magdelon appartenant au sieur D'argenton commandé par Le Sr Belerglven & qu'il a été débarquement en ce port le 13 juillet suivant Fait à Bordeaux le 5 aout 1783. Prix de vente :100 euros. |
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Dessin aquarellé. Port de Rochefort bateries maritimes année 1784. état et estimation des terres labourables qui sont trouvées comprises dans l'emplacement sur lequel en 1757 ,le Roi a fait établir le fort du Vergeroux et de celle sur lesquelles en 1771 on a établi la poudriére aupres du dit fort. le tout conformément au plan ci-joint.Sur lequel on a exprimé les limites du terrain appartenant jadis au Roi,celles du terrain prix en 1757 et celles du terrain prix en 1771.lesquelles limites ont déterminé la quantitée de terre pour lequelle est fixé le dédomagement çi-après sur l'estimation des nommés jaques Baril et J Sabourin experts nommés à cet effet tant de la part du Roi que de celle des propriétaires et dont le procé-verbal est ici joint,lesquels ont éstimé chaque journal de terrain au prix en 1757 à 300" et chaque journal.......... ND |
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1 pp in-folio en-tête d'Isidore de La carry
avec ses titres et fonctions vignette sur bois
de la marine
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Bernard comte de Marigny(1740/1816) vice-amiral 3 lettres signées à mr Thomas de Saint-Laurent enseigne des vaisseaux du Roy,major de l'escadre de M de Peynier Brest mars 1786. Thomas de Saint Laurent qui a fait la campagne des Indes avec Suffren et Peynier vient d'arriver à Brest avec son escadre. Bernard de Marigny lui demande de lui fournir tous les renseignements relatifs aux officiers morts aux Indes la liste des états-majors qui composaient la division de Peynier,ainsi que les vaisseaux et frégates restés aux Indes,afin de réaffecter les officiers.Enfin il souhaite qu'il lui adresse "une expédition de tous les signaux généraux et particuliers de l'armée de M. De Suffren ainsi que la division de M. de Peynier.prix de vente: 300 euros. NOTES.
Garde de la marine à Toulon, il devient aspirant de marine à 15 ans en 1777 et participe à la Campagne d’Amérique (1778-1781). Garde de la marine, il est embarqué sur le vaisseau le Marseillois (1778), de 74 canons, dans l’escadre du Comte d’Estaing qui affronte un vaisseau anglais le en face de Newport.Il participe au Combat de la Grenade et au siège de Savannah (-1779), il est promu enseigne de vaisseau à moins de 18 ans, le . En , le Marseillois et le Zélé (commandés par le bailli de Suffren) appareillent ensemble de Brest pour une campagne dans l’Atlantique. Le , les deux vaisseaux sont engagés dans un combat à l’ouest du cap Saint-Vincent. En 1780, Saint-Laurent embarque à bord du Hardy, vaisseau de 64 canons, envoyé à Cadix, puis il passe ensuite sur L'Actif, participant à la Campagne des Indes (1781-1786). À la fin de l’année 1781, il embarque sur le Fendant, 74 canons, qui porte le pavillon du chevalier de Peynier, brigadier des armées navales. Le second du navire est le comte de Rosily, lieutenant de vaisseau.M. de Peynier s’est vu confier le commandement d’une division navale destinée à l’escadre des Indes. Cette division est composée de trois vaisseaux - le Fendant, l’Argonaute et le Hardi - et d’une frégate, la Cléopâtre. Le Fendant n’a que quelques mois de campagnes à son actif, au Sénégal puis aux Amériques.Le , la division du chevalier de Peynier appareille de Brest pour les Indes ; elle doit faire route via le cap de Bonne-Espérance – port néerlandais - puis l’Isle de France et y relâcher. La mission de M. de Peynier est double : aller renforcer l’escadre du bailli du Suffren et, en se rendant aux Indes, escorter un important convoi de troupes, munitions et approvisionnements nécessaires à une nouvelle campagne. Ce convoi doit encore s’augmenter après l’escale à l’Isle de France, où Peynier devra prendre en charge les troupes du vieux général de Bussy, destiné à commander les forces terrestres des Indes.Le , la division navale du chevalier de Peynier atteint le Cap, mais se trouve forcée d’y séjourner plus longtemps que prévu, du fait du mauvais état du vaisseau Le Hardi, mais surtout de la santé dégradée des équipages et de la troupe, victimes d’une redoutable épidémie.Or, ces renforts sont attendus avec impatience par Suffren auquel les moyens manquent pour lancer une offensive contre les britanniques sur la côte de Coromandel et dégager de façon décisive les environs de Pondichéry et Gondelour. En , la division navale du chevalier de Peynier a atteint l’Isle de France et opéré sa jonction avec le général de Bussy. Ce dernier tarde à embarquer ses troupes, attendant la fin de l’affreuse épidémie qui décime marins et soldats du convoi.Enfin, le , la division navale du chevalier de Peynier, escortant un convoi de trente-deux navires - portant 2 500 soldats -, appareille de Port-Louis et fait route pour rejoindre Suffren. La division est précédée de « la Cléopâtre », chargée d’éclairer la force. Le , le chevalier de Peynier envoie la frégate vers Sumatra, pour confirmer que Suffren s’y trouve effectivement. Apprenant que le bailli a appareillé d’Achem depuis six semaines pour rejoindre Trinquemalay, aux Indes, M. de Peynier assemble ses capitaines et se décide à faire voile pour Trinquemalay, sans relâcher à Achem.Le , la jonction s’opère enfin à Trinquemalay entre le convoi et l’escadre du Bailli de Suffren, réduite à onze vaisseaux par la perte accidentelle de deux bâtiments de ligne. Suffren est contrarié par le retard de ses plans et sait que l’amiral Hugues ne tardera pas à paraître sur la côte de Coromandel avec sa flotte, dont tous les vaisseaux ont été doublés en cuivre neuf.Le , Suffren envoie une division de deux vaisseaux (dont le Fendant) et deux frégates, sous les ordres du chevalier de Peynier, bloquer le port britannique de Madras et intercepter les navires qui voudraient y entrer. Le , M. de Peynier, ayant débarqué à Goudelour toutes les munitions demandées par le marquis de Bussy, fait route de retour lorsque ses vigies lui signalent la flotte anglaise. Il fait immédiatement courir au large, à pleines voiles, et parvient à échapper à l'Amiral Hugues. Suffren s’inquiète déjà vivement lorsque, le , les cinq navires de Peynier apparaissent enfin devant Trinquemalay.Dès le lendemain, , l’escadre entière, enfin opérationnelle, appareille pour Goudelour, afin d’y soutenir le corps d’armée du marquis de Bussy et, si nécessaire, d’y affronter la flotte anglaise. En effet, Suffren dispose maintenant de quinze vaisseaux et peut donc prendre le risque d’affronter Hugues et ses dix-huit bâtiments de ligne. L’avant-garde française est commandée par le chevalier de Peynier, à bord du Fendant, commandé par M. de Saint-Félix. Elle comprend cinq vaisseaux.Le 20 juin, l’amiral britannique accepte de l’affrontement. Embarqué sur la Cléopâtre, Suffren donne l’ordre de former la ligne de bataille et l’escadre entame son évolution. Le Sphinx et le Brillant précèdent le Fendant, que suivent le Flamand et l’Ajax.Le Fendant affronte et repousse l’HMS Inflexible, de 64 canons, puis le HMS Gibraltar de 80 canons. Il dégage ainsi le Brillant, qui livrait à ce vaisseau un combat trop inégal et lui permet d’attaquer un autre vaisseau moins puissant. Le second du Fendant, Saint-Félix, est blessé et, bientôt, le feu éclate dans la hune d’artimon du vaisseau par l’explosion d’un baril de grenades. Pour tenter d’éteindre l’incendie, Peynier est obligé de sortir prématurément de la ligne de bataille. À bord du Fendant on parvient à se rendre maître du feu et le vaisseau peu reprendre le combat.La bataille, engagée depuis deux heures et demie, tourne nettement à l’avantage de Suffren, plusieurs vaisseaux britanniques étant gravement endommagés, lorsque, la nuit tombant, l’escadre de Hugues se retire. Cette bataille de Goudelour, considérée comme le plus beau combat livré par Suffren, est l’une des rares victoires jamais remportées sur la Royal Navy. M. de Saint-Félix quitte le Fendant pour prendre le commandement du Flamand.Le après-midi, Suffren court enfin à la côte pour y débarquer des renforts et sauver les défenses du marquis de Bussy. Le , la frégate parlementaire Médée apporte la nouvelle du cessez-le-feu entre la France et l'Angleterre, signé à Versailles le . La suspension d'armes est immédiate. |
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Mémoire sur la Cote de l'Isle de Cuba comprise entre le cap Maizi et la pointe de Nava pour servir au plan ci-joint (manque le plan) noms des mouillages Matta reconnaissances de Matta Yamory- Bouma anse ou plage du miel- reconnaissance de l'anse de miel Barracoa- reconnaissance de Barracoa remarques générales A bord de la corvette Le fanfaron le 4 septembre 1786 MM de Grimaldi prix 300 euros |
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.Louis Jean Marie qe Bourbon duc de Penthièvre. Amiral de France.Commission de receveur des Droits au port de La Hougue,en faveur du sieur Larnache aux lieux et place du sieur Verney... Confection d'inventaires des effets sauvés des naufrages ou pris sur mer sur les ennemis de l' état. . 1786. Parchemin prix 750 euros |
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D'ALBERT DE RIONS Commandeur de l'ordre Royal & militaire de St Louis Chef d'escadre des armées navales, commandant la marine en ce port. Il est ordonné a monsieur le chevalier Du Rouvre enseigne de vaisseau de s'embarquer sur le Bricq "La Levrette" commandé par m de Sainvilliers et d'y servir en sa qualité pendant sa campagne. A Toulon Le 1er may 1786. prix: 100 euros. notes: François Hector d’Albert, comte de Rioms (ou Rions), né le à Avignon et mort le à Saint-Auban-sur-l'Ouvèze, est un aristocrate et officier de marine français du XVIIIe siècle. Il est l'un des principaux commandants de la flotte française pendant la guerre d'indépendance des États-Unis et termine sa carrière dans la Marine avec le grade de contre-amiral (1er janvier 1792), équivalent à celui de chef d'escadre des armées navales de France sous l'Ancien Régime. Commandant en second la marine dans l'Armée des Princes (1792), sous le comte d'Hector, iI passe alors à tort pour un contre-révolutionnaire farouche. En 1802 cependant le Premier Consul loue « sa conduite politique pendant la Révolution Albert de Rioms débute comme garde de la Marine à la compagnie de Rochefort, en 1743, devient enseigne cinq ans plus tard, et lieutenant de vaisseau en 1755. Lors de la guerre de Sept Ans, il est fait prisonnier une première fois sur l'Espérance (commandant : le vicomte de Bouville), une seconde fois sur le vaisseau Le Foudroyant, dans le combat de Carthagène du , livré par le marquis Duquesne, voulant rallier, à Carthagène, La Clue, bloqué par une escadre anglaise commandée par l'amiral Henry Osborne.Le 11 juin 1761, il épouse Thérèse de Clerc de Ladevèze (1740-1823). De cette union naît une fille, Adeline d'Albert de Rions (1770-1807). chevalier de Saint-Louis en 1763, il est promu au grade de capitaine de frégate en 1771, après avoir servi, soit dans l'infanterie, soit dans l'artillerie de marine, et prend part à quatre campagnes navalecapitaine de vaisseau en 1772, il servit avec éclat dans la guerre d'Amérique, sous les ordres du comte d'Estaing.En 1778, M. d’Albert, commandant le vaisseau le Sagittaire, de 50 canons, concourt à l'expédition de Newport, à l'attaque de Sainte-Lucie et se trouva en juillet 1779 au combat de la Grenade, où le comte d’Estaing bat l’escadre de l’amiral Byron. Le 24 septembre de la même année, au siège de Savannah, il capture le HMS Experiment, vaisseau anglais de 50 canons, de la même force que le sien, et portant 650 000 fr. d’argent monnayé. Suffren, qui combat avec lui à Newport, ne cesse plus par la suite de faire son éloge.En 1780, il est promu brigadier des armées navales. En 1781, montant le vaisseau le Pluton, (74 canons), il se fait remarquer dans tous les combats livrés par l’escadre du comte de Grasse, à savoir : le 29 avril, au large de Fort-Royal de la Martinique, contre la flotte de l’amiral Hood ; à la prise de Tobago à la fin du mois de mai ; le 5 septembre suivant, devant la baie de Chesapeake, contre l’amiral Graves ; le 25 et le 26 janvier 1782, près de l'île Saint-Christophe, contre l’amiral Hood.Enfin, dans les journées du 9 et du 12 avril, entre la Dominique et la Guadeloupe, à la bataille des Saintes, où, monté sur Le Pluton, il se distingue par le secours, remarquable, tenant en échec quatre vaisseaux britanniques, qu'il porte à la Ville de Paris, contre l’amiral Rodney.Cette défaite des Saintes, où seul un tiers des vaisseaux français ont fait face à plus du triple de navires anglais donnera lieu à un conseil de guerre, long et inutile, où des oppositions d'officiers et d'aristocrates prévalent sur les actions de réforme, correctrices, et à une reconstruction plus rapide de la flotte pour la conquête des Indes ou de la Jamaïque.Lors de ce conseil mettant en jeu les égos, plus encore que le vrai combat naval, sera examinée la conduite de tous les officiers supérieurs : celle du comte d’Albert de Rions obtient des éloges mérités, et de tous.Aussi, dans l'Inde, Suffren le demande-t-il comme capitaine, et, au besoin, comme successeur. Ce dernier écrit à M. de Castries :« Je ne connais, qu'une personne qui a toutes les qualités qu'on peut désirer, qui est très-brave, très-instruite, pleine de zèle et d'avenir, désintéressée, bon marin : c'est M. d'Albert de Rions, et, fût-il en Amérique, envoyez-lui une frégate. J'en vaudrai mieux, l'ayant ; car il m'aidera, et, si je meurs, vous serez assuré que le bien du service n'y perdra rien ; si vous me l'aviez donné quand je vous l'ai demandé, nous serions maîtres de l'Inde. »promu chef d'escadre des armées navales en 1784, il est fait Commandeur de Saint-Louis par brevet du 20 août 1784 et reçoit une pension de 3 000 livres sur le budget de l'ordre. Il est nommé directeur général du port de Toulon et ensuite commandant de la marine dans ce port, il commande, en 1785, le vaisseau le Séduisant dans la campagne d'évolutions qu'il fait avec Buor de la Charoulière dans la mer du Nord.Lorsque Louis XVI visite Cherbourg, en 1786, Albert de Rions lui donna, sur le Patriote, le simulacre d'un combat naval dans la rade. |
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110 euros Brest 18 septembre 1787. Il est ordonné à monsieur de Ferraryl ieutenant de vaisseau de la 3ém Escadre de s'embarquer sur le vaisseau Le Superbe commandé par M De Sainnneville;. |
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à Paris le 29 août 1787. adressé à me Thomas St Laurent prix 110 euros |
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.AN. 1789. Les dernières années du règne de Louis XVI . La révolution a commencée! |
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Congé en partie imprimé De par le Roy signé "Louis"signature secrétaire fait à Paris 17 octobre 1789. Il est permis au S de BElloz
lieutenant de vaisseau de la 2 ém division de la 8
ém escadre de s'absenter pendant huit mois du port
de Rochefort son département ,pour aller vaquer à
ses affaires particulières Voulant sa
Majesté qu'il retourne ensuite audit Port
continuer ses Services et qu'il jouisse des
appointements attachés à son grade pendant son
absence Fait à Paris le 17 8bre 1789 |
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Rapport des dépenses du département de la marine fait par l'assemblée nationale. par le comité des finances.Paris 1789. Un vaisseau de 110 à 118 canons côute 1.053.350 livres. Une corvette de 12 côute 219.074 livres...... " messieurs chargés par vous de vous rendre compte des dépenses du département de la marine,nous avons cherché à en approfondir tous les détails.Prix:80 Euros.36pages. |
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AN. 1790. | |||||||||||||||||||||||||||||
Etranger Louis jean-Marie de Bourbon Duc de Penthievre de Chateau-Vilain d'Aumale et de Gisors ,prince d'Anet ,coomte d'Eu ,Amiral & grand Veneur de France Gouverneur & Lieutenant -Général pour le Roi en sa province de Bretagne A Tous ceux qui ces présentes Lettres verront SALUT ;Sçavoir faisons,que Nous avons permi à M Sieur Binjamin Bailey Maître du Battiment nommé Bayonne du port de 60 tonneaux ou environ de sortir du Port & Havre du Cap français ou il est présentement ,pour aller à Destination chargé de marchandises permises après que la présente Permission aura été enregistrée au greffe de l'Amirauté ,& la visite de son vaisseau faite à l'ordinaire .En témoin de quoi Nous avons signé ces présentes ,à icelles fait apposer le Sceau de nos Armes & contresigner par le secretaire général de la Marine délivré au Cap le 13 mars 1790 prix 290 euros |
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Autre tirage du "projet de décret sur l'organisation de la marine militaire." il y a des différences avec le précédent par exemple à l'article Mousse l'un porte "nul ne pourra aprés l'age de 16 ans être embarqué comme mousse". L'autre indique "Nul ne pourra être embarqué comme mousse sur les bâtiments de l'état que de 10 à 16 ans. . 1790.14 pages prix 50 Euros. |
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Rapport fait à l'assemblée Nationale. Sur les Dépenses et le régime économique de la Marine par M Malouet membre du comité de la Marine. Paris 1790. in-8 broché en papier marbré65 pages. Prix de vente :90 euros. |
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AN 1791. | |||||||||||||||||||||||||||||
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Etat-Major de la Marine et service des ports. à Paris de l'imprimerie Nationale 1791. "la place de commandant de la marine dans les ports ,est supprimé II Elle sera remplacée par celle de commandant des armes,dans les ports de Brest,Toulon Rochefort, et l' Orient & sera toujours donnée par le roi à un officier-général de la marine, révocable à sa volonté. III. Le commandant des armes aura sous ses ordres les officiers de la marine,les troupes de la marine, les canonniers-bombardiers,ouvriers apprentis-canonniers,tous les employés militaires de la marine & donnera les ordres nécessaires au service auquel ils seront destiné in-8 broché en papier marbré5 pages prix: 40 Euros. |
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Décret de l'assemblée nationale.Sur les moyens d'appliquer au corps actuel de la Marine les Décrets relatifs à l'organisation de ce Corps. précédé du rapport fait au nom du comité de la Marine par M.de Sillery.et décret relatif à la correspondance des grades du service de mer avec celui de terre. précédé du rapport fait par M Sillerry au nom du comité de la Marine. Le 23 Avril 1791. imprimé par ordre de l'Assemblée Nationale. (Sillery charles-Alexis Brulart de Genlis Comte de Sillery).Prix: 55 Euros. |
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Développement du projet du comité de la marine. Sur l'organisation de la marine Française par M. de Sillery imprimé par ordre de l'Assemblée Nationale.Imprimerie Nationale 1791.in-8, broché en papier marbré. "messieurs, je m'attends que le projet d'organisation qui vous est présenté par votre comité de la marine,sera vivement combattu;il contrarie d'anciens préjugés,des prétentions que l'on n'a point encore abjurées de bonne foi & à ces différents titres il devoit déplaire à beaucoup de personnes....Prix: 50 euros 19 pages |
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Opinion de M. Moreau de Saint-Mery député de la Martinique.sur l'organisation du ministère.et notamment sur la nécessité de ne faire qu'un seul ministère de la Marine & des colonies.du 9 Avril 1791..Note:Député de la Martinique Moreau de Saint-Méry propose de réunir le ministère de la marine et celui des colonies l'assemblée accepta cette mesure le 9 avril 1791.28 pages. Prix: 50 Euros
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Moyens d'accroissement de matelots pour la Marine patrons pêcheurs marseillais,les députés Tournon,Floux et Ponsard demandent que les patrons pêcheurs ne soient plus soumis au service de la marine et compris dans les levées de matelots.Paris J. Girouard 1791. in-8 broché en papier marbré prix 50 Euros .15 pages. |
Tableau
d'
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de : collectionneurs,Acheteurs,vendeurs...
Un des but d' Internet est la "communication" "la rencontre aisée de personnes,afin d' utiliser cette facilitée,nous serions heureux d'indiquer dans ce tableau les "adresses e-mail" de toutes personnes désirant vendre, acheter, collectionner,des Objets,peintures, documents, ayant un rapport avec la page ci-dessus, (nous ferons de -même au bas de chaque page de notre site, qui couvre tout les domaines maritimes). Si vous désirez y figurer,(ou ne plus y figurer) contactez nous : librairie.maritime@gmail.com |
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Le 24 novembre 2010. Monsieur cette lettre
signé par le Balli de Suffrendatée de 1783 a été vendu 1.000 euros l'écriture de Suffren était illisible et ici cette lettre a été écrite par son écrivain de bord seules les 3 dernières lignes illisibles! sont de sa main. |
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le 30 août 2010 Madame,Monsieur,
Nous sommes heureux de vous informer de la parution début juillet d'un ouvrage :"La place des armements mixtes dans la mobilisation de l'arsenal de Brest sous les deux Pontchartrain (1688-1697 & 1702-1713)"par Jean-Yves Nerzic.Cet ouvrage montre bien que la course était le résultat d'une volonté politique et systématique de maintenir une marine que le roi n'avait plus les moyens d'entretenir mais qui lui était indispensable en terme de géopolitique. Dans le contexte difficile des guerres de la Ligue d'Augsbourg et de Succession d'Espagne, aggravé par une crise économique importante, on inventa les "armements mixtes" (ancêtres des sociétés d'économie mixte). Ce livre a sa place dans toutes les bibliothèques historiques et universitaires et auprès de tous les passionnés de la course et de la marine de Louis XIV.. Vous trouverez en pièces jointes une présentation avec des extraits de l'introduction et de la conclusion, et l'image de la jaquette de couverture en format PDF, dont vous pouvez vous servir librement pour présenter l'ouvrage. Si toutefois vous deviez rencontrer une difficulté pour récupérer ces éléments, n'hésitez pas à nous contacter pour que nous vous les préparions selon vos souhaits. Nous restons à votre disposition pour plus de renseignements ou pour organiser toutes conférence, interview, causerie ou signature avec l'auteur. Avec nos salutations les meilleures Agnès Hacpille Editions H&D 13, chemin du Vivier 78470 Milon La Chapelle tél : 01 30 47 40 40 2
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jacques J 'ai vu en vente deux congés. Toulon le 31 novembre 1781. Congé absolu de la marine XVIII ém délivrée à joseph Barthelemy matelot ayant servi sur le vaisseau du Roi "La Provence" 31 aôut 1776. ( plus de 200 euros chaque.) |
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