L. Gadaud de Léopold-Charles Gadaud

Études sur le matériel de la marine: par L. Gadaud,.

Carnet de notes et de renseignements- 168 pages

 L'Amiral Courbet, d'après les papiers de la Marine et de la famille.    in-8, VI-372 pp., portrait-frontispice, un fac-similé dépliant,

Pierre Garcie-Ferrande, de son vrai nom Pierre Garcie, né en 1430 et mort en 1520 à Saint-Gilles-Croix-de-Vie, est un marin et cartographe français, considéré comme le premier hydrographe françaisFils de marin originaire de la péninsule ibérique, Pierre Garcie s'engage lui aussi dans la navigation. En 1483, il publie le Grant Routtier et pilotage de la mer. Il est ainsi le premier à reproduire les notes prises par les marins sur les caractéristiques des ports et les dangers des côtes qu'ils fréquentent. Son ouvrage devient une référence pendant près de trois siècles avec trente-deux éditions en français et huit en anglais.

1781 Elémens de la science du navigateur GARRA DE SALAGOITY Navigator Sailor

Cours pratique de construction navale professé à l'École supérieure de maistrance de la marine, Volume 3

Doyere C., Maugas G. & Gayde N. - Cours Pratique De Construction Navale, Professé A L'école Supérieure De Maistrance De La Marine. Tomes 1-4.    tome 1: Doyère C. Géométrie de navire - Calculs de déplacement et de stabilité. Tome 2: Maugas G. Tracés des plans de navire - Cales de construction - Construction des navires en bois. Tome 3: Doyère C. Charpentage - Constructions en fer et en acier. Tome 4: Gayde N. Passage au bassin - Mise à l'eau - Réparations - Installation des emménagements.

01/01/1894

Manuel du Navigateur Anglais-Français, en cinq parties séparées, savoir-Un abrégé de grammaire anglaise., -Conversations nautiques., -Conseils aux débutants dans la marine militaire, -Explications théoriques et pratiques sur la machine à vapeur ; hélice sauvage.Troisième édition, revue augmentée d'un vocabulaire inédit sur les machines à vapeur et sur l'hélice.

P., Firmin Didot, chez l'auteur 1845.

Gervain La Baronne De

armateur, il avait créé en 1789 une maison de commerce sous la dénomination Portal, Larroder et Cie.Il est membre du Conseil du Commerce (1801), puis de la Chambre de Commerce de Bordeaux au début de sa création (1803). Il est ensuite ministre de la Marine et des Colonies (décembre 1818 - décembre 1821). Il a également été juge au tribunal de commerce, maire de Bordeaux, député pour le commerce de Bordeaux pour réclamer la restitution des marchandises saisies par les navires américains, nommé par Napoléon maître des requêtes en 1813, député de Tarn-et-Garonne en 1818, pair de France, régent de la banque de Bordeaux

Plon Nourrit Et Cie - 1898

L'expédition de la jeannette au pôle nord     Jules Geslin - broché - janvier 1882

Il commence à naviguer sur les bateaux de son père à l'âge de 6 ans et entre dans la marine comme aspirant volontaire en 1788, à bord de la frégate Activ et fait campagne aux Antilles puis en Amérique du Nord de 1788 à 1790. Il est second pilote à bord de La Recherche lors de l'expédition d'Entrecasteaux, recherchant La Pérouse. Il est débarqué au retour à l'île de France. Il participe à un combat contre deux vaisseaux britanniques le 22 décembre 1794, à bord du Coureur.Rentré en France, il apprend sa nomination au grade d'enseigne de vaisseau en 1793. À bord de la Regénérée, il prend part à des combats contre des vaisseaux britanniques dans l'océan Indien. Il est nommé lieutenant de vaisseau en juin 1799. Il embarque en octobre 1800 à bord de la corvette Le Géographe en tant que capitaine de vaisseau et membre de l'état-major de l'expédition commandée par Nicolas Baudin vers les Terres australes. L'expédition scientifique fait relâche à Ténérife, puis à l'île de France (pendant trente-six jours) et ensuite visite et étudie les côtes sud et ouest de l'actuelle Australie dénommée alors Nouvelle-Hollande, ainsi que l'actuelle Tasmanie (Terre de Diemen) et Timor, puis retourne à l'île de France et longe l'Afrique jusqu'à Ténérife et arrive à Lorient en 1804. Il donne sa démission en 1802 (il se marie en 1802 aux Canaries), avant la fin de l'expédition et se consacre au commerce jusqu'en 1807, dans l'Atlantique Sud et l'océan Indien.En septembre 1807, le maréchal Daendels, gouverneur général des Indes hollandaises, le sollicite à Sainte Croix de Ténériffe, pour être son aide de camp. Il est nommé capitaine de vaisseau et adjudant général de la Marine hollandaise à Java en 1808. Prisonnier le 17 septembre 1811, lors de la capitulation de l'île, il n'est libéré qu'en juin 1814. Il n'obtient sa réintégration dans la Marine qu'après la chute de l'Empire.Il quitte le service actif en 1816.

Tables comparatives des principales dimensions des bâtimens de guerre français et anglais  de Pierre-Guillaume Gicquel des Touches

Traité des manoeuvres courantes et dormantes composant le gréement des bâtimens marchands de différentes espèces... de Pierre-Guillaume Gicquel Des Touches

Éd.1817

Joseph Arthur de Gobineau, dit le comte de Gobineau, né le 14 juillet 1816 à Ville-d'Avray et mort le 13 octobre 1882 à Turin, est un diplomate et écrivain français.Il doit sa notoriété posthume à son Essai sur l'inégalité des races humaines (1853-1855), qui le range parmi les pères de la pensée racialiste. Il est également l'auteur d'une œuvre littéraire romantique, d'essais polémiques et de travaux historiques et philologiques sur l'Iran ancien.

- Les Neutres. Etude juridique et historique de droit maritime international.  in_ 8  444 pages

Les grands hommes de la France. Marins - deuxième série par Édouard Goepp et Henri de Mannoury d'Ectot, 2ème édition ornée de deux portraits : Jean Bart, Duguay-Trouin, Suffren (Broché)

Furne, Jouvet & Cie. - 1877

• Remarques sur quelques points d'astronomie, Brest, 1768
• Traité sur la construction des vaisseaux, dédié et présenté au roi, par M. le Comte du Maitz de Goimpy, Paris, 1776Il est en outre l'auteur de plusieurs articles dans le Dictionnaire de l'Académie de Marine et de plusieurs mémoires, dont :

• Mémoire sur la manière de déduire les hauteurs méridiennes du Soleil par deux hauteurs et les attentions nécessaires.

Diplômé de l'École nationale supérieure d'Arts & Métiers, Goubet est un inventeur multiple. Il conçoit son propre sous-marin à partir de 1881. Les plans sont brevetés et présentés au Ministère de la Marine en 1885 qui est favorable au projet. En effet, le Ministre de l'époque souhaite moderniser les forces navales françaises.

L'engin, le Goubet I, est mis en chantier à Paris, le 26 septembre 1886 et lancé en mars 1887. Ce dernier était propulsé à l'électricité. Il fut testé dans la Seine, puis à Cherbourg où il resta lesté huit heures au fond du port. Le 13 avril 1890, il effectue une démonstration dans la rade de Cherbourg évoluant pendant près de 45 minutes au fond du bassin. L'après-midi pendant près de deux heures trente, il effectue des cisaillages de câbles sous-marins, le dépôt d'une mine factice de 102 kg sous un radeau et le blocage d'une hélice d'un navire avec une barre de fer. Mais malgré ces résultats encourageants, le sous-marin trouve des détracteurs car les militaires boudent l'ingénieur civil. Finalement, l'armée choisit un concurrent, le Gymnote, puis le Narval. Claude Goubet mourra ruiné

Malgré des essais parfaitement satisfaisants, démontrant la maniabilité et l’habitabilité de son invention, le Goubet I, Claude-Désiré Goubet n’arrivera jamais à la faire adopter par le ministère de la Marine. Ni d’ailleurs le Goubet II, lancé en 1895, plus grand, plus performant, et dont il finance lui-même la construction. Ruiné, épuisé et malade, il meurt le 15 janvier 1903. Lors de ses obsèques au cimetière Montparnasse, parmi une foule d’admirateurs, ses plus fervents défenseurs dénoncent avec émotion l’injustice dont il a été victime.

Commandant Grandin,... Le Prince de Joinville, sa vie, ses oeuvres  

‎LE PRINCE DE JOINVILLE. SA VIE, SES OEUVRES.‎

‎. In-8 Carré. Broché. Etat d'usage. Couv. défraîchie. Dos abîmé. Intérieur frais. 237 pages. Premier plat illustré en marron. Manque au dos. Majeure partie des pages non coupées. Tampons de bibliothèque.‎

L’expédition de la baie Lady Franklin ou expédition Greely, officiellement nommée Lady Franklin Bay Expedition, est une expédition polaire américaine menée par Adolphus Greely entre 1881 et 1884 dans la baie Lady Franklin.Sous l'impulsion de Henry W. Howgate, l'expédition utilisa le navire Proteus afin d'implanter une station météorologique — première d'une série — pour la première Année polaire internationale. Le gouvernement américain l'avait également commissionné pour recueillir des données astronomiques et sur le magnétisme. À ce titre, l'astronome Edward Israel faisait partie de l'équipe. C'est lors de cette expédition, en 1882, que Greely nomma la chaîne Conger.Sans nouvelles de l'équipe, deux navires de recherches et de ravitaillements firent route vers le camp sur l'île d'Ellesmere, mais ne parvinrent pas à y accéder. La recherche ne fut pas abandonnée, notamment grâce à Henrietta, la femme de Greely. Un autre navire, le Bear parvint en 1884 au camp, ne trouvant plus que six des vingt-cinq membres de l'équipe, dix-neuf étant morts de faim, de froid, noyés et même un exécuté par balle.Greely et les autres survivants étaient eux-mêmes près de la mort et l'un des survivants est décédé sur le voyage de retour. À leur retour, ils ont été vénérés comme des héros, mais leur héroïsme a été entaché par des accusations de cannibalisme au cours des derniers jours faute de nourriture.L'histoire de ce voyage a été publiée à plusieurs reprises, notamment dans Abandoned : The Story of the Greely Arctic Expedition 1881-1884 de Alden Todd.

Mémoires de la campagne des découvertes dans les mers de l'Inde, où il propose une route qui abrège de huit cens lieues la traversée de l'Isle-de-France à la Côte de Coromandel & en Chine.

The Ship-builder's Manual: And Nautical Referee 

john Willis Griffiths (October 6, 1809 – March 30, 1882) was an American naval architect who was influential in his design of clipper ships and his books on ship design and construction. He also designed steamships and war vessels and patented many inventions.Maritime historian William H. Thiesen wrote, "Of all the nineteenth-century American shipbuilders, John W. Griffiths did more than any other builder to champion American shipbuilding methods. An experimenter, an advocate for formal ship-design education, and a working intellectual, Griffiths proved to be most remarkable of America’s nineteenth-century shipbuilders.”

 - Notice sur la situation actuelle de la marine en Algérie, comparée à celle de différentes époques depuis la conquête.in-8, 16 pp., broché.

Considérations navales en réponse à la brochure de M. de Pradt,...: par J. Grivel,.

gROJARD DE MONTGENAULT (Jean Antoine)Recueil de pièces, concernant la compétence de l'Amirauté de France ; Avec une préface historique, une table chronologique, & une table des matières

 - Idées maritimes d'hier. Réformes maritimes de demain.
in-12, 292 pp., broché.

Il entre à l'École polytechnique en 1798 puis sert à la 7^e demi-brigade d'artillerie de marine dont il est promu sous-lieutenant en février 1799.L'année suivante, il démissionne de l'armée et devient professeur de mathématiques. Il enseigne alors dans différents collèges avant de devenir professeur suppléant d'hydrographie à Brest puis professeur titulaire en 1810. Directeur de l'observatoire de Brest (1810-1852), docteur ès sciences (1811), professeur de mathématiques et d'astronomie sur le vaisseau-école Tourville (1812-1815), on lui doit des ouvrages spécialisés.

léon Guérin débute sa carrière littéraire comme écrivain tantôt sous son nom, tantôt sous celui de Guérin-Dulion ou Léonide de Mirbel. Auteur de contes et de nouvelles, et poète - il publie dans sa jeunesse des Chants lyriques et autres essais poétiques (Éditions Garnier, 1829), Léon Guérin se lance dans le journalisme, il fonde le Journal des enfants, puis de La Gazette des enfants et des jeunes personnes, avant de se spécialiser dans l'Histoire.

• Histoire maritime de France, 1844
• Les Marins illustres de la France, 1845
• Les Jeunes Navigateurs : autour du monde, 1845
• L'Europe, histoire des nations Européennes, 1846
• Les Navigateurs français : histoire des navigations, découvertes et colonisations françaises, Paris, 1846
• Histoire de la marine contemporaine : depuis 1784 jusqu'à 1848, 1855
• Histoire de la dernière guerre de Russie (1853-1856) dans la mer, 1858

les navigateurs français  1817.

Table décennale du Recueil de jurisprudence commerciale & maritime du Havre: (années 1875 à 1885), avec la collaboration de Le Minihy de la Villehervé, André Bégouen et Lévarey

En parcourant les mémoires d'un administrateur de la marine au siècle dernier (Alfred Guichon de Grandpont)

Elements de Cosmographie Et de Navigation: Precedes de Notions de Trigonometrie Spherique (1897) de Joseph Barthelemy Guilhaumon     ...

Résumé de théorie du navire, par J.-B. Guilhaumon de Joseph-Barthélemy Guilhaumon (1900)

Éléments de machines à vapeur marines, par J.-B. Guilhaumon de Joseph-Barthélemy Guilhaumon

Moteurs à pétrole et machines électriques, par J.-B. Guilhaumon,... et D. Tombeck de Joseph-Barthélemy Guilhaumon (1909)

Notions élémentaires d'optique, complément aux eÉléments de cosmographie et de navigatione, par J.-B. Guilhaumon... de Joseph-Barthélemy Guilhaumon (1904)

Astronomie et navigation, suivies de la compensation des compas, par J.-B. Guilhaumon,... 5e édition de Joseph-Barthélemy Guilhaumon (1912)

Exercices de trigonométrie sphérique, de cosmographie, de navigation et de calculs nautiques, ouvrage renfermant... de Joseph-Barthélemy Guilhaumon (1902)

1891

(1900)

Petit traité d'arithmétique théorique et pratique, à l'usage des écoles élémentaires de la marine, par A. Guyot,...- 249 pages

The Hakluyt Edition project is preparing a 14-volume critical edition of Richard Hakluyt’s The Principal Navigations (1598–1600) for Oxford University Press.

livre rare nous n'avons vu qu'une réédition!  ou des copies  si vous l'avez trouvé informez nous...

Hendrik Hamel (Gorinchem 1630 – Gorinchem 1692) fut un explorateur néerlandais. Il fut le premier Européen à écrire une description de la Corée, publiée en 1668 en néerlandais et en 1670 en français. Presque oublié dans son pays natal, il est encore assez connu en Corée du Sud.En 1653, Hamel, comptable chez la Compagnie néerlandaise des Indes orientales (VOC), fut un des 36 à survivre au naufrage du vaisseau Sperwer (Épervier) sur la côte de l'île Quelpaert (actuelle Jeju-do). Les Coréens ne permirent pas à Hamel et ses compagnons de continuer leur voyage à Nagasaki au Japon : les Néerlandais se voyaient forcés de rester en Corée et servir à la cour du roi dans une certaine liberté. Pourtant, après treize ans, Hamel et sept autres Néerlandais décidèrent de fuir vers le comptoir de la VOC à Nagasaki.Le journal du voyage de Hamel fut publié en 1668, et pendant plus de deux siècles, il fut le seul document connu dans l'Occident à décrire la Corée.

• Harrison, John, -- 1693-1776.

  Il est l’inventeur du chronomètre de marine. Son invention a marqué l’histoire de la marine en permettant d’améliorer la précision des approches et de diminuer sensiblement le risque d’échouage, et l’histoire de l’horlogerie par l’invention de nombreux dispositifs.Ce fut un artisan délaissé et jalousé, avant d’être finalement récompensé par le roi George III.à partir de 1730 et jusqu’à la fin de sa vie, Harrison se consacre à la création de chronomètres de marine pour la détermination de la longitude, avec le soutien financier et moral de George Graham et Edmond Halley

Principes de la montre de Mr. Harrison avec les planches relatives a la même montre = The principles of Mr. Harrison's time-keeper with plates of the same. John Harrison; Pezenas, P.; Nevil Maskelyne; Great Britain. Commissioners of Longitude  First French and first bilingual ed. which includes the full text of the first English ed. of the same year. Description of Harrison's chronometer which provided the technical means of solving the centuries old navigational problem of establishing longitude at sea. This ed. was the work of the Jesuit mathematician Esprit Pezenas of the Ecole Royale d'Hydrographie, Director of the Observatoire Ste Croix.

Principes de la montre de Mr. Harrison, avec les planches relatives a la meme montre, Imprimés a Londres en 1767 par ordre de Mrs. les Commissaires des Longitudes

Notions sur le phénomène des marées.    Hatt, P. E  in_8 r époque

leçons faites aux élèves ingénieurs du Dépôt des cartes et plans de la Marine. L'ingénieur hydrographe Philipe Hatt (1840-1917) a écrit des ouvrages "qui compteront parmi les travaux les plus importants qui aient paru en France depuis quarante ans sur la géodésie et sur les marées." (Annuaire du Bureau des Longitudes, 1917)

Cours de construction navale: professé à l'École d'appliation du génie maritime 590 pages

La Mer libre du Pôle, voyage de découvertes dans les mers arctiques exécuté en 1860-1861 par le docteur J. J. Hayes. Traduit de l'anglais et accompagné de notes... par Ferdinand de Lanoye

Heine was born in Dresden, the son of Ferdinand Heine, a comedian engaged at the Dresden Court Theatre. His family connections included composer Richard Wagner, whose father had been a family friend

Joseph-François-Gabriel Hennequin (1775-1842)

[HENNEQUIN (J-Fr.G)]. Biographie maritime ou notices historiques sur la vie et les campagnes des marins célèbres français et étrangers.. 3 vol.in-8 de (6), 427 (2), 459, (2), 492 pp. Rel. 1/2 chagr. rouge ép., dos à nerfs ornés. 91 (sur 93 ou 103 quand complet) portraits de marins célèbres gravés H/T. Très légères rousseurs sous-jacentes sur les planches. Très bons exemplaires, auxquels il manque malheureusement les pages-titres et les dernières notices du tome 3.

HENNEQUIN (J.-Fr. G.). Biographie Maritime ou Notices historiques sur la vie et les Campagnes des Marins célèbres français et étrangers. . 3 vol. gd in-8, 1/2 veau glacé à coin, dos à nerfs ornés, tr. marbrées. Bien complet des 93 portraits H.T. Quelques manques au dos des T. II et III.

HENNEQUIN (J-Fr.G)]. Biographie maritime ou notices historiques sur la vie et les campagnes des marins célèbres français et étrangers.. 3 vol.in-8

Privat Agathon Benjamin Arthur Hennique, né le 29 juillet 1844 à Toulon et décédé le 22 août 1916 à Lorient, était un officier supérieur de la marine française.Il fut aspirant en 1870 puis capitaine de frégate, commandant la canonnière Chacal durant la campagne française de conquête de la Tunisie en 1881. Il se distingua notamment lors de la prise de Sfax en juillet 1881 au sein de la flotte commandée par l'amiral Henri Garnault.Durant l'année 1882, il étudia les navires de pêche tunisiens, italiens, maltais et grecs qu'il rencontra dans les eaux territoriales de la Tunisie. Ses observations relatives aux techniques de construction de ces navires et aux méthodes de pêche, particulièrement celle des éponges, sont consignées dans un ouvrage paru en 1888.Il fut ensuite capitaine de vaisseau, commandant de l'Isly, croiseur protégé et léger de première classe, de la classe Alger, commandant de la division navale de Terre-Neuve et d'Islande vers 1899.
               

Histoire nationale des naufrages et aventures de mer, par Ch. d'Héricault. Période contemporaineHéricault, Charles de Ricault d' - broché - janvier 1882

janvier 1882

In the meantime Horsburgh, a shipwrecked sailor, made his way to Bombay, and, like other sailors thus circumstanced, looked out for another vessel. This he soon found in the Gunjava, a large ship employed in the trade to China; and for several years after he sailed in the capacity of first mate, in this and other vessels, between Bombay, Calcutta, and China. And during this time he never lost sight of the resolution he had formed in consequence of his mishap at Diego Garcia. His notes and observations had increased to a mass of practical knowledge, that only required arrangement; he had perfected himself, by careful study, in the whole theory of navigation; and during the short intervals of his stay in different ports, had taught himself the mechanical part of his future occupation, by drawing and etching. It was time that these qualifications should be brought into act and use by due encouragement, and this also was not wanting. During two voyages which he made to China by the eastern route, he had constructed three charts, one of the Strait of Macassar, another of the west side of the Philippine Islands, and a third of the tract from Dampier Strait through Pitt’s Passage, towards Batavia, each of these accompanied with practical sailing directions. He presented them to his friend and former shipmate, Mr. Thomas Bruce, at that time at Canton; and the latter, who was well fitted to appreciate the merits of these charts, showed them to several captains of India ships, and to Mr. Drummond, afterwards Lord Strathallan, then at the head of the English factory at Canton. They were afterwards sent home to Mr. Dalrymple, hydrographer to the East India Company, and published by the Court of Directors, for the benefit of their eastern navigation, who also transmitted a letter of thanks to the author, accompanied with the present of a sum of money for the purchase of nautical instruments. In 1796 he returned to England in the Carron, of which he was first mate; and the excellent trim in which he kept that vessel excited the admiration of the naval connoisseurs of our country, while his scientific acquirements introduced him to Sir Joseph Banks, Dr. Maskelyne, the royal astronomer, and other men distinguished in science. After a trip to the West Indies, in which the Carron was employed to convey troops to Porto Rico and Trinidad, he obtained, in 1796, the command of the Anna, a vessel in which he had formerly served as mate, and made in her several voyages to China, Bengal, and England. All this time he continued his nautical observations, not only with daily, but hourly solicitude. His care in this respect was rewarded by an important discovery. From the beginning of April, 1802, to the middle of February, 1804, he had kept a register every four hours of the rise and fall of the mercury in two marine barometers, and found that while it regularly ebbed and flowed twice during the twenty-four hours in the open sea, from latitude 26 degrees N. to 26 degrees S., it was diminished, and sometimes wholly obstructed, in rivers, harbours, and straits, owing to the neighbourhood of the land. This fact, with the register by which it was illustrated, he transmitted to the Royal Society, by whom it was published in the Philosophical Transactions for 1805. Having also purchased, at Bombay, the astronomical clock used by the French ships that had been sent in quest of the unfortunate La Perouse, he used it in ascertaining the rates of his own chronometers, and in making observations upon the immersions and emersions of Jupiter’s satellites, which he forwarded to the Greenwich Observatory. About the same period, he constructed a chart of the Straits of Alias, and sent it, with other smaller surveys, to Mr. Dalrymple, by whom they were engraved.

It was now full time that Captain Horsburgh should abandon his precarious profession, which he had learned so thoroughly, and turn his useful acquirements to their proper account. It was too much that the life of one upon whose future labours the safety of whole navies was to depend, should be exposed to the whiff of every sudden gale, or the chance starting of a timber. Already, also, he had completed for publication a large collection of charts, accompanied with explanatory memoirs of the voyages from which they had been constructed, and these, with his wonted disinterestedness, he was about to transmit to his predecessor, Mr. Dalrymple. Fortunately, Sir Charles Forbes interposed, and advised him to carry them home, and publish them on his own account; and as Horsburgh was startled at the idea of the expense of such a venture in authorship, his whole savings amounting by this time to no more than £5000 or £6000, the great Indian financier soon laid his anxieties to rest, by procuring such a number of subscribers for the work in India as would more than cover the cost of publishing. Thus cheered in his prospects, Captain Horsburgh returned to England in 1805, and forthwith commenced his important publication, from which his memory was to derive such distinction, and the world such substantial benefit. So correct were these charts, that even this very correctness, the best and most essential quality of such productions, threatened to prevent their publication; for with such accuracy and minuteness were the bearings and soundings of the harbour of Bombay laid down, that it was alleged they would teach an enemy to find the way in without the aid of a pilot. It was no wonder, indeed, that these were so exact; for he had taken them with his own hands, during whole weeks, in which he worked from morning till night under the fire of a tropical sun. In the same year that he returned to England, he married, and had by this union a son and two daughters, who survived him. In 1806 he was elected a fellow of the Royal Society; and in 1810 he was appointed hydrographer to the East India Company, by the Court of Directors, on the death of Mr. Dalrymple. Just before this appointment, however, he published his most important work, entitled "Directions for Sailing to and from the East Indies, China, New Holland, the Cape of Good Hope, and the interjacent ports." These "Directions," undertaken at the request of several navigators of the eastern seas, and compiled from his journals and observations during twenty-one years, have ever since continued to be the standard and text-book of eastern ocean navigation.

On being appointed hydrographer to the East India Company, Mr. Horsburgh devoted himself, with all his wonted application, to the duties of his office. He constructed many new charts, the last of which was one of the east coast of China, with the names of the places in Chinese and English; and published an "Atmospherical Register" for indicating storms at sea, besides editing Mackenzie’s "Treatise on Marine Surveying," and the "East India Pilot." From 1810, the year of his appointment, till 1836, the year of his death, he was indefatigable in that great work of humanity to which he may be said to have ultimately fallen a martyr—for his long-continued labours among the scientific documents contained in the cold vaults and crypts of the India House, and his close attention to the countless minutiae of which the science of hydrography is composed, broke down a constitution that, under other circumstances, might have endured several years longer. But even while he felt his strength decaying, he continued at his post until it was exhanged for a death-bed. His last labour, upon which he tasked his departing powers to the uttermost, was the preparation of a new edition of his "Directions for Sailing," &c., his favourite work, published in 1809, to which he had made large additions and improvements. He had completed the whole for the press except the index, and in his last illness he said to Sir Charles Forbes, "I would have died contented, had it pleased God to allow me to see the book in print!" His final charge was about the disposal of his works, so that they might be made available for more extensive usefulness; and to this the Directors of the East India Company honourably acceded, while they took care that his children should be benefited by the arrangement. He died of hydrothorax on the 14^th of May, 1836. His works still obtain for him the justly-merited title of "The Nautical Oracle of the World." It is pleasing also to add, that the lessons which he learned from his pious, affectionate father, before he left the paternal roof, abode with him in all his subsequent career: he was distinguished by the virtues of gentleness, kindness, and charity; and even amidst his favourite and absorbing studies, the important subject of religion employed much of his thoughts. This he showed by treatises which he wrote in defence of church establishments, where his polemic theology was elevated and refined by true Christian piety. Of these occasional works, his pamphlet of "A National Church Vindicated," was written only a few months before his death.

Le père Paul Hoste est un théoricien français de la guerre navale, né en 1652 à Pont-de-Veyle, en Bresse, et mort le 23 février 1700 à Toulon.On connaît peu de choses de l'homme lui-même. Il devient jésuite et acquiert des compétences en mathématiques. Il occupe les fonctions de chapelain du maréchal d'Estrées, puis de Tourville. Ceci lui permet de se familiariser avec les contraintes et les besoins des armées navales. Il occupe par la suite, jusqu'à sa mort, un poste de professeur au séminaire de Toulon.

mathématicien français, spécialisé dans l'étude des mathématiques appliquées à la marine. Ses nombreux voyages et travaux le firent remarquer des maréchaux d'Estrées et Tourville qu'il suivit dans toutes leurs expéditions. L'Art des armées navales est consacré aux évolutions des escadres et aux principes de la tactique navale. Hoste fait l'application de ses théories à la bataille de Lépante ainsi qu'aux combats navals livrés sous le règne de Louis XIV La Théorie fut l'objet d'une controverse entre Hoste et Tourville qui en avait désapprouvé certains points













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• (1691) Traité des évolutions navales

Cet ouvrage décrit les évolutions géométriques des escadres, texte et planches descriptives de chacune des manœuvres.

• (1692) Recueil des traités mathématiques

En 3 volumes, c'est un ouvrage destiné aux officiers des armées du Roi, armées de Terre et armées navales.

• (1697) Théorie de la construction des vaisseaux,

Trop théorique, sans doute, car d'une comparaison entre deux navires construits, l'un selon les idées de Tourville, l'autre selon les idées du père Hoste, celui de Tourville sera reconnu meilleur.

• (1697) Art des Armées navales ou traité des évolutions, qui contient des règles utiles aux officiers généraux, et particulières d'une armée navale; avec des exemples tirés de ce qui s'est passé de plus considérable sur la mer depuis cinquante ans,

• La mission Hourst, sur le Niger, janvier 1897
• La mission Hourst, sur le Niger et au pays des touaregs, éditions Plon, 1898 (avec 190 gravures et photographies de la mission accompagné d'une carte).
• Dans les rapides du Fleuve Bleu — Voyage de la première canonnière française sur le haut Yang-tse-kiang par le Lt de vaisseau Hourst, Paris, Plon-Nourrit et Cie, 1904. (Préface de M. Jules Lemaître ; dessins originaux de l'enseigne de vaisseau Térisse, membre de la mission.)

Mémoire sur l'application des procédés graphiques à la résolution des problèmes de navigation. Planisphère pour les distances lunaires. Par M. Hue 31 pages

Alexander von Humboldt est né à Berlin le 14 septembre 1769 d'un père militaire prussien, le major von Humboldt, et d'une mère d'origine française et huguenote, Marie-Élisabeth Colomb.

L'amiral Louis Antoine de Bougainville, célèbre navigateur et explorateur, et héros de son enfance, lui propose de participer à une expédition en Amérique du Sud, au Mexique, en Californie, à travers le Pacifique, puis au pôle Sud. Bougainville sera remplacé par Baudin. Une guerre avec l'Autriche entraine le Directoire à annuler l'expédition.Humboldt fait alors la connaissance d'Aimé Bonpland, chirurgien de marine et naturaliste amateur. Aimé Bonpland devait, comme Humboldt, participer à l'expédition de Baudin. Ils deviennent amis et décident de rejoindre l'expédition savante qui suit les troupes napoléoniennes en Égypte. Le bateau qu'ils devaient prendre ne parvient jamais à Marseille, où ils sont venus l'attendre. Ils décident alors d'aller à pied en Espagne pour prendre un bateau pour Smyrne. Pendant les six semaines de trajet, Humboldt fait de méticuleux relevés géographiques.Humboldt est présenté au roi et à la reine d'Espagne. Il obtient des passeports avec le sceau royal qui garantit aux voyageurs l'assistance des autorités qu'ils rencontrent. Bonpland devient officiellement compagnon et secrétaire de Humboldt. Humboldt et Bonpland sont les premiers à effectuer une exploration scientifique digne de ce nom. L'ambition majeure de Humboldt pendant son voyage aux Amériques est de découvrir l'interaction des forces de la nature et les influences qu'exerce l'environnement géographique sur la vie végétale et animale.Le 5 juin 1799, ils embarquent, à La Corogne, à bord de la corvette « Le Pizarro » à destination du Venezuela, et après une escale aux Canaries, ils arrivent le 16 juillet à Cumaná au Venezuela, à l'est de Caracas. Pendant la navigation, Humboldt fait des mesures astronomiques, météorologiques, de magnétisme, de température et de composition chimique de la mer.En Amérique, il a un profond dégoût pour la façon dont se vendent et s'évaluent les esclaves, même si c'est dans les possessions espagnoles qu'ils sont le moins maltraités. Chateaubriand dira de lui dans son édition de 1827 de Voyages en Amérique : « En Amérique, l'illustre Humboldt a tout peint et tout dit ».

Humboldt a rédigé en français les résultats du voyage scientifique en Amérique avec Bonpland dans un ensemble de trente volumes publiés à Paris dans les trente premières années du XIX^e siècle. Le Voyage aux régions équinoxiales du Nouveau Continent comprend des atlas, des traités de géographie et d'économie sur Cuba et le Mexique, un récit de ses voyages et un Examen critique de l'histoire de la géographie du Nouveau Continent, de nombreuses planches concernant la botanique. Humboldt a rédigé ses écrits scientifiques en collaboration avec d'autres savants. Il dédie le volume consacré à la géologie à son ami Goethe.Durant les dernières années de sa vie, Humboldt rédige en allemand le Cosmos, résultat des cinq années de travail sur les sujets présentés lors de ses conférences. Il y décrit en cinq volumes toutes les connaissances de l'époque sur les phénomènes terrestres et célestes. Le but de cet ouvrage est de communiquer l'excitation intellectuelle et la nécessité pratique de la recherche scientifiqueHumboldt a également publié dans de nombreuses revues scientifiques, en particulier avec Gay-Lussac, pour ce qui concerne la France, dans les Mémoires de physique et de chimie de la Société d'Arcueil

• Voyage aux régions equinoxiales du Nouveau Continent (avec Aimé Bonpland), 30 vol., Paris, 1807-1834 (édition monumentale), 30 vol., Paris, 1816-1831 (petite édition). Réédition en cours, dir. C. Minguet, A. Segala et J. P. Duviols, Erasme, Paris-Nanterre, 1989-1990. La grande édition comprend les volumes suivants :
  • (I, II) Plantes équinoxiales… (1808-1809)
  • (III, IV) Monographie des Mélastomacées… (1816, 1823)
  • (V) Monographie des Mimoses et autres plantes légumineuses du Nouveau Continent (1819-1824)
  • (VI, VII) Révision des Graminées (1829-1834)
  • (VIII-XIV) Nova genera et species plantarum… (1815-1825)
  • (XV-XVI) Atlas pittoresque du voyage (1810)
  • (XVII) Atlas géographique et physique du Nouveau Continent fondé sur des observations astronomiques, des mesures trigonométriques et des nivellements barométriques (1814)
  • (XVIII) Examen critique de l'histoire de la géographie du Nouveau Continent et des progrès de l'astronomie nautique au XV^e et XVI^e siècles (1814-1834)
  • (XIX) Atlas géographique et physique du royaume de la Nouvelle Espagne… (1811)
  • (XX) Géographie des plantes… (1805)
  • (XXI, XXII) Recueil d'observations astronomiques, d'opérations trigonométriques et de mesures barométriques (1810)
  • (XXIII, XXIV) Recueil d'observations de zoologie et d'anatomie comparée (1811, 1833)
  • (XXV, XXVI) Essai politique sur le royaume de la Nouvelle Espagne (1811)
  • (XXVII) Essai sur la géographie des plantes… (1805)
  • (XXVIII-XX) Relation historique du Voyage aux régions équinoxiales du Nouveau Continent (1814, 1819, 1825)
• Tableaux de la nature ou Considérations sur les déserts, sur la physionomie des végétaux et sur les caractères, 2 vol., Paris, 1808.
• Fragments de géologie et de climatologie asiatiques (2 vol., Paris, 1831)
• Asie centrale: Recherches sur les chaînes des montagnes et la climatologie comparéee (3 vol., Paris, 1843)
• Cosmos. Essai d'une description physique du Monde, 4 vol., Paris, 1847-1859, rééd. Éditions Utz, 2000.

Etienne Gabriel Joseph, baron, 1857-1918

D'Entrecasteaux, 1737-1793. - n-8, demi-toile cartonnée muet, p. 263-402, 4 port. h. t. et 1 carte en dépliant in fine. (E/BSG). BSG : Bulletin de la Société de géographie

Marin hollandais

Jan Huyghen van Linschoten (1563 – 8 February 1611) was a Dutch Protestant merchant, traveller and historian. An alternative spelling of his second name is Huijgen.He is credited with publishing important information about Asian trade, such as the navigational routes that enabled the passage to the elusive East Indies to be opened to the English and the Dutch. This enabled the British East India Company and the Dutch East India Company to break the 16th century monopoly enjoyed by the Portuguese on trade with the East Indiesan Huyghen was born in Haarlem in the Netherlands, the son of a public notary, but the family moved to the town of Enkhuizen when he was young. The addition of van Linschoten could indicate that his family had origins in the Utrecht village of the same name.He left for Spain during December 1576 to be with his brother in Seville, staying in Spain until 1580 when he got a job working with another merchant in Lisbon. A downturn in trade led him to seek alternatives. With the help of his brother, Willem, who was acquainted with the newly appointed Archbishop of the Portuguese colony of Goa, Dominican Vicente da Fonseca, he was appointed Secretary to the Archbishop. So Jan Huyghens sailed for Goa on 8 April 1583, arriving five months later via Madeira, Guinea, the Cape, Madagascar and Mozambique

While in Goa, Jan Huygen kept a diary of his observations of the Portuguese ruled city, amassing information about both the European and the Asian people who lived there. He also collected accounts from travellers who had been further afield, such as Dirck Gerritsz. 'China,' a fellow resident of Enkhuizen who earned his nickname from his travels in the Far East. As well as cultural facts about the different peoples in Asia, Jan Huygen made note of the trading conditions between different countries, and the sea routes for travelling between them. This information later helped both the Dutch and the English to challenge the Portuguese monopoly on East Indian trade.

The 1587 death of his sponsor, the Archbishop of Goa, while on a trip to Lisbon to report to the King of Portugal meant the end of the subcontinent adventure for Jan Huyghens. He set sail for Lisbon in January 1589, passing by the Portuguese supply depot at St. Helena island in May 1589.

In addition to the original Dutch editions of the Itinerario, there was an English translation in 1598, a German translation in 1598, a Latin translation (in Frankfurt, 1599), another Latin translation (in Amsterdam, 1599) and a French translation (1610).

• 1598 English translation, John Huighen van Linschoten, His discours of voyages into ye Easte and West Indies: deuided into foure bookes London: John Wolfe. online. In Wolfe's ordering, the First Book is the 1596 Itinerario, Second Book is 1597 Beschryvinghe, Third Book is the 1595 Reys-gheschrift and the Fourth Book is Linschoten's translation of the revenues of the Spanish crown. In other editions, the 2nd and 3rd books are often switched around.

en 1745 il publie enfin ses cartes sous le titre de Neptune oriental. Ces cartes sont accompagnées de compléments : description des côtes, vents dominants, courants marins… Son ouvrage est très bien accueilli par les navigateurs de tous les pays

D'Après travaillera encore une trentaine d'années à le perfectionner, ce qui permettra la sortie d'une nouvelle édition considérablement augmentée, qui parait en 1775.